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Céleste | Une perle de douceur.
Céleste
Maison des Maintes Eaux
Histoire
Si les échos de ce que la Terre étaient ne parviennent à réellement se taire, c’est sûrement que l’humanité n’a pas fini de les crier. Ou simplement que la folie de ceux qui pensent qu’ils retrouveront la vue des couleurs de cette dernière est trop bruyante pour un jour se retrouver sans voix. Il parait que la Chine a toujours été très peuplée, et Beijing n’a eu de cesse de croître. Toujours plus haute. Toujours plus grande. Céleste ne sait pas quoi en penser. Trop jeune pour comprendre, trop insouciant pour réaliser. Peut-être même qu’à ses yeux ce ne sont que des mots. Des fables. Des fantasmes des adultes, qui ne savent plus faire la différence entre l’histoire et la réalité. Parfois, la simple idée de désirer quelque chose qu’ils n’ont jamais eue, ou perçue, lui semble simplement incohérent. Comme énormément de ce que les adultes disent ou font, finalement.
Dans un monde où les abysses entre l’élite et les pauvres sont des plus vastes, il existe toujours ceux qui flottent entre deux : ni riches, ni pauvres. Comme la famille de Céleste. Ils ne sont pas forcément ce que l’on pourrait appeler confortables, mais ils s’en sortent. Ses parents ne s’attendaient pas spécialement à sa venue sur cette maudite terre, ils ont fait avec. Tant et si bien que lorsqu’ils se sont rendu compte qu’ils ne parviendraient pas à s’en occuper correctement, travaillant énormément tous les deux, ils ont gentiment décidé de le laisser à la sœur de son père. Quelque temps. Pas longtemps. Temporairement. Une poignée de mois, tout au plus. Il n’avait que huit ans. Céleste n’a pas posé de questions, les adultes savent mieux que lui de toute façon.
Quelques mois se sont transformés en années en un battement de cils : il a désormais seize ans. Céleste ne sait pas ce qu’il veut faire. Au vu de ses résultats scolaires, les choix ne seront pas nombreux. Il n’est pas mauvais, il n’est pas dans les meilleurs. Ce qui le rend parfaitement moyen. Sa tante et son oncle ne semblent pas lui en tenir rigueur. La norme convient. Au moins, ainsi, il pourra subvenir à ses propres besoins lorsque le temps sera venu pour l’adolescent de plonger dans l’océan qu’est la vie adulte. Cependant, pour le moment, ils ont décidé de laisser le jeune garçon naviguer sur les eaux de la vie à son aise. À son rythme. Son entourage a bien vu que Céleste n’aimait pas être pressé, bousculé ici et là. Non, le garçon préfère prendre son temps. Se perdre dans la contemplation du monde qui l’entoure. Aussi neurasthénique soit-il.
Et même si Céleste aimerait faire de la musique son métier, il n’est pas naïf sur le sujet… Personne ne le lui dit clairement, mais l’art, que cela soit ses peintures ou son violon, ne sont que des bulles de savon, fragiles et si aisément brisables ; les rêves d’un enfant que l’on craint de détruire. Cela n’empêchera pas Céleste de crayonner des animaux et de jouer des mélodies mélancoliques, les pleurs candides d’un cœur qui soupire.
Céleste a quelques amis, pas trop. Juste assez. Sa timidité l’empêchant souvent d’aller à la rencontre des autres pendant les cours, il tend à simplement sourire ou rire aux frasques de ses camarades. Sa nature douce, profondément tendre, réconforte les autres adolescents. Affublé affectueusement du surnom de « maman », il mentirait s’il disait qu’il ne passait pas une grande partie de son temps à rappeler au groupe que, parfois, réfléchir peut prévenir la plupart des problèmes. Malgré son cercle d’amis, Céleste ne peut s’empêcher, par moment, de se sentir mal à l’aise dans son propre corps. Sa mère et sa tante disent que c’est « l’adolescence », mais le garçon n’est pas sûr que cela ne soit que lié aux changements de cette période. Céleste a parfois l’impression qu’il ne parvient pas à saisir la réalité, comme un spectre qui observerait les vivants ; presque envieux de leur position. Il ne devrait pas trop se plaindre cela dit. Son petit monde semble enclin à le laisser aller à la vitesse qui lui convient le mieux, lui laisse le temps d’hésiter, de changer d’avis et de trouver le chemin qui lui parait le plus doux. Pourtant, il arrive à Céleste d’avoir l’impression de suffoquer. Il fait de son mieux pour ne pas y penser, cette étrange sensation finit toujours disparaître après quelques minutes.
Bien que jeune lorsque l’annonce des clefs a déferlé sur le monde, Céleste en a un très vague souvenir. Il ne connait personne qui aurait trouvé l’une de ces légendaires clefs. Pendant longtemps, dans son esprit, elles étaient aussi réelles que les fables que son père lui racontait enfant. Jusqu’au jour où il en a trouvé une. Encore maintenant, il ne comprend pas pourquoi lui et pas quelqu’un d’autre ou comment elle est arrivée dans la cave de l’immeuble… Complètement par hasard, alors qu’il devait s’y rendre pour ranger leur local pour tenir une promesse qu’il avait faite à son oncle, ses yeux ont été attiré par un éclat lorsque les lumières automatiques se sont enclenchées. Céleste se souvient avoir hésité. L’image est encore vive dans son esprit : celle de cette clef qu’il tient délicatement entre ses doigts. Des pensées qui lui ont traversé l’esprit. La reposer. La donner à ses parents. Il n’y en a qu’une seule. L’idée de se retrouver seul dans un monde qu’il ne connait pas. L’éventualité que toute cette histoire ne soit qu’un mensonge pour réguler la population. La peur. Alors il l’a serrée dans sa paume, incapable de la lâcher, avant de se mettre en route vers le local de son oncle pour le ranger. S’il doit disparaitre de ce monde, il aime autant le faire après avoir tenu sa promesse.
Ce qu’il s’est passé après la discussion avec sa famille reste très flou. Certainement qu’il a eu, lui-même, beaucoup de mal à faire sens de tout ce qui est arrivé. Pourtant, Céleste n’a pas versé son sang dessus tout de suite. Il est remonté dans l’appartement, préférant parler de sa découverte avec sa tante et son oncle. Ses parents sont arrivés. Tout le monde était très calme. Peut-être même trop. La sœur de sa mère n’a jamais eu d’enfants, n'en a jamais voulu, et pourtant elle a pris grand soin de Céleste pendant huit ans. Ses propres parents n’avaient pas prévu sa venue dans ce monde. Toutefois, les adultes autour de la table n’ont pas envie de le voir partir. Égoïstement, peut-être. Ils pourraient vendre la clef et tous vivre confortablement ici, mais cela ne serait pas juste. Alors ils ont laissé la clef à l’adolescent.
C’est à partir de ce moment que les évènements sont nébuleux dans la mémoire de Céleste. Peut-être le stress. Peut-être la rapidité avec laquelle tout s’est enchainé. Lui qui n’a que si peu l’habitude d’être autant sollicité. Lui a qui on a donné la chance d’avoir une vie meilleure.
Et quelle nouvelle vie que voilà. Même en essayant de toutes ses forces, surement que Céleste n’aurait pas pu inventer un tier des choses qui lui sont arrivé depuis qu’il est apparu sur Ozéna. Seulement cette fois, les membres du clergé lui ont laissé plus de temps pour comprendre, se faire à l’idée, appréhender ce nouveau monde. Et si le triton espérait échapper à l’école et devenir un adulte en passant le portail, le voilà pris dans les filets d’un autre système aux rouages parfaitement huilés. Pour son bien. Tant mieux, ça lui évitera de se sentir trop perdu.
Avant Ozéna, Céleste n’avait jamais vraiment prêté grande attention à la religion en général. Peut-être qu’elle lui est venue plus naturellement au sein d’Azamyr par sa promiscuité avec les prêtres et prêtresses. Le comment et le pourquoi n’ont que très peu d’importance : Céleste trouve du réconfort dans la prière. Une accalmie dans l’ouragan de nouveautés. Pendant quelques saisons, il s’est simplement rendu aux lectures, il s’est montré curieux. Puis avec le temps, il s’est mis à faire plus de choses pour le prieuré. Le jeune triton éviter la terre ferme la plupart du temps, à l’exception des heures qu’il peut passer à méditer, contempler ou prier. Parfois, simplement parler avec les Dieux. Même si cela reste une conversation à sens unique, Céleste a passé beaucoup de son temps libre à ouvrir son cœur à Lysrus. Après tout, il n’est qu’un enfant, seul, dans un monde dont il ignore tout, alors il a mis tous ses doutes, ses peurs, ses joies, ses pleurs, ses rêves entre les mains du Dieu de la Justice. Comme une figure paternel distante, dans le mutisme de ce dernier, Céleste a su trouver un peu de courage.
La Marque sur sa main est apparue durant l’année de ses vingt ans. Le jeune homme ignore ce que le Dieu a pu voir en lui, mais il n’en est pas moins reconnaissant de la confiance qui lui a été accordée par le Divin. Lui qui a toujours vu ses offrandes comme risibles comparées à ce que d’autres ont pu apporter au Temple… Peut-être que Lysrus n’y a vu que la sincérité d’une âme dévouée.
Dans un monde où les abysses entre l’élite et les pauvres sont des plus vastes, il existe toujours ceux qui flottent entre deux : ni riches, ni pauvres. Comme la famille de Céleste. Ils ne sont pas forcément ce que l’on pourrait appeler confortables, mais ils s’en sortent. Ses parents ne s’attendaient pas spécialement à sa venue sur cette maudite terre, ils ont fait avec. Tant et si bien que lorsqu’ils se sont rendu compte qu’ils ne parviendraient pas à s’en occuper correctement, travaillant énormément tous les deux, ils ont gentiment décidé de le laisser à la sœur de son père. Quelque temps. Pas longtemps. Temporairement. Une poignée de mois, tout au plus. Il n’avait que huit ans. Céleste n’a pas posé de questions, les adultes savent mieux que lui de toute façon.
Quelques mois se sont transformés en années en un battement de cils : il a désormais seize ans. Céleste ne sait pas ce qu’il veut faire. Au vu de ses résultats scolaires, les choix ne seront pas nombreux. Il n’est pas mauvais, il n’est pas dans les meilleurs. Ce qui le rend parfaitement moyen. Sa tante et son oncle ne semblent pas lui en tenir rigueur. La norme convient. Au moins, ainsi, il pourra subvenir à ses propres besoins lorsque le temps sera venu pour l’adolescent de plonger dans l’océan qu’est la vie adulte. Cependant, pour le moment, ils ont décidé de laisser le jeune garçon naviguer sur les eaux de la vie à son aise. À son rythme. Son entourage a bien vu que Céleste n’aimait pas être pressé, bousculé ici et là. Non, le garçon préfère prendre son temps. Se perdre dans la contemplation du monde qui l’entoure. Aussi neurasthénique soit-il.
Et même si Céleste aimerait faire de la musique son métier, il n’est pas naïf sur le sujet… Personne ne le lui dit clairement, mais l’art, que cela soit ses peintures ou son violon, ne sont que des bulles de savon, fragiles et si aisément brisables ; les rêves d’un enfant que l’on craint de détruire. Cela n’empêchera pas Céleste de crayonner des animaux et de jouer des mélodies mélancoliques, les pleurs candides d’un cœur qui soupire.
Céleste a quelques amis, pas trop. Juste assez. Sa timidité l’empêchant souvent d’aller à la rencontre des autres pendant les cours, il tend à simplement sourire ou rire aux frasques de ses camarades. Sa nature douce, profondément tendre, réconforte les autres adolescents. Affublé affectueusement du surnom de « maman », il mentirait s’il disait qu’il ne passait pas une grande partie de son temps à rappeler au groupe que, parfois, réfléchir peut prévenir la plupart des problèmes. Malgré son cercle d’amis, Céleste ne peut s’empêcher, par moment, de se sentir mal à l’aise dans son propre corps. Sa mère et sa tante disent que c’est « l’adolescence », mais le garçon n’est pas sûr que cela ne soit que lié aux changements de cette période. Céleste a parfois l’impression qu’il ne parvient pas à saisir la réalité, comme un spectre qui observerait les vivants ; presque envieux de leur position. Il ne devrait pas trop se plaindre cela dit. Son petit monde semble enclin à le laisser aller à la vitesse qui lui convient le mieux, lui laisse le temps d’hésiter, de changer d’avis et de trouver le chemin qui lui parait le plus doux. Pourtant, il arrive à Céleste d’avoir l’impression de suffoquer. Il fait de son mieux pour ne pas y penser, cette étrange sensation finit toujours disparaître après quelques minutes.
Bien que jeune lorsque l’annonce des clefs a déferlé sur le monde, Céleste en a un très vague souvenir. Il ne connait personne qui aurait trouvé l’une de ces légendaires clefs. Pendant longtemps, dans son esprit, elles étaient aussi réelles que les fables que son père lui racontait enfant. Jusqu’au jour où il en a trouvé une. Encore maintenant, il ne comprend pas pourquoi lui et pas quelqu’un d’autre ou comment elle est arrivée dans la cave de l’immeuble… Complètement par hasard, alors qu’il devait s’y rendre pour ranger leur local pour tenir une promesse qu’il avait faite à son oncle, ses yeux ont été attiré par un éclat lorsque les lumières automatiques se sont enclenchées. Céleste se souvient avoir hésité. L’image est encore vive dans son esprit : celle de cette clef qu’il tient délicatement entre ses doigts. Des pensées qui lui ont traversé l’esprit. La reposer. La donner à ses parents. Il n’y en a qu’une seule. L’idée de se retrouver seul dans un monde qu’il ne connait pas. L’éventualité que toute cette histoire ne soit qu’un mensonge pour réguler la population. La peur. Alors il l’a serrée dans sa paume, incapable de la lâcher, avant de se mettre en route vers le local de son oncle pour le ranger. S’il doit disparaitre de ce monde, il aime autant le faire après avoir tenu sa promesse.
Ce qu’il s’est passé après la discussion avec sa famille reste très flou. Certainement qu’il a eu, lui-même, beaucoup de mal à faire sens de tout ce qui est arrivé. Pourtant, Céleste n’a pas versé son sang dessus tout de suite. Il est remonté dans l’appartement, préférant parler de sa découverte avec sa tante et son oncle. Ses parents sont arrivés. Tout le monde était très calme. Peut-être même trop. La sœur de sa mère n’a jamais eu d’enfants, n'en a jamais voulu, et pourtant elle a pris grand soin de Céleste pendant huit ans. Ses propres parents n’avaient pas prévu sa venue dans ce monde. Toutefois, les adultes autour de la table n’ont pas envie de le voir partir. Égoïstement, peut-être. Ils pourraient vendre la clef et tous vivre confortablement ici, mais cela ne serait pas juste. Alors ils ont laissé la clef à l’adolescent.
C’est à partir de ce moment que les évènements sont nébuleux dans la mémoire de Céleste. Peut-être le stress. Peut-être la rapidité avec laquelle tout s’est enchainé. Lui qui n’a que si peu l’habitude d’être autant sollicité. Lui a qui on a donné la chance d’avoir une vie meilleure.
Et quelle nouvelle vie que voilà. Même en essayant de toutes ses forces, surement que Céleste n’aurait pas pu inventer un tier des choses qui lui sont arrivé depuis qu’il est apparu sur Ozéna. Seulement cette fois, les membres du clergé lui ont laissé plus de temps pour comprendre, se faire à l’idée, appréhender ce nouveau monde. Et si le triton espérait échapper à l’école et devenir un adulte en passant le portail, le voilà pris dans les filets d’un autre système aux rouages parfaitement huilés. Pour son bien. Tant mieux, ça lui évitera de se sentir trop perdu.
Avant Ozéna, Céleste n’avait jamais vraiment prêté grande attention à la religion en général. Peut-être qu’elle lui est venue plus naturellement au sein d’Azamyr par sa promiscuité avec les prêtres et prêtresses. Le comment et le pourquoi n’ont que très peu d’importance : Céleste trouve du réconfort dans la prière. Une accalmie dans l’ouragan de nouveautés. Pendant quelques saisons, il s’est simplement rendu aux lectures, il s’est montré curieux. Puis avec le temps, il s’est mis à faire plus de choses pour le prieuré. Le jeune triton éviter la terre ferme la plupart du temps, à l’exception des heures qu’il peut passer à méditer, contempler ou prier. Parfois, simplement parler avec les Dieux. Même si cela reste une conversation à sens unique, Céleste a passé beaucoup de son temps libre à ouvrir son cœur à Lysrus. Après tout, il n’est qu’un enfant, seul, dans un monde dont il ignore tout, alors il a mis tous ses doutes, ses peurs, ses joies, ses pleurs, ses rêves entre les mains du Dieu de la Justice. Comme une figure paternel distante, dans le mutisme de ce dernier, Céleste a su trouver un peu de courage.
La Marque sur sa main est apparue durant l’année de ses vingt ans. Le jeune homme ignore ce que le Dieu a pu voir en lui, mais il n’en est pas moins reconnaissant de la confiance qui lui a été accordée par le Divin. Lui qui a toujours vu ses offrandes comme risibles comparées à ce que d’autres ont pu apporter au Temple… Peut-être que Lysrus n’y a vu que la sincérité d’une âme dévouée.
- Palier de pouvoir:
- Palier 1
- Chronologie générale:
- 4167 - Naissance.
4175 - Emménage chez sa tante.
4183 - Départ pour Ozéna.
112 - Arrivée à Ozéna.
116 - Apparition de la Marque sur sa main.
- Inventaire:
- Un hanfu très simple, pour les sorties hors de l'eau ;
Des perles de toutes les tailles et toutes les couleurs, ou presque ;
Des pierres de couleur, précieuses ou non ;
Une brosse à cheveux ;
Des bracelets délicats de factures plutôt simples ;
Un collier avec une petite perle en pendentif ;
Une dague, parce que le monde est dangereux (?) ;
D'autres babioles en tout genre qu'il entasse dans sa chambre.
Physique
1m78 ; ~65kg ; Yeux hazel ; cheveux longs et bruns ;
Céleste est plutôt grand, malgré son évidente facilité à se fondre dans le décor. Élancé, délicat, avec une musculature qui a le mérite d’exister. Principalement depuis qu’il est à Ozéna, il fait bien plus d’exercices que sur Terre. Les eaux sont vastes et sa curiosité l’emmène parfois dans des explorations plus laborieuses que prévu.
Un visage aux traits fins, des yeux variant du marron à l’hazel, des jolies lèvres pleines, un nez droit et étroit, des sourcils et des cils qui ne font qu’agrémenter son charme angélique. Le tout encadré par une très longue chevelure de soie sombre.
Dans l’eau, les écailles de la queue de Céleste sont blanches, rappelant facilement les nuances du nacre avec les reflets qui glissent sur ces dernières.
Céleste est plutôt grand, malgré son évidente facilité à se fondre dans le décor. Élancé, délicat, avec une musculature qui a le mérite d’exister. Principalement depuis qu’il est à Ozéna, il fait bien plus d’exercices que sur Terre. Les eaux sont vastes et sa curiosité l’emmène parfois dans des explorations plus laborieuses que prévu.
Un visage aux traits fins, des yeux variant du marron à l’hazel, des jolies lèvres pleines, un nez droit et étroit, des sourcils et des cils qui ne font qu’agrémenter son charme angélique. Le tout encadré par une très longue chevelure de soie sombre.
Dans l’eau, les écailles de la queue de Céleste sont blanches, rappelant facilement les nuances du nacre avec les reflets qui glissent sur ces dernières.
Caractère
Doux ; Rêveur ; Tendre ; Timide ; Impressionnable ; Naïf ; Curieux ; Matérialiste ; Superficiel ; Mutin ; Délicat ; Sensible ; Superstitieux ; Contemplatif ;
Céleste est un être profondément doux. Peut-être trop naïf. Il préfère se dire qu’il y a du bon en chacun plutôt que de voir l’éventualité que les personnes autour n’ont pas que de bonnes attentions.
Le jeune homme n’est pas idiot pour autant, mais parfois sa bonté le rend vulnérable. Il ne sait pas être rancunier et pardonne les fautes qu’il estime pardonnables. Tout ne l’est pas, mais jusque-là, personne n’a été trop loin.
Rêveur, il aime le calme et se perdre dans les paysages marins ou ses pensées au Temple de Lysrus. Céleste aime la musique et le dessin, mais depuis qu’il est sur Ozéna, il se prend à faire de petites créations avec les matériaux qu’il trouve dans l’eau. Rien de bien extraordinaire, mais cela peut occuper ses journées.
Comme tout le monde, il a des craintes. Des peurs plus ou moins rationnelles selon chacun, mais aucune phobie à proprement parler. Il n’est pas vraiment courageux, alors il préféra faire demi-tour s’il n’est pas sûr de pouvoir s’en sortir tout seul.
Demander de l’aide n’est pas quelque chose qui le dérange outre mesure : il a même tendance à solliciter ses ainé.e.s au moindre doute dans son quotidien. Il est un adulte, certes, mais Céleste n’a pas la prétention de penser avoir la science infuse et apprécie les conseils ainsi que les avis des personnes plus sages que lui.
Sa foi a pris plus de place dans sa vie qu’il ne l’aurait jamais cru. Une forme de paix intérieure. Ses monologues à Lysrus lui font du bien. Que le Dieu l’entende ou pas, ce n’est qu’un tout petit détail dans l’océan de ses croyances.
Céleste est un être profondément doux. Peut-être trop naïf. Il préfère se dire qu’il y a du bon en chacun plutôt que de voir l’éventualité que les personnes autour n’ont pas que de bonnes attentions.
Le jeune homme n’est pas idiot pour autant, mais parfois sa bonté le rend vulnérable. Il ne sait pas être rancunier et pardonne les fautes qu’il estime pardonnables. Tout ne l’est pas, mais jusque-là, personne n’a été trop loin.
Rêveur, il aime le calme et se perdre dans les paysages marins ou ses pensées au Temple de Lysrus. Céleste aime la musique et le dessin, mais depuis qu’il est sur Ozéna, il se prend à faire de petites créations avec les matériaux qu’il trouve dans l’eau. Rien de bien extraordinaire, mais cela peut occuper ses journées.
Comme tout le monde, il a des craintes. Des peurs plus ou moins rationnelles selon chacun, mais aucune phobie à proprement parler. Il n’est pas vraiment courageux, alors il préféra faire demi-tour s’il n’est pas sûr de pouvoir s’en sortir tout seul.
Demander de l’aide n’est pas quelque chose qui le dérange outre mesure : il a même tendance à solliciter ses ainé.e.s au moindre doute dans son quotidien. Il est un adulte, certes, mais Céleste n’a pas la prétention de penser avoir la science infuse et apprécie les conseils ainsi que les avis des personnes plus sages que lui.
Sa foi a pris plus de place dans sa vie qu’il ne l’aurait jamais cru. Une forme de paix intérieure. Ses monologues à Lysrus lui font du bien. Que le Dieu l’entende ou pas, ce n’est qu’un tout petit détail dans l’océan de ses croyances.
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
CélesteÂge
[age="4167"]Race
TritonMaison
Maison des Maintes EauxMétier
Oracle de LysrusFeat
Xie Lian - Heaven Official's BlessingOzéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Notre oracle de Lysrus, on l'attendait avec impatience ! Quel personnage doux et innocent, ça nous change, on espère qu'il ne se fera pas trop bousculer en Ozéna et que ses prédictions ne seront pas de trop mauvais augure... J'ai beaucoup apprécié la lecture de ta fiche, j'espère te croiser en RP un de ces quatre
Te voilà presque fin prêt à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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