Hier à 23:11 par Khioné Skogstad
Hier à 22:42 par Feyre Sarynx
Hier à 22:34 par Poppy
Hier à 22:31 par Poppy
Hier à 21:22 par Kaël
Hier à 20:38 par Kaël
Hier à 20:20 par Kaël
Hier à 20:19 par Invité
Hier à 19:55 par Ovidio Paz
Léonie Wathelet
Léonie Wathelet
Maison du Ciel et du Souffle
Histoire
“Tout autour, la dévastation amplifiait avec une odeur de purin. On ne voyait plus les corps, ensevelis sous une neige noire, et il sembla entendre à Tobias Bellfort le craquement du cartilage de ses frères, sous ses semelles. C'était ainsi que tout devait finir... ? Probablement. Il ne lui restait plus qu'une chose pour sortir de cet enfer…”
Léonie Wathelet referma son ordinateur Toshiba modèle premium avec l'agacement coupable de ceux qui n'arrivaient à rien. Combien de temps patinait-elle sur ce passage ? Deux, peut-être trois heures ? Quatre, si elle devait compter son repas de nouilles sautées. Elle n'y parviendrait pas; il manquait, à sa plume, quelque chose... La littérature était bien le seul domaine où la jeune prodige butait. Toute sa chambre était embijoutée de prix et de diplômes, les étagères encombrés de trophées à ne plus savoir quoi en faire : des récompenses de mathématiques, raflées au bas âge, des tournois d'échec mondiaux à treize ans, des lettres de grandes écoles poliment déclinées en faveur d'une seule, le MIT, là où elle étudiait. Mais même ici, Madame jouait les dilettantes. Elle n'avait que faire d'élucider l'ouvert d'une équation différentielle autonome quand elle pouvait bûcher sur ce qu'elle n'avait jamais réussi à accomplir totalement. L'art. Ce n'était pas faute d'avoir étudié, pourtant: Balzac, Artaud, Verlaine, Dostoïevski, Tolstoï, Shakespear, Defoe, tous les grands auteurs avaient subi l'opiniâtreté de la jeune fille, mais son esprit rigide et cartésien l'empêchait d'apprécier leurs oeuvres, comme si toute l'épaisseur de son esprit s'encombrait dans une porte trop petite. Comme Alice, qui tenterait de pénétrer le Wonderland sans boire sa bouteille de rétrécissement. Que c'était agaçant ! Elle n'avait qu'un moyen de décompresser comme il se doit, et elle croisa les jambes sur son bureau de travail avant d'allumer sa console de jeu. Si sa mère savait qu'elle jouait pendant ses heures d'études... mais sa mère était de l'autre côté de l'océan, en France.
Les péripéties de la jeune Léonie Wathelet tiendraient dans un dé à coudre. Dans une époque charnière du déclin humain et l'abâtardissement de la civilisation occidentale, notre jeune demoiselle a grandi dans un cadre cosy, riche et sécurisant, ce qui ne l'a toutefois pas empêchée de se gaver de psychotropes et de trébucher dans des phases dépressives que son hyperémotivité exacerbait; ni même, de pratiquer son petit terrorisme scolaire à l'ordre de sa mère qui n'était pas présente pour ses anniversaires. Ses avants-bras portent encore les cicatrices roses et verticales de ses tentatives de suicide. Mais aujourd'hui, elle semble aller mieux. L'âge l'a assagie; mais elle n'a toujours aucun ami. On l'entend parler au micro. "Tu joues toujours aussi mal, pussy ? Il s'agirait d'allumer l'écran de temps à autre !", tout en manoeuvrant rageusement le joystick de sa manette. Certains ont connu la basse ville des quartiers de New York, d'autres sont recherchés à-travers tout l'Amérique pour des histoires d'homicides. Mais elle a simplement une vie quasi ordinaire dans les quartiers du Massachusetts.
Il y a vingt ans, peu avant sa naissance, sa mère, Claudia Wathelet, décide d'acheter une éprouvette hors de prix dans un réseau clandestin de spermatozoïdes. Faire des enfants, en l'an 4000, c'est criminel: mieux vaut les vendre et décider d'avance de ce qu'ils seront. Ainsi, le père de la gamine sera une éprouvette en verre sodocalcique et tant pis pour ses sentiments personnels. Elle s'avère précoce, sans la moindre surprise, car il n'y a pas de place au hasard quand vous achetez un échantillon de sperme à dix millions de dollars. Le bonheur? fatuité. L'adversité? concept démocrate. La sagesse? l'amour? la patience? rien que des faux-semblants de personnes pauvres et dénuées d'ambitions. C'est ce qu'on a tenté d'enfouir dans son crâne. Certaines lui ont réussi, d'autres non.
Elle n'en pense rien; tout cela lui semble lointain. Elle a déjà du mal à comprendre son propre monde. Tout lui semble gris, dépourvu de sens profond. Il lui paraît évident que l'humanité est une tumeur, et ça, il n'y a pas besoin d'être Ted Kaczynski pour s'en rendre compte.
Elle se relève de sa chaise et s'appesantit sur la grande baie vitrée qui mange le mur du salon, l'esprit ailleurs. Il y a cette berline noire qui se gare en urgence au pied de son immeuble. Elle n'y prête pas attention; si Dorchester est un quartier tranquille, il arrive que des règlements de compte s'achèvent ici. Elle est au 73e étage, rien ne peut lui arriver à une telle hauteur. Elle se déshabille. Prend une douche. Réchauffe une de ces boîtes de nouilles épicées dont elle raffole.
On toque à sa porte. Les cheveux encore humides, elle jette un oeil à travers le juda et c'est la face de Tony Mattia qui lui apparaît. Un de ses camarades de classe. Elle le trouve pâle, et son costume noir brille de quelque chose qu'elle n'arrive pas à identifier. "Qu'est-ce que tu veux ?", laisse-t-elle entendre après un moment. "Léonie...? ouvre ! C'est... c'est urgent. Ils arrivent." "Qui ça, ils ? Tony, si c'est une farce, je crains devoir appeler la police. Tu sais ce qu'ils font aux mignons qui ont une consonance italienne, dans les cellules de Boston ?" "Ouvre, c'est sérieux ! Question de vie ou de mort !" Quelque chose, dans sa voix, l’inquiète et lui arrache un frisson. De nouveau, elle jette une oeillade à travers le juda et voit. Elle voit que le garçon est blanc, parce qu’il fait une anémie. Elle voit qu’il fait une anémie, parce que la chose brillante sur son costume noir est son sang.
Les mains moites, elle ouvre les loquets de la porte et le fait entrer. Aussitôt, il se jette à l’intérieur, hagard, et s’écroule sur le canapé. “Si c’est une farce, elle est drôlement bien jouée. On dirait le prologue d’un film de Hichcock.” Mais sa confiance a déserté sa voix. Non, ce n’est pas une farce. Tony Mattia ne fait jamais de farce. Tony Mattia ne se rend jamais devant l’appartement de Léonie, même pour lui faire une blague. Parce qu’il connaît à peine la jeune fille, et qu’il a certainement trouvé où elle habitait en regardant le nom des boîtes aux lettres, au rez-de-chaussée. “C’est après toi qu’ils en veulent…” La blonde hausse les sourcils, muette. “Léonie, bordel… Ton nom… Les types dans la berline… Ils ont prononcé ton nom. Ils pensaient qu’il y avait personne pour les entendre, mais j’étais là, et l’un d’eux m’a…” Lui avait tiré dans le bras, vraisemblablement. Au vu de la quantité de sang qui dégueulassait son costume de soirée, et les traces noires sur le sol, elle estima que c’était le muscle infra-épineux qui était touché. Tony n’en mourrait pas. Mais Léonie s’en fichait. Parce que son coeur s’était comme arrêté de battre, tétanisée. “Tu m’entends ? C’est toi qu’ils veulent !” “Tony… Ta blague commence à durer. Ils m’en veulent ? qui ? quoi ? Pourquoi ? Parce que j’ai remporté le dernier tournoi de la FIDE ? parce que j’ai de bonnes notes à l’école ? Je ne sors quasiment jamais d’ici...”, dénia-t-elle. Et c’était vrai : hormis pour prendre un bain de soleil, jamais on ne voyait la blonde traîner dans les rues. Plus maintenant. Elle préférait se réfugier dans ses cahiers et autres analgésiants virtuels.
"Je suis désolée pour ton bras. Tu veux que je te fasse un garrot ? j'ai de l’ibuprofène dans la salle de bains. Evite de trop boug..." "DEGAGE DE LA ! Ils vont..." On toque à la porte. Et cette fois-ci, ce n'est pas un de ses camarades de classe. Courir. Elle doit courir. Le conduit à linges mène jusqu'au rez-de-chaussée. Si elle est suffisamment maligne, peut-être que, peut-être que...
Elle se réveille dans sa mezzanine. Deux semaines que l'incident s'était produit, et elle en rêvait comme si c'était hier. Elle entend les balles éclater dans l'appartement. Les vagissements de Tony, étalé sur le sol. Elle, qui s'ouvre le bras en se jetant dans le conduit à linges. Dehors, il fait un froid polaire. Une voiture l'embarque. Et elle atterrit ici. Un ami de Claudia Wathelet, et on lui dit alors. "Ta mère a des problèmes." Le type qui l'annonce s'appelle Charlie, mais elle s'en fout. Son regard fuit les deux yeux bleus de la jeune fille. "C'est pour te protéger qu'elle m'a envoyé." "Qu'est-ce que j'ai à voir là-dedans ? Ma mère est en réunion d'affaires au Finistère." "Ta mère... tient un peu de toi, je crois. Ou l'inverse. Elle a le chic pour se faire les meilleurs ennemis du monde. Et toi, tu es son bien le plus précieux." "Son bien le plus précieux ? Attendez, laissez-moi réfléchir, vous vous êtes répété ce mensonge dix, ou vingt fois avant de me le gerber en plein visage ? Elle ne vient ni à mes anniversaires, ni à mes tournois d'échecs, ni aux remises de prix, ni même aux remises de diplômes. La belle affaire de m'avoir réfrigérée dans une éprouvette, si c'est pour m'abandonner ensuite quand je nais..." "Elle n'a pas eu le choix." Elle explosa. C'en était trop pour elle. "Qu'elle aille se faire foutre. Et toi aussi. On a toujours le choix d'être autre chose qu'une mère qui abandonne son gosse. Si elle ne me voulait pas de moi, elle fallait qu'elle y pense avant de me marchander comme une bouteille de lait !" Sa voix partait dans les aiguës, brisée par les pleurs
Sa mère, elle ne la reverrait plus jamais. Le dernier souvenir qu'elle conservera d'elle sera le jour de ses onze ans. Une femme froide, austère qui, à sa manière, tentait de jouer les mamans poules et embrassait la joue de sa fille avec une bouche rigide. Mais ça ne prenait pas. Pas quand vous aviez l’intuition de Léonie.
Charlie ne trouve rien à y redire, se contentant de sourire tristement comme il l'a toujours fait. Les ennemis que Claudia Wathelet s'est fait sont des gens puissants, qu'on ne peut avoir que lorsque l'on est milliardaire. Des types dont les ancêtres ont conduit ce monde à la perdition. La Terre leur appartient depuis deux-mille ans; Léonie n'a nulle part où se cacher. Alors, on la cachera dans un autre monde. On lui donne cette clé, et elle décide d'obéir en dernier recours, sans tout à fait savoir pourquoi. Elle qui a tenté de mettre fin à ses jours à plusieurs reprises, sans jamais avoir le courage d'arriver à son bout. Et maintenant qu'on voulait l'y aider, elle refusait. Elle ne voulait pas finir comme Tony Mattia. Ni comme les cadavres qu'on jette à la mer à grands coups de pelleteuse. Elle veut son éternité, elle aussi. Elle veut vivre.
Deux semaines plus tard, on lui donne la clé. Elle voit Boston et ses grandes tours de verre pour la dernière fois. Ce monde lui survivra dans son esprit. Elle se rappelle de la brise câline quand elle se tenait au sommet des toits; de l'envol précipité des pigeons, et du ronronnement des voitures qui circulent dans les rues.
Puis, il y a Ozéna. Pour elle, cela n'a aucun sens et fuit la logique qu'elle avait durement construite ces vingt dernières années. La magie la fascine et lui échappe comme l'art le fait. C'est un domaine qui exige la complétude de l'esprit humain, et Léonie est une personne fragmentée, entre ses désirs, ses désaveux, ses craintes et ses angoisses. Elle qui a davantage connu la lumière aveuglante des écrans que les couchers de soleil, comment pouvait-elle prétendre survivre, ici ? Mais il le fallait.
Les premières semaines, et malgré son mentorat, la morveuse ne voulait pas sortir de sa chambre. Les épisodes de dépression se succédèrent sans que cela n’étonne réellement personne. Mais Léonie était moins féroce qu’elle ne le laissait paraître. Elle était tourmentée, rien de plus; et s’avérait étonnamment jouasse et chaleureuse dans ses beaux jours. Elle domestiqua ses pouvoirs les mois qui suivirent, avec une appétence qu’elle-même ne soupçonnait pas. Elle s’improvisa, ensuite, astronome. Parce qu’on ne pouvait naviguer sans une cartographie anatomique du ciel nocturne. Qu’elle pressentait que la magie de ce monde avait un lien avec quelque entité stellaire, - ne priait-on pas de nouveaux dieux, ici ? Et que la seule liberté à laquelle elle n’avait jamais goûtée, sur Terre, était ces moments de plénitude à regarder les nuages. Ses cartes astrales servent les marins, et ses rapports scientifiques éveillent la curiosité des chercheurs.
C'était peut-être cela qui lui faisait défaut depuis le tout départ, dans l'art. Il n'avait jamais été question de réfléchir, là-dedans. Il était question de vivre.
- Palier de pouvoir:
- Palier I : Les faes seelies maîtrisent la lumière, ils sont capables d’émettre leur propre lumière et de l’utiliser comme arme sous forme de rayons solaires ou pour aveugler. Ils ne sont, cependant, pas capable d’émettre de la chaleur. L’utilisation de cette lumière leur demande de l’énergie, en fonction de ce qu’ils veulent en faire, cela leur demandera plus ou moins d’énergie. Ils sont également capable de créer un bouclier de lumière, qui les protégera des attaques ou des aggressions extérieures. Ils ne peuvent cependant créer ce bouclier, que pour eux-même. Ce bouclier leur demandera de l'énergie afin d'être maintenu en place.
- Chronologie générale:
4169 : Naissance à Paris (France).
4175 : Léonie fait montre d'une précocité hors-norme et est notamment capable de parler le français, l'anglais et l'italien à un niveau intermédiaire.
4178 : Elle assiste à ses premiers cours universitaires.
4180 : Elle remporte son premier tournoi international d'échec.
4185 : Elle reçoit son master de l'université Flinders, en Australie, et remporte une bourse Fulbright pour poursuivre ses études de 3e cycle aux Etats-Unis.
4186 : Elle rejoint le Massachusetts Institute of Technology.
4186 (fin d'année) : On lui diagnostique une dépression chronique.
4187 : Des hommes en noir tentent de la kidnapper. Elle parvient à s'enfuir de justesse.
4187 (milieu d'année) : Charlie lui donne une clé et elle rejoint Ozéna.
116 (Ozéna) : Elle rentre sous le mentorat d'un individu.
117 : Elle s'officialise astronome et étaye ses recherches en profondeur. Elle confectionne plusieurs cartes astronomiques pour aider les marins à se guider.
118 : Toujours astronome, ses recherches se poursuivent.
- Inventaire:
- Un astrolabe, une lunette astronomique, du parchemin vierge, une plume, de l'encre, un couteau inutilisé, des casse-têtes divers et autres jouets travaillant la logique.
Physique
Courte de taille, de lourds cheveux blonds jaillissant au-dessus d’épaules minces et de biceps aux abonnés absents, Léonie Wathelet coche avec brio toutes les cases de la valley girl dépourvue de symétrie musculaire. Seules ses jambes semblent trouver un peu de vertu, longues, fermes, bâties en altitude. Sa démarche est parfois précieuse, mesurée, telle qu’on le lui a enseigné; et d’autres fois, elle trouve sa contradiction dans une espèce d’insolence pesante comme si elle voulait montrer au monde qu’elle n’était pas celle que l’on aie souhaité qu’elle fut. En bref, une morveuse parfaitement ordinaire.
Ses traits sont minces, émouvants. Un cartilage de poupée matriochkas épanoui de grands yeux pâles, d’une bouche commode et de pommettes osseuses. On aurait l’impression de pouvoir la casser au moindre contact. Ses oreilles trahissent sa nature fae: elles sont pointues.
Ses traits sont minces, émouvants. Un cartilage de poupée matriochkas épanoui de grands yeux pâles, d’une bouche commode et de pommettes osseuses. On aurait l’impression de pouvoir la casser au moindre contact. Ses oreilles trahissent sa nature fae: elles sont pointues.
Caractère
Léonie Wathelet est l'improbable compromis entre Terence Tao et une héroïne de film de Tim Burton. Un quotient intellectuel surélevé comblé à facilité d'apprentissage stupéfiante ont fait d'elle, très tôt, une fabuleuse casse-pieds. A six ans, quand la plupart des mômes ronchonnaient devant leurs additions, elle traduisait sans mal aucun les verbatims d'Artaud en hébreux et bâillait sur des problèmes de trigonométrie de lycée. Conséquence tragique à cela: une inaptitude à se faire le moindre copain, et un côté "miss je sais tout", véritable repoussoir pour le moindre homo sapiens qui eut la mauvaise idée de l'approcher. Assez vite, on lui mit du chewing-gum dans les cheveux; alors, pour se venger, elle glissait des couleuvres dans les caleçons de ses camarades et tartinait leurs godasses de glue. Cette jeunesse endurcie aiguisera son opiniâtreté. Du diable qu'elle se mette la moitié de sa classe à dos, pourvu qu'elle ait le dernier mot !
L'adolescence l'a exacerbée en un personnage parfaitement insupportable, et le début de l'âge adulte, lui, l'a assagie. Toujours piégeuse dans sa répartie, toujours sournoise, les périples qu'elle a pu vivre sur Ozéna lui ont cependant inculquée une certaine retenue. Et bien qu'elle puisse être à fleur de peau, parfois, d'une émotivité turbulente, elle ne lâche jamais les personnes auprès desquelles elle s'attache.
L'adolescence l'a exacerbée en un personnage parfaitement insupportable, et le début de l'âge adulte, lui, l'a assagie. Toujours piégeuse dans sa répartie, toujours sournoise, les périples qu'elle a pu vivre sur Ozéna lui ont cependant inculquée une certaine retenue. Et bien qu'elle puisse être à fleur de peau, parfois, d'une émotivité turbulente, elle ne lâche jamais les personnes auprès desquelles elle s'attache.
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
Wathelet LéonieÂge
20 ansRace
Fae (Seelies)Maison
Maison du Ciel et du SouffleMétier
AstronomeFeat
OC - 集cep的照片Invité
Invité
Et re bienvenue à toi !
J'ai hâte de voir ce que va devenir ta jolie astronome !
J'ai hâte de voir ce que va devenir ta jolie astronome !
Milo Bazalgette
Maison de la Flamme et de l'Ombre
Bienvenue à toi ! Ton personnage a l'air incroyable c'est fou, trop hâte de pouvoir RP avec un être aussi charismatique !
Vino Ravart
Maison de la Flamme et de l'Ombre
Cette fiche est un vrai uppercut dans le monde du Rp ! Cachez vos champions des mots, un challenger au crochet foudroyant vient de rentrer dans le ring ! Ko au premier round au menu !
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Et bienvenue à ta fae seelie astronome ! J'ai beaucoup rit en lisant l'auto-félicitation !
On lui souhaite de retrouver du poil de la bête et surtout, de nous en apprendre plus sur les étoiles d'Ozéna !
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde.
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
Icône :
Messages :
955
Job :
Univers
Feat :
Inconnu
Azys :
1490
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|