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Lloyd - Nobody can die under my watch
Lloyd A. Valyenth
Maison de la Terre et du Sang
Histoire
Le monde va mal, mais les miracles continuent d'exister. Du moins, des miracles en apparence car comment pouvait-on appeler ma naissance ? Elle fut chaotique, empreinte de complications et la mort plana au dessus de cette salle d'accouchement durant un long moment. Mais le miracle fut, et je naquit dans les bras fermes d'un médecin quelconque. C'est ma mère que je vis en première, mon géniteur n'ayant pas daigné quitter son travail pour assister à un événement aussi futile. Par ailleurs, je ne me souviens pas avoir déjà vraiment eu un père.
Il était l'homme qui rentrait tard le soir, déposait un baisé de convenance sur les lèvres de ma mère puis partait se coucher pour disparaitre lorsque je me levais. Il n'était pas présent bien que parfois il eusse cette envie paternelle d'être là. Parfois cet homme restait plus longtemps, des journées entières où nous allions nous promener. Mais il avait toujours un oeil attiré pour son travail, toujours un mot d'excuse. Ma mère m'affirmait que mon géniteur nous aimait, mes yeux d'enfants ne voyaient là qu'un père absent et un fantôme qui se faisait appeler papa.
Je ne peux cependant pas me plaindre de cette enfance plutôt paisible dans ce monde qui brulait. Nous n'étions pas riches, mais la pauvreté ne nous atteignait pas non plus et le travail de mon paternel nous permettait de demeurer dans un quartier résidentiel de Londres tout à fait correcte.
Je pense que je ne le déteste pas. Je n'arrive juste pas à éprouver pour lui un quelconque lien d'affection même si je pouvais voir dans son regard des pointes d'amour lorsqu'il le posait sur ma mère. Ma douce et aimante mère qui m'éleva presque seule, tiraillée entre moi et son travail. Elle aimait son travail et m'en parlait avec passion. Sauver des vies, c'est ce qui la faisait vibrer tout autant que de me voir grandir et m'amuser avec les autres enfants. Non, je n'ai pas eu l'histoire triste de tous ces contes aux héros torturés. J'ai eu une enfance heureuse, ne manquant que d'un père.
Mais le bonheur ne dure jamais bien longtemps et la maladie, si hasardeuse, finit toujours par frapper cette enclave de soleil. Le monde brulait, le miens venait de s'embraser.
Rejoignant les clichés de ces histoires et films ennuyeux, je vis ma mère tomber malade. Ce genre de maladie dont on espère toujours pouvoir guérir mais qui au final, ne dépend que de la chance et des miracles du corps. Pourtant, je voyais dans son regard cette envie de vivre, cette envie de continuer à m'apprendre son métier, à m'en parler avec passion. Voilà qu'elle se retrouvait entre les mains de ses anciens collègues, affaiblie.
C'est peut-être la première fois que j'eus la chance de croiser autant mon paternel. Régulièrement, nous nous retrouvions au chevet de ma mère, à discuter avec elle, à rire, à être enfin une vraie famille. Il aura fallu que sa femme soit sur le palier de la mort pour qu'il daigne lâcher son travail et nous honorer de sa présence. J'avais grandit, j'avais gagné en maturité et je comprenais, quelque part, ses absences. Mais je n'arrivai pas à lui démontrer de l'affection, il demeurais un étranger à mes yeux.
Alors qu'elle s'en allait doucement, assommée par les diverses drogues, je me pris au jeu des études pour finalement intégrer une école de médecine. Peut-être que j'aurais pu être celui qui lui aurait sauvé la vie ? Peut-être que je l'aurais trouvé, ce remède miracle pour lui épargner cette maladie ?
Je finis par m'enfermer dans les études, passant de temps à autre à son chevet pour lui raconter, avec la même lueur dans les yeux, les choses incroyables que j'apprenais sur le corps humain. Et je ne le croisais plus. Il avait cesser de venir aussi régulièrement qu'avant. Elle m'expliqua que de la voir ainsi le faisait beaucoup souffrir. Je n'y voyais que de la lâcheté. Ma mère, si douce et prévenante, n'avait jamais vu que les bons côtés de mon paternel. Jamais elle ne lui reprocha d'être absent, pas même maintenant alors que sa vie s'éteignait.
Et il fut absent lorsqu'elle s'en alla.
Caché sous un masque impassible, je croisais à peine le regard de mon géniteur. Nous n'étions que deux à être venus. Tous deux ayant coupé les ponts avec leur familles respectives pour diverses raisons. Nous étions seuls à contempler son visage une dernière fois avant qu'elle ne parte définitivement. Je n'arrivais pas à être triste, pas en sa présence. Aucune larme ne coula ce jour là sur mes joues alors que les siennes en étaient inondées.
Et je compris. Il l'aimait, sincèrement.
Ce jour là fut le seul jour où je l'eu considéré comme mon père et non plus comme un étranger. Quelques mots furent échangés, succincts, avant que je ne reparte m'enfermer dans mes études, prenant la décision de moi aussi couper les ponts par orgueil et tristesse.
Quelques mots lourds de sens qui resteraient à jamais gravés en moi, me hantant de l'avoir ainsi ignoré et d'être parti sans lui dire au revoir.
Le suite fut... banale. Je continuais à étudier, à vivre une vie d'étudiant normal. Enfermé dans les fêtes toutes plus dépravées les unes que les autres, à me perdre dans l'alcool et les coups d'un soir. A oublier, que j'avais une famille.
Finalement, j'avais perdu le goût de la vie.
Puis vint cet instant où je rencontrais le projet "The Last Cured". Tout d'abord, je fut sceptique face à ces promesses trop belles. Mais je vint à me laisser porter par ces belles paroles et à vouloir moi aussi faire partie de ces heureux fous qui partaient vers l'inconnu, disparaissant complètement de ce plan de l'existence. La fantasy, car je ne pouvais imaginer ce nouveau monde autrement bien que personne ne sache à quoi il ressemble, ne semblait plus être un rêve et au fur et à mesure des jours qui passaient, je me mis à chercher ces fameuses clés. Quelle ne fut pas ma chance de constater que l'un de mes camarades de classe en possédait une, non utilisée qui plus est. L'ignare se plaisait à se pavaner avec, bien peu conscient du danger que cela représentait. Le monde brulait et cette arche fantastique semblait être notre dernier salut. Fort de quelques mots bien placés, alors que nous écoulions le breuvage des étudiants à grande gorgée, il finit par me céder son précieux sésame. Quelle aubaine, quel cliché. Je m'empressais alors de cacher bien précieusement ce salut qui me faisait rêver.
Et j'entrepris de terminer correctement mes études, ne sachant pas s'il y aurait, là bas, les compétences nécessaires à sauver des vies.
Quelque part, j'avais condamné une âme sur cette planète mourante. Je lui avais volé sa vie. Et le remord commençait doucement à me ronger. Tant est si bien que je l'évitais désormais. La fin justifiait les moyens, n'est-ce pas ?
Finalement, diplôme en poche, je marquais de mon sang cette clé afin de finalement changer de vie, d'oublier ce monde ci pour un avenir meilleur. On vint me chercher rapidement et la suite fut tout aussi rapide. Sans me retourner, je franchis le portail, chose que je regrettais amèrement par la suite. Car bien que j'eusse coupé les ponts avec lui, j'aurais aimé le voir une dernière fois pour... Je ne sais pas, mais j'avais eu cette envie lorsque j'étais arrivé dans les limbes et que le retour n'était plus possible.
Inutile de regarder en arrière, désormais, car seul l'avenir compte. Cet avenir dans un monde où tout est à construire. Dans un monde que nous n'avons pas encore détruit. Et j'en serais l'artisan, de cette destruction à venir car c'est ce que nous faisons de mieux. Cependant, j'espérais tout de même pouvoir poursuivre l'oeuvre de ma mère et enfin sauver des vies. Voire peut-être fonder ma propre famille. J'en avais envie, moi qui avais passé la trentaine et ne m'étais jamais soucié de ces choses là. Cette envie naquit soudainement alors que je me réveillais nu, entouré d'inconnus. Etrange comme pensée, que de vouloir fondé une famille alors qu'on est nus devant des étrangers. Ce monde allait décidemment me transformer, et pas qu'un peu.
Il était l'homme qui rentrait tard le soir, déposait un baisé de convenance sur les lèvres de ma mère puis partait se coucher pour disparaitre lorsque je me levais. Il n'était pas présent bien que parfois il eusse cette envie paternelle d'être là. Parfois cet homme restait plus longtemps, des journées entières où nous allions nous promener. Mais il avait toujours un oeil attiré pour son travail, toujours un mot d'excuse. Ma mère m'affirmait que mon géniteur nous aimait, mes yeux d'enfants ne voyaient là qu'un père absent et un fantôme qui se faisait appeler papa.
Je ne peux cependant pas me plaindre de cette enfance plutôt paisible dans ce monde qui brulait. Nous n'étions pas riches, mais la pauvreté ne nous atteignait pas non plus et le travail de mon paternel nous permettait de demeurer dans un quartier résidentiel de Londres tout à fait correcte.
Je pense que je ne le déteste pas. Je n'arrive juste pas à éprouver pour lui un quelconque lien d'affection même si je pouvais voir dans son regard des pointes d'amour lorsqu'il le posait sur ma mère. Ma douce et aimante mère qui m'éleva presque seule, tiraillée entre moi et son travail. Elle aimait son travail et m'en parlait avec passion. Sauver des vies, c'est ce qui la faisait vibrer tout autant que de me voir grandir et m'amuser avec les autres enfants. Non, je n'ai pas eu l'histoire triste de tous ces contes aux héros torturés. J'ai eu une enfance heureuse, ne manquant que d'un père.
Mais le bonheur ne dure jamais bien longtemps et la maladie, si hasardeuse, finit toujours par frapper cette enclave de soleil. Le monde brulait, le miens venait de s'embraser.
Rejoignant les clichés de ces histoires et films ennuyeux, je vis ma mère tomber malade. Ce genre de maladie dont on espère toujours pouvoir guérir mais qui au final, ne dépend que de la chance et des miracles du corps. Pourtant, je voyais dans son regard cette envie de vivre, cette envie de continuer à m'apprendre son métier, à m'en parler avec passion. Voilà qu'elle se retrouvait entre les mains de ses anciens collègues, affaiblie.
C'est peut-être la première fois que j'eus la chance de croiser autant mon paternel. Régulièrement, nous nous retrouvions au chevet de ma mère, à discuter avec elle, à rire, à être enfin une vraie famille. Il aura fallu que sa femme soit sur le palier de la mort pour qu'il daigne lâcher son travail et nous honorer de sa présence. J'avais grandit, j'avais gagné en maturité et je comprenais, quelque part, ses absences. Mais je n'arrivai pas à lui démontrer de l'affection, il demeurais un étranger à mes yeux.
Alors qu'elle s'en allait doucement, assommée par les diverses drogues, je me pris au jeu des études pour finalement intégrer une école de médecine. Peut-être que j'aurais pu être celui qui lui aurait sauvé la vie ? Peut-être que je l'aurais trouvé, ce remède miracle pour lui épargner cette maladie ?
Je finis par m'enfermer dans les études, passant de temps à autre à son chevet pour lui raconter, avec la même lueur dans les yeux, les choses incroyables que j'apprenais sur le corps humain. Et je ne le croisais plus. Il avait cesser de venir aussi régulièrement qu'avant. Elle m'expliqua que de la voir ainsi le faisait beaucoup souffrir. Je n'y voyais que de la lâcheté. Ma mère, si douce et prévenante, n'avait jamais vu que les bons côtés de mon paternel. Jamais elle ne lui reprocha d'être absent, pas même maintenant alors que sa vie s'éteignait.
Et il fut absent lorsqu'elle s'en alla.
Caché sous un masque impassible, je croisais à peine le regard de mon géniteur. Nous n'étions que deux à être venus. Tous deux ayant coupé les ponts avec leur familles respectives pour diverses raisons. Nous étions seuls à contempler son visage une dernière fois avant qu'elle ne parte définitivement. Je n'arrivais pas à être triste, pas en sa présence. Aucune larme ne coula ce jour là sur mes joues alors que les siennes en étaient inondées.
Et je compris. Il l'aimait, sincèrement.
Ce jour là fut le seul jour où je l'eu considéré comme mon père et non plus comme un étranger. Quelques mots furent échangés, succincts, avant que je ne reparte m'enfermer dans mes études, prenant la décision de moi aussi couper les ponts par orgueil et tristesse.
Quelques mots lourds de sens qui resteraient à jamais gravés en moi, me hantant de l'avoir ainsi ignoré et d'être parti sans lui dire au revoir.
Le suite fut... banale. Je continuais à étudier, à vivre une vie d'étudiant normal. Enfermé dans les fêtes toutes plus dépravées les unes que les autres, à me perdre dans l'alcool et les coups d'un soir. A oublier, que j'avais une famille.
Finalement, j'avais perdu le goût de la vie.
Puis vint cet instant où je rencontrais le projet "The Last Cured". Tout d'abord, je fut sceptique face à ces promesses trop belles. Mais je vint à me laisser porter par ces belles paroles et à vouloir moi aussi faire partie de ces heureux fous qui partaient vers l'inconnu, disparaissant complètement de ce plan de l'existence. La fantasy, car je ne pouvais imaginer ce nouveau monde autrement bien que personne ne sache à quoi il ressemble, ne semblait plus être un rêve et au fur et à mesure des jours qui passaient, je me mis à chercher ces fameuses clés. Quelle ne fut pas ma chance de constater que l'un de mes camarades de classe en possédait une, non utilisée qui plus est. L'ignare se plaisait à se pavaner avec, bien peu conscient du danger que cela représentait. Le monde brulait et cette arche fantastique semblait être notre dernier salut. Fort de quelques mots bien placés, alors que nous écoulions le breuvage des étudiants à grande gorgée, il finit par me céder son précieux sésame. Quelle aubaine, quel cliché. Je m'empressais alors de cacher bien précieusement ce salut qui me faisait rêver.
Et j'entrepris de terminer correctement mes études, ne sachant pas s'il y aurait, là bas, les compétences nécessaires à sauver des vies.
Quelque part, j'avais condamné une âme sur cette planète mourante. Je lui avais volé sa vie. Et le remord commençait doucement à me ronger. Tant est si bien que je l'évitais désormais. La fin justifiait les moyens, n'est-ce pas ?
Finalement, diplôme en poche, je marquais de mon sang cette clé afin de finalement changer de vie, d'oublier ce monde ci pour un avenir meilleur. On vint me chercher rapidement et la suite fut tout aussi rapide. Sans me retourner, je franchis le portail, chose que je regrettais amèrement par la suite. Car bien que j'eusse coupé les ponts avec lui, j'aurais aimé le voir une dernière fois pour... Je ne sais pas, mais j'avais eu cette envie lorsque j'étais arrivé dans les limbes et que le retour n'était plus possible.
Inutile de regarder en arrière, désormais, car seul l'avenir compte. Cet avenir dans un monde où tout est à construire. Dans un monde que nous n'avons pas encore détruit. Et j'en serais l'artisan, de cette destruction à venir car c'est ce que nous faisons de mieux. Cependant, j'espérais tout de même pouvoir poursuivre l'oeuvre de ma mère et enfin sauver des vies. Voire peut-être fonder ma propre famille. J'en avais envie, moi qui avais passé la trentaine et ne m'étais jamais soucié de ces choses là. Cette envie naquit soudainement alors que je me réveillais nu, entouré d'inconnus. Etrange comme pensée, que de vouloir fondé une famille alors qu'on est nus devant des étrangers. Ce monde allait décidemment me transformer, et pas qu'un peu.
- Palier de pouvoir:
- Palier 1 de la magie blanche
- Chronologie générale:
- • [4155] Naissance dans un quartier modeste de Londres
• [4173] Alors que sa mère tombe malade, il entreprend des études de médecine. Elle décède à ses 20 ans. Il coupe tout lien avec son paternel et ne cherchera jamais à rencontrer sa famille maternelle ou paternelle
• [4180] Le projet Ozéna le séduit. Fort de son bagou, il arrive à manipuler un pauvre gosse de riche de sa promo afin de lui subtiliser la clé encore inutilisée que ses parents lui avaient offerte. Il en conservera une grande culpabilité par la suite.
• [4183] Après la fin de ses études, il traverse le portail pour commencer sa nouvelle vie.
• [4183 - An 111] Il se réincarne en tant que sorcier, maniant la magie blanche. Il décidera de continuer à exercer en tant que médecin et ira apprendre auprès des guérisseurs locaux les us et coutumes de ce monde. Il n'a pas perdu sa mémoire et aime à confronter ses connaissances avec celles d'Ozéna. Savoir ce qu'il est possible ou non de faire, apprendre à manier sa magie, à la dompter. Il décidera également de prendre des cours pour manier l'épée et le bouclier, se sentant le devoir de devenir l'un de ces paladins des univers de fantasy qu'il aime tant.
• [4187 - An 115] Il décide de devenir un explorateur et de mettre ses compétences acquises au profit de l'exploration. Il gagne en expérience de combat et s'améliore dans son art de la magie blanche et de la création d'onguent.
Il se sent le devoir sacré d'aider autrui et cherche à répandre sa cause autour de lui, prêchant la bonne parole d'une paroisse unique, celle de sa déesse, Ekaris.
- Inventaire:
- • Armure faite de cuir
• Une épée droite classique
• Des onguents
• Du matériel chirurgical sommaire
Physique
Lloyd est ce que l'on pourrait dire un homme banal. Grand, avoisinant le mètre quatre-vingt-dix, musclé du fait de son obsession de la fonte, il n'en demeure pas moins quelqu'un de classique. Certains diraient qu'il à un certain charme inexpliqué, un visage attirant et un sourire exquis. Cela ne lui a jamais permis de trouver une femme à aimer, simplement des amis de beuveries dans son ancienne vie terrienne. Il aimait à fréquenter les soirées étudiantes de la débauches, des soirées où l'on oubliait que le monde allait mal.
Doté d'une chevelure d'or, le retirant un peu de la masse de bruns sur Terre, il arbore un regard d'un brun clair, lui donnant presque des reflets d'or dans ce dernier.
Loin d'avoir des tatouages sur son corps, il possède tout de même quelques cicatrices chinées sur Ozéna lors de rencontres avec quelques monstres indélicats. Si sur Terre il aimait porter des chemises et des jeans, sur le nouveau monde, il se laisse volontiers tenté par des tuniques en lin ou bien des pourpoints finement brodés, aimant sentir sur lui ces vêtements d'un autre âge. Son goût pour les vêtements raffinés s'est d'ailleurs bien développé à son arrivée à Azamyr et il n'est pas rare de le voir trainer à discuter dans le quartier des tailleurs.
Il aime également à lorgner sur les armures de plates, lui rappelant tous ces jeux auquel il aimait jouer lors de sa vie sur Terre. C'est par ailleurs l'un de ses objectifs, de pouvoir récupérer une armure faite sur mesure. Il se contente aujourd'hui de son plastron en cuir. Solide, mais bien peu efficace face aux griffes acérées de certains monstres.
Lloyd porte toujours sur lui une sacoche qu'il accroche à sa hanche. Dedans son rangés quelques outils de premier soin ainsi que quelques fioles d'onguent. On est jamais trop prudents.
Doté d'une chevelure d'or, le retirant un peu de la masse de bruns sur Terre, il arbore un regard d'un brun clair, lui donnant presque des reflets d'or dans ce dernier.
Loin d'avoir des tatouages sur son corps, il possède tout de même quelques cicatrices chinées sur Ozéna lors de rencontres avec quelques monstres indélicats. Si sur Terre il aimait porter des chemises et des jeans, sur le nouveau monde, il se laisse volontiers tenté par des tuniques en lin ou bien des pourpoints finement brodés, aimant sentir sur lui ces vêtements d'un autre âge. Son goût pour les vêtements raffinés s'est d'ailleurs bien développé à son arrivée à Azamyr et il n'est pas rare de le voir trainer à discuter dans le quartier des tailleurs.
Il aime également à lorgner sur les armures de plates, lui rappelant tous ces jeux auquel il aimait jouer lors de sa vie sur Terre. C'est par ailleurs l'un de ses objectifs, de pouvoir récupérer une armure faite sur mesure. Il se contente aujourd'hui de son plastron en cuir. Solide, mais bien peu efficace face aux griffes acérées de certains monstres.
Lloyd porte toujours sur lui une sacoche qu'il accroche à sa hanche. Dedans son rangés quelques outils de premier soin ainsi que quelques fioles d'onguent. On est jamais trop prudents.
Caractère
Alerik, ou Lloyd, comme il préfère qu'on le nomme, est un homme droit dans ses bottes, porté par de nombreux principes candides. A vrai dire, il suit les enseignements de sa défunte mère, aidant son prochain sans se soucier de qui il est. S'il peut soigner, alors il le fera. C'est un souhait qu'il conserve afin de s'éloigner au maximum de son père, l'exacte opposé de sa mère. D'ailleurs, il a très vite coupé les ponts avec ce dernier, préférant marcher dans les traces de sa mère, bien loin des rêves mégalomanes et égoïstes de son géniteur.
Lloyd est d'un naturel doux, un sourire traversant toujours son visage lorsqu'il regarde le monde avec douceur et une certaine naïveté. Pour autant, lorsqu'il s'agit de sauver des vies, ce même regard change pour devenir plus froid, plus concentré. L'homme derrière se métamorphose également en un être insensible, conservant cependant toujours une certaine douceur dans ses mots. Sauf dans de grands moments de stresse où il perd toute sympathie et se met alors à aboyer ses ordres sans considération pour ses aides soignants. Il est un homme rongé par la culpabilité d'avoir prononcer un mot trop dur, trop violent et il n'est pas rare qu'il aille faire amende honorable lorsque l'urgence est passée. La patience est l'un de ses atouts, patience qu'il perd complètement lorsqu'il ressent un grand stresse.
Derrière son regard doux se cache en réalité un enfant qui a grandit trop vite et qui n'a jamais réellement connu l'amour ou l'amitié. Il ne sait pas réellement comment se comporter avec autrui et préfèrera la fuite à la confrontation. Pourtant, il est loin de se laisser marcher sur les pieds. Il est même assez déterminé dans tout ce qu'il entreprend, parfois même têtu.
Cet homme à la grande carrure, lui donnant des airs d'armoire à glace, démontre d'un certain talent avec les enfants. Toujours doux et tendre avec eux, il sait se montrer ferme lorsque cela est nécessaire. Tout le monde s'accorde à penser qu'il à l'âme d'un père aimant. C'est d'ailleurs l'un de ses rêves, fonder une famille heureuse. Pouvoir donner à ses futurs enfants l'enfance qu'il aurait aimé.
Un doux rêve qu'il tente de poursuivre, en vain, nulle femme n'ayant attiré son attention bien qu'il soit assez séduisant.
Il aime à jouer au jeu de la séduction sans pour autant se laisser convaincre par ces demoiselles, préférant se concentrer sur la mission qu'il s'est imposée. Sauver.
A ainsi le voir, on pourrait croire qu'il est sans peur et sans reproches. Que neni. Vouant une grande haine à son géniteur, il en vient à exécrer les riches personnes et leurs manières orgueilleuses. Loin d'être un fin orateur, il lui arrive de parler de façon très grossière, sans se soucier d'une quelconque étiquette ou d'une quelconque hiérarchie. C'est un homme fier, fier d'être celui qu'il est devenu. Si la patience est la face d'une pièce, son revers sont les colères dans lesquelles il lui arrive de se plonger lorsque sa frustration arrive à son paroxysme. Ses plus proches amis aiment à le surnommer l'enfant dans un corps d'adulte tant il est versatile sur sa façon d'agir ou de réagir, étant par moments guidé par sa raison, et par d'autres guidé par ses émotions.
Que dire également de son côté coureur de jupon ? Il aime à se plaindre de ne trouver aucune femme à aimer. Cependant, il agit sans se soucier des coeurs qu'il brisera, arguant qu'elles ne sont pas celle qu'il aura attendue toute sa vie.
En somme, sous ce bel enrobage se trouve un homme agissant parfois comme le dernier des enfoirés sans pour autant se rendre compte de ses agissements, se cachant parfois derrière son côté très protecteur pour justifier de ses actes.
Llyod reste un Homme après tout. Et ne dit-on pas que les Hommes sont complexes à comprendre ?
Funs facts :
• Lloyd est un prénom qu'il a décidé de prendre lorsque qu'il est arrivé en Ozéna. Il souhaitait cependant garder son vrai prénom : Alarik.
• Son nom de famille est également une pure invention en arrivant en Ozéna. Il se prénomme en fait Alarik Howell.
• Il n'a jamais réellement connu l'amour, cependant, il aime à séduire moult dames et demoiselles
• Il aimerait être papa et se comporte avec beaucoup de patience et de douceur avec les enfants
• Il ne connait ni sa famille paternelle, ni sa famille maternelle
• Il déteste le vin
• Emporté par son amour de la fantasy, il cherche à fonder un ordre de paladin d'Ekaris afin de répandre la santé et la sécurité dans un monde où tout va déjà bien.
• Quelque part, c'est un grand enfant guidé par ses rêves et ses désirs.
Lloyd est d'un naturel doux, un sourire traversant toujours son visage lorsqu'il regarde le monde avec douceur et une certaine naïveté. Pour autant, lorsqu'il s'agit de sauver des vies, ce même regard change pour devenir plus froid, plus concentré. L'homme derrière se métamorphose également en un être insensible, conservant cependant toujours une certaine douceur dans ses mots. Sauf dans de grands moments de stresse où il perd toute sympathie et se met alors à aboyer ses ordres sans considération pour ses aides soignants. Il est un homme rongé par la culpabilité d'avoir prononcer un mot trop dur, trop violent et il n'est pas rare qu'il aille faire amende honorable lorsque l'urgence est passée. La patience est l'un de ses atouts, patience qu'il perd complètement lorsqu'il ressent un grand stresse.
Derrière son regard doux se cache en réalité un enfant qui a grandit trop vite et qui n'a jamais réellement connu l'amour ou l'amitié. Il ne sait pas réellement comment se comporter avec autrui et préfèrera la fuite à la confrontation. Pourtant, il est loin de se laisser marcher sur les pieds. Il est même assez déterminé dans tout ce qu'il entreprend, parfois même têtu.
Cet homme à la grande carrure, lui donnant des airs d'armoire à glace, démontre d'un certain talent avec les enfants. Toujours doux et tendre avec eux, il sait se montrer ferme lorsque cela est nécessaire. Tout le monde s'accorde à penser qu'il à l'âme d'un père aimant. C'est d'ailleurs l'un de ses rêves, fonder une famille heureuse. Pouvoir donner à ses futurs enfants l'enfance qu'il aurait aimé.
Un doux rêve qu'il tente de poursuivre, en vain, nulle femme n'ayant attiré son attention bien qu'il soit assez séduisant.
Il aime à jouer au jeu de la séduction sans pour autant se laisser convaincre par ces demoiselles, préférant se concentrer sur la mission qu'il s'est imposée. Sauver.
A ainsi le voir, on pourrait croire qu'il est sans peur et sans reproches. Que neni. Vouant une grande haine à son géniteur, il en vient à exécrer les riches personnes et leurs manières orgueilleuses. Loin d'être un fin orateur, il lui arrive de parler de façon très grossière, sans se soucier d'une quelconque étiquette ou d'une quelconque hiérarchie. C'est un homme fier, fier d'être celui qu'il est devenu. Si la patience est la face d'une pièce, son revers sont les colères dans lesquelles il lui arrive de se plonger lorsque sa frustration arrive à son paroxysme. Ses plus proches amis aiment à le surnommer l'enfant dans un corps d'adulte tant il est versatile sur sa façon d'agir ou de réagir, étant par moments guidé par sa raison, et par d'autres guidé par ses émotions.
Que dire également de son côté coureur de jupon ? Il aime à se plaindre de ne trouver aucune femme à aimer. Cependant, il agit sans se soucier des coeurs qu'il brisera, arguant qu'elles ne sont pas celle qu'il aura attendue toute sa vie.
En somme, sous ce bel enrobage se trouve un homme agissant parfois comme le dernier des enfoirés sans pour autant se rendre compte de ses agissements, se cachant parfois derrière son côté très protecteur pour justifier de ses actes.
Llyod reste un Homme après tout. Et ne dit-on pas que les Hommes sont complexes à comprendre ?
Funs facts :
• Lloyd est un prénom qu'il a décidé de prendre lorsque qu'il est arrivé en Ozéna. Il souhaitait cependant garder son vrai prénom : Alarik.
• Son nom de famille est également une pure invention en arrivant en Ozéna. Il se prénomme en fait Alarik Howell.
• Il n'a jamais réellement connu l'amour, cependant, il aime à séduire moult dames et demoiselles
• Il aimerait être papa et se comporte avec beaucoup de patience et de douceur avec les enfants
• Il ne connait ni sa famille paternelle, ni sa famille maternelle
• Il déteste le vin
• Emporté par son amour de la fantasy, il cherche à fonder un ordre de paladin d'Ekaris afin de répandre la santé et la sécurité dans un monde où tout va déjà bien.
• Quelque part, c'est un grand enfant guidé par ses rêves et ses désirs.
À propos de toi
Je suis également illustratrice et j'aime gribouiller !
J'ai connu ce forum via des partenariats et je le trouve vraiment très beau. J'ai hâte de venir jouer ici !..................Lien vers la galerie de l'artiste pour l'image de la fiche : Diep Bui (玉叶)
Informations
Nom & Prénom
Lloyd Alarik ValyenthÂge
[age="4155"]Race
SorcierMaison
Maison de la TerreMétier
Médecin, chirurgien, explorateurFeat
OCOzéna
Staff
Quelques modifications
Bonjour cher médecin, bienvenue par chez nous (on en manque cruellement...)
Nous avons beaucoup apprécié notre lecture de ta fiche, même si la mort de la mère de Lloyd a brisé mon petit coeur je dois le reconnaître.
Il y a juste quelques petits points que nous allons devoir te demander de modifier :
● Il manque une image dans ta fiche, celle de la bannière. Elle n'est malheureusement pas optionnelle ! Tu n'es pas obligé d'y mettre une image de ton personnage, tu peux mettre une image qui reflète son état d'esprit ou son métier (attention, cela doit rester dans un thème médiéval fantasy).
● Dans ton histoire, Lloyd rêve de fantasy, c'est ce qui l'attire vers le nouveau monde de ce que j'ai compris. Cependant personne ne sait à quoi ressemble ce monde, donc l'idée que Lloyd peut s'en faire n'est que fantaisie (badum tss). Il n'a aucune certitude, donc à modifier à moins que j'ai mal saisi 8D
● Toujours dans l'histoire, Lloyd met son sang sur la clef puis prend le temps de finir ses études avant de se rendre dans un centre et de passer le portail. Une fois le sang déposé sur la clef, les membres de TLC arrivent très vite, on parle de minutes, d'heures si vraiment on veut pousser mais jamais plus, du coup c'est un peu complexe d'imaginer que Lloyd a pu choisir son arrivée comme bon lui semblait. Il peut juste avoir gardé la clef pour lui durant tout ce temps ce n'est pas un problème
Voilà, c'est du détail mais le détail c'est important !
En te souhaitant bonne rédaction, je repasserais pour la validation
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Lloyd A. Valyenth
Maison de la Terre et du Sang
Bonjour ! Merci pour ces retours, j'ai corrigé les erreurs, en espérant que cela convienne :D
Puis vint cet instant où je rencontrais le projet "The Last Cured". Tout d'abord, je fut sceptique face à ces promesses trop belles. Mais je vint à me laisser porter par ces belles paroles et à vouloir moi aussi faire partie de ces heureux fous qui partaient vers l'inconnu, disparaissant complètement de ce plan de l'existence. La fantasy, car je ne pouvais imaginer ce nouveau monde autrement bien que personne ne sache à quoi il ressemble, ne semblait plus être un rêve et au fur et à mesure des jours qui passaient, je me mis à chercher ces fameuses clés. Quelle ne fut pas ma chance de constater que l'un de mes camarades de classe en possédait une, non utilisée qui plus est. L'ignare se plaisait à se pavaner avec, bien peu conscient du danger que cela représentait. Le monde brulait et cette arche fantastique semblait être notre dernier salut. Fort de quelques mots bien placés, alors que nous écoulions le breuvage des étudiants à grande gorgée, il finit par me céder son précieux sésame. Quelle aubaine, quel cliché. Je m'empressais alors de cacher bien précieusement ce salut qui me faisait rêver.
Et j'entrepris de terminer correctement mes études, ne sachant pas s'il y aurait, là bas, les compétences nécessaires à sauver des vies.
Quelque part, j'avais condamné une âme sur cette planète mourante. Je lui avais volé sa vie. Et le remord commençait doucement à me ronger. Tant est si bien que je l'évitais désormais. La fin justifiait les moyens, n'est-ce pas ?
Finalement, diplôme en poche, je marquais de mon sang cette clé afin de finalement changer de vie, d'oublier ce monde ci pour un avenir meilleur. On vint me chercher rapidement et la suite fut tout aussi rapide. Sans me retourner, je franchis le portail, chose que je regrettais amèrement par la suite. Car bien que j'eusse coupé les ponts avec lui, j'aurais aimé le voir une dernière fois pour... Je ne sais pas, mais j'avais eu cette envie lorsque j'étais arrivé dans les limbes et que le retour n'était plus possible.
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
C'est tout bon pour nous, merci pour les modifications ! Bonne chance à ce médecin dans cette nouvelle terre qui en a bien besoin
Te voilà presque fin prêt à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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