Aujourd'hui à 16:35 par Kaël
Aujourd'hui à 13:20 par Balthazar Boyd
Aujourd'hui à 12:40 par Liriel Ryn
Aujourd'hui à 11:29 par Galatéa
Aujourd'hui à 10:47 par Wilø Lund
Aujourd'hui à 9:45 par Severus de Morange
Hier à 18:50 par Soukaïna
Hier à 17:42 par Invité
Hier à 15:05 par Faelan Vireo
Ori [Terminée]
Ori
Maison du Ciel et du Souffle
Histoire
Le bruit d'une gâchette qu'on presse. Un cri de douleur après l'instant d'incrédulité. Le regard d'une enfant qui s'éteint. Le désespoir dans les yeux d'une âme emportée trop tôt. Des songes qui auraient dû guider mes nuits, laisser des draps bien trop souvent tâchés de sueurs témoignant de leur fréquence. Certains disent que votre première victime reste gravée dans votre mémoire, d'autres que chacune d'entre elles viendront vous hanter.
Ce n'était pas mon cas.
J'avais erré dans trop de guerres, forgé trop de dettes de sang pour me permettre tout remord, toute faiblesse. Trop de ceux que j'avais pu considérer comme mes compagnons s'en étaient allés, et ainsi avais-je préféré la solitude à la tristesse, le corps brisé tant par la vieillesse que par le tableau qu'avaient peint sur mon corps les innombrables batailles auxquelles j'avais participé. Tuer était mon métier, et j'en avais fait un art, dont le canvas n'avait été rattrapé que par le temps.
Elle était arrivée une nuit d'octobre, un fantôme effrayé sous un manteau de velours rapiécé, le corps glacé en quête de chaleur. Son regard n'avait rien dit de sa provenance, pas plus que ses lèvres mutiques, mais crié sa détresse. Sans savoir pourquoi, je lui ouvrais. Un repas avalé bien trop vite, un regard fuyant, elle était, comme beaucoup avant elle, une âme traquée qu'un autre convoitait.
Les jours se transformèrent en semaines, les semaines en mois. Nous ne quittions que rarement la tanière isolée dans laquelle je m'étais réfugié depuis tant d'années. Elle m'avait offert son premier sourire, tout aussi discret que sincère, lorsque pour la première fois je lui offrais une fleur - une vraie. Comme beaucoup d'autres, mes jours étaient comptés, mais j'avais la chance d'avoir suffisamment pour tenir jusqu'au dernier repos. Ce ne serait, à mon départ, probablement pas son cas.
Les nuits devinrent plus longues, les silences plus doux. Je me découvrais errer dans des souvenirs de rire, des moments volés à la torpeur de ma solitude. Un lien fragile, comme une flamme vacillante dans un monde de ténèbres - elle avait tout illuminé. Le temps passant, son visage s'était animé d'émotions que je ne lui connaissais pas, redécouvrant des gestes simples que nous avions tous deux oubliés. Avec elle, chaque sourire partagé était une victoire, une preuve que quelque chose de pur et de bon pouvait encore émerger d'une âme aussi corrompue que la mienne. Elle était arrivée de rien, elle était désormais mon tout.
Et la réalité nous rattrapa.
Une troupe silencieuse s'était avancée, fondue dans la nuit. Mais mes sens ne m'avaient, une fois encore, pas trompés. Si je ne connaissais leurs visages, j'en avais partagé l'avidité. Dissimulé dans l'ombre, une main couverte d'un épais tissu couvrait la bouche d'un premier homme isolé, avant qu'un couteau n'embrasse son cou. Calmement, je m'approchais d'un second. Un mouvement sec, une torsion familière. Le poids de son corps s'effondrait dans un murmure étouffé.
Deux autres entrèrent, ignorant la disparition de ceux ayant partagé, je l'imaginais, gîte et couvert quelques heures plus tôt. J'avais l'avantage de l'expérience, mais la faiblesse de l'âge alors que me rattrapait mon corps meurtri, chaque muscle criant alors que je ne parvenais à soumettre un troisième homme. Un instant de surprise, un instant de trop, c'était suffisant pour qu'il ne fasse volte face et ne m'assène un coup suffisamment violent pour que mon visage épouse les pavés, qu'un pistolet ne soit levé.
« Stop ! »
Elle se tenait là, droite et décidée, une clé suspendue dans sa main, le dernier fragment d'une vie passée qu'elle avait souhaité laisser derrière elle, désormais monnaie d'échange pour ma vie. C'était là le premier mot qu'elle avait prononcé en ma présence. C'était aussi le dernier.
Le bruit d'une gâchette qu'on presse. Un cri de douleur après l'instant d'incrédulité. Le regard d'une enfant qui s'éteint. Le désespoir dans les yeux d'une âme emportée trop tôt.
Le monde s'arrêta. Le bruit perçant résonnait encore dans mes oreilles, un écho effaçant des mois qui avaient semblé durer une vie. Elle s'effondra, son visage tourné vers moi alors qu'elle lançait dans ma direction cette clé pour laquelle tant s'étaient battus.
Un feu s’était allumé, un brasier intérieur comme jamais je n’en avais connu. Le corps brisé et le souffle court, j’arrachais une victoire à la douleur, ignorant la vieillesse, les muscles fatigués, seulement animé par un unique objectif : leur mort, la mort de leurs responsables, des responsables de leurs responsables, de tous ceux qui étaient liés, de près ou de loin, à la perte d’un être dont je ne comprenais qu’alors l’importance.
Je me lançais dans la direction de l’un d’entre eux. Il avait éteint ma lumière, j’éteignais donc la sienne avec une simple paire de doigts. Titubant en arrière, armé de cris et de pleurs, faisant feu au hasard en trébuchant contre une chaise, je m’approchais de lui pour finir le travail.
Mes esprits retrouvés, je constatais l’absence du dernier homme. Il avait fui, mais la douleur, elle, était restée, ravivée par la découverte d’une mare de sang dans laquelle la clé qu’elle m’avait lancé baignait déjà. Le mien.
Mon esprit s’éloignait de mon corps alors que des silhouettes distinctes s'approchaient. Leurs voix semblaient si proches et pourtant si loin. Je fus soulevé, comme un vulgaire cadavre à transporter. Chaque pensée, chaque mouvement me rappelait à une fin si proche.
Ma vengeance n’aurait pas lieu.
Soudain, j’étais aspiré, un déchirement dans l’air, comme une plaie béante au coeur de la réalité. Comme si l’on aspirait mon être tout entier, un frisson glacé pour seul compagnon de voyage. Je chutais, happé vers un lieu où les lois de la physique semblaient si lointaines.
Son visage. Son sourire.
… Leurs visages. Leurs sourires. Je devais leur arracher. Je dois leur arracher. Je dois les tuer. Je dois tous les tuer.
Une gâchette. Un cri. Un regard. Le noir.
Une lumière aveuglante perçait mes paupières. A peine ouverte, j’étais accueilli par deux prêtres, dont la nature était toute sauf humaine. Azamyr. Ekaris. Ozéna. Un flot de noms dont je n’avais que faire. Ce monde n’était rien de plus qu’une prison, un obstacle sur mon chemin vers la vengeance.
Mon esprit torturé par la transition reprenait doucement forme alors que la douleur, de celles qui ne guérissent pas avec le temps, se changeait en détermination. Les jours devinrent semaines, et je restais mutique, s'acclimatant chaque jour davantage à ce nouveau corps, jeune, robuste, que l’on m’avait offert.
Ils étaient toujours présents, et mes moindres faits et gestes étaient épiés. Ils appelaient cela de l’acclimatation, mais ils n’étaient en réalité que les geôliers surveillant constamment leur nouveau captif.
Ce monde n’était qu’une illusion, et j’étais déterminé à la briser. Peu importe les moyens, peu importe le coût, peu importe les vies, peu importe la destruction nécessaire pour y parvenir. Leurs dieux, leurs lois, leurs secrets, rien n’entraverait le chemin de ma vengeance.
Ce n'était pas mon cas.
J'avais erré dans trop de guerres, forgé trop de dettes de sang pour me permettre tout remord, toute faiblesse. Trop de ceux que j'avais pu considérer comme mes compagnons s'en étaient allés, et ainsi avais-je préféré la solitude à la tristesse, le corps brisé tant par la vieillesse que par le tableau qu'avaient peint sur mon corps les innombrables batailles auxquelles j'avais participé. Tuer était mon métier, et j'en avais fait un art, dont le canvas n'avait été rattrapé que par le temps.
Elle était arrivée une nuit d'octobre, un fantôme effrayé sous un manteau de velours rapiécé, le corps glacé en quête de chaleur. Son regard n'avait rien dit de sa provenance, pas plus que ses lèvres mutiques, mais crié sa détresse. Sans savoir pourquoi, je lui ouvrais. Un repas avalé bien trop vite, un regard fuyant, elle était, comme beaucoup avant elle, une âme traquée qu'un autre convoitait.
Les jours se transformèrent en semaines, les semaines en mois. Nous ne quittions que rarement la tanière isolée dans laquelle je m'étais réfugié depuis tant d'années. Elle m'avait offert son premier sourire, tout aussi discret que sincère, lorsque pour la première fois je lui offrais une fleur - une vraie. Comme beaucoup d'autres, mes jours étaient comptés, mais j'avais la chance d'avoir suffisamment pour tenir jusqu'au dernier repos. Ce ne serait, à mon départ, probablement pas son cas.
Les nuits devinrent plus longues, les silences plus doux. Je me découvrais errer dans des souvenirs de rire, des moments volés à la torpeur de ma solitude. Un lien fragile, comme une flamme vacillante dans un monde de ténèbres - elle avait tout illuminé. Le temps passant, son visage s'était animé d'émotions que je ne lui connaissais pas, redécouvrant des gestes simples que nous avions tous deux oubliés. Avec elle, chaque sourire partagé était une victoire, une preuve que quelque chose de pur et de bon pouvait encore émerger d'une âme aussi corrompue que la mienne. Elle était arrivée de rien, elle était désormais mon tout.
Et la réalité nous rattrapa.
Une troupe silencieuse s'était avancée, fondue dans la nuit. Mais mes sens ne m'avaient, une fois encore, pas trompés. Si je ne connaissais leurs visages, j'en avais partagé l'avidité. Dissimulé dans l'ombre, une main couverte d'un épais tissu couvrait la bouche d'un premier homme isolé, avant qu'un couteau n'embrasse son cou. Calmement, je m'approchais d'un second. Un mouvement sec, une torsion familière. Le poids de son corps s'effondrait dans un murmure étouffé.
Deux autres entrèrent, ignorant la disparition de ceux ayant partagé, je l'imaginais, gîte et couvert quelques heures plus tôt. J'avais l'avantage de l'expérience, mais la faiblesse de l'âge alors que me rattrapait mon corps meurtri, chaque muscle criant alors que je ne parvenais à soumettre un troisième homme. Un instant de surprise, un instant de trop, c'était suffisant pour qu'il ne fasse volte face et ne m'assène un coup suffisamment violent pour que mon visage épouse les pavés, qu'un pistolet ne soit levé.
« Stop ! »
Elle se tenait là, droite et décidée, une clé suspendue dans sa main, le dernier fragment d'une vie passée qu'elle avait souhaité laisser derrière elle, désormais monnaie d'échange pour ma vie. C'était là le premier mot qu'elle avait prononcé en ma présence. C'était aussi le dernier.
Le bruit d'une gâchette qu'on presse. Un cri de douleur après l'instant d'incrédulité. Le regard d'une enfant qui s'éteint. Le désespoir dans les yeux d'une âme emportée trop tôt.
Le monde s'arrêta. Le bruit perçant résonnait encore dans mes oreilles, un écho effaçant des mois qui avaient semblé durer une vie. Elle s'effondra, son visage tourné vers moi alors qu'elle lançait dans ma direction cette clé pour laquelle tant s'étaient battus.
Un feu s’était allumé, un brasier intérieur comme jamais je n’en avais connu. Le corps brisé et le souffle court, j’arrachais une victoire à la douleur, ignorant la vieillesse, les muscles fatigués, seulement animé par un unique objectif : leur mort, la mort de leurs responsables, des responsables de leurs responsables, de tous ceux qui étaient liés, de près ou de loin, à la perte d’un être dont je ne comprenais qu’alors l’importance.
Je me lançais dans la direction de l’un d’entre eux. Il avait éteint ma lumière, j’éteignais donc la sienne avec une simple paire de doigts. Titubant en arrière, armé de cris et de pleurs, faisant feu au hasard en trébuchant contre une chaise, je m’approchais de lui pour finir le travail.
Mes esprits retrouvés, je constatais l’absence du dernier homme. Il avait fui, mais la douleur, elle, était restée, ravivée par la découverte d’une mare de sang dans laquelle la clé qu’elle m’avait lancé baignait déjà. Le mien.
Mon esprit s’éloignait de mon corps alors que des silhouettes distinctes s'approchaient. Leurs voix semblaient si proches et pourtant si loin. Je fus soulevé, comme un vulgaire cadavre à transporter. Chaque pensée, chaque mouvement me rappelait à une fin si proche.
Ma vengeance n’aurait pas lieu.
Soudain, j’étais aspiré, un déchirement dans l’air, comme une plaie béante au coeur de la réalité. Comme si l’on aspirait mon être tout entier, un frisson glacé pour seul compagnon de voyage. Je chutais, happé vers un lieu où les lois de la physique semblaient si lointaines.
Son visage. Son sourire.
… Leurs visages. Leurs sourires. Je devais leur arracher. Je dois leur arracher. Je dois les tuer. Je dois tous les tuer.
Une gâchette. Un cri. Un regard. Le noir.
Une lumière aveuglante perçait mes paupières. A peine ouverte, j’étais accueilli par deux prêtres, dont la nature était toute sauf humaine. Azamyr. Ekaris. Ozéna. Un flot de noms dont je n’avais que faire. Ce monde n’était rien de plus qu’une prison, un obstacle sur mon chemin vers la vengeance.
Mon esprit torturé par la transition reprenait doucement forme alors que la douleur, de celles qui ne guérissent pas avec le temps, se changeait en détermination. Les jours devinrent semaines, et je restais mutique, s'acclimatant chaque jour davantage à ce nouveau corps, jeune, robuste, que l’on m’avait offert.
Ils étaient toujours présents, et mes moindres faits et gestes étaient épiés. Ils appelaient cela de l’acclimatation, mais ils n’étaient en réalité que les geôliers surveillant constamment leur nouveau captif.
Ce monde n’était qu’une illusion, et j’étais déterminé à la briser. Peu importe les moyens, peu importe le coût, peu importe les vies, peu importe la destruction nécessaire pour y parvenir. Leurs dieux, leurs lois, leurs secrets, rien n’entraverait le chemin de ma vengeance.
- Palier de pouvoir:
- Palier 1
- Chronologie générale:
- 4116 : Naissance
4136-4176 : Carrière en tant que soldat puis mercenaire
4188 : Rencontre avec la jeune femme
4189 : Traversée du portail
- Inventaire:
- Une dague rudimentaires.
Physique
Ori possède une allure intense et imposante, avec des traits anguleux et une expression sombre qui reflète son passé de combattant endurci. Son visage sculpté, marqué par des pommettes saillantes et une mâchoire définie, est encadré par de longs cheveux noirs légèrement ondulés, ajoutant à son aura. Ses yeux perçants, empreints de froideur, semblent analyser tout ce qui l'entoure, et ses oreilles effilées rappellent son ascendance fae. Vêtu de vêtements sombres et utilitaires aux textures robustes, il se tient droit, toujours sur la défensive, comme un homme prêt à affronter n'importe quelle menace.
Caractère
Ori est un homme froid, calculateur et implacable, dont chaque action est méticuleusement planifiée. Peu enclin à laisser ses émotions transparaître, il sait manipuler les autres en jouant sur les apparences, se montrant habile menteur et stratège. Pragmatique jusqu’à l’extrême, il considère les gens comme des pions à utiliser pour atteindre ses objectifs. Derrière son calme glacial et son intelligence acérée, il est prêt à tout, y compris à trahir ou à jouer des sentiments, pour accomplir sa vengeance et regagner la Terre.
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
OriÂge
[age="4116"]Race
Fae SeelieMaison
Maison du Ciel et du SouffleMétier
A définirFeat
RavenzerodarkOzéna
Staff
Quelques modifications
Bonjour Ori ! J'ai réparé ta fiche, dont le code était cassé.
Avant de pouvoir procéder à ta validation, il va falloir effectuer quelques modifications :
● Il y a deux armes dans ton inventaire. Une seule arme rudimentaire est autorisée à la création du personnage, tu peux en avoir d'autres mais elles seront purement esthétiques et inutilisables. Il faut donc en choisir une !
● De ce que je comprends, Ori vient d'arriver à Azamyr. A ce stade, il est encore sous la coupelle des prêtres, ensuite d'un mentor. Il n'en sera "libéré" que lorsqu'il sera autonome (cela inclut donc trouver un métier, s'installer dans sa chambre au QG, s'habituer à la ville etc etc...). Le métier d'espion est pour nous très flou. Qu'est-ce qu'Ori espionne exactement, pour qui, dans quel but ? Comment espionne t-il ? De plus, nous nous devons de te prévenir qu'un tel choix risque d'extrêmement te limiter dans ton jeu.
La société d'Azamyr tient actuellement sur la collaboration et n'est peuplée que de 300 personnes. Les possibilités d'espionnage sont moindres si ce n'est inexistantes et n'ont que peu d'enjeu. Pour l'heure, le Conseil entretient des relations cordiales (promis ça va bouger huhu). Au delà de n'avoir rien à espionner, si ton personnage se fait attraper, il risque l'exil pour ses tentatives de sabotage.
Si tu souhaites persister dans cette voie, ton personnage devra tout de même avoir un métier officiel au-delà de l'espionnage.
Fais-nous signe quand tu seras repassé par là !
Icône :
Messages :
1448
Job :
Univers
Feat :
Inconnu
Azys :
2032
Ori
Maison du Ciel et du Souffle
Bonjour,
Tout d'abord merci pour la correction !
J'ai corrigé l'inventaire pour ne garder que la dague rudimentaire.
Ori vient effectivement d'arriver, j'ai choisi Espion un peu par défaut depuis la liste des métiers disponibles, en pensant qu'on était obligés de prendre un métier. J'admets avoir mis celui-ci sans vraiment y réfléchir, pensant plus à un potentiel métier futur, mais en y repensant il est plus que probable que mon personnage se choisisse un métier standard et réalise d'autres activités plus douteuses en parallèle. J'ai pour l'instant mis "A définir", cela dépendra des RP (voir ci-dessous).
Je préfère effectivement qu'Ori vienne d'arriver il y a peu à Azamyr. Nous avons décidé d'un commun accord avec Iris que nos personnages sont arrivés à peu près au même moment, afin de créer un premier lien. Cela me donnera aussi l'opportunité de tenter d'utiliser cette nouvelle installation et recherche de métier dans le cadre de RP avec d'autres partenaires de jeu.
A bientôt,
Varkh/Ori
Tout d'abord merci pour la correction !
J'ai corrigé l'inventaire pour ne garder que la dague rudimentaire.
Ori vient effectivement d'arriver, j'ai choisi Espion un peu par défaut depuis la liste des métiers disponibles, en pensant qu'on était obligés de prendre un métier. J'admets avoir mis celui-ci sans vraiment y réfléchir, pensant plus à un potentiel métier futur, mais en y repensant il est plus que probable que mon personnage se choisisse un métier standard et réalise d'autres activités plus douteuses en parallèle. J'ai pour l'instant mis "A définir", cela dépendra des RP (voir ci-dessous).
Je préfère effectivement qu'Ori vienne d'arriver il y a peu à Azamyr. Nous avons décidé d'un commun accord avec Iris que nos personnages sont arrivés à peu près au même moment, afin de créer un premier lien. Cela me donnera aussi l'opportunité de tenter d'utiliser cette nouvelle installation et recherche de métier dans le cadre de RP avec d'autres partenaires de jeu.
A bientôt,
Varkh/Ori
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Merci pour les modifications, cette fois c'est parti !
Te voilà presque fin prêt à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
Icône :
Messages :
1448
Job :
Univers
Feat :
Inconnu
Azys :
2032
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum