Aujourd'hui à 0:57 par Neldris Redoran
Hier à 23:11 par Khioné Skogstad
Hier à 22:42 par Feyre Sarynx
Hier à 22:34 par Poppy
Hier à 22:31 par Poppy
Hier à 21:22 par Kaël
Hier à 20:38 par Kaël
Hier à 20:20 par Kaël
Hier à 20:19 par Invité
lesson zero - zora krüger [terminée]
Zora Krüger
Maison des Maintes Eaux
Histoire
Zora Krüger n’est que la finalité d’un mariage entretenu par foi aveugle. Ce qu’on unit ne peut être séparé et ce qui est créé ne peut être tué.
Complice de l’ignorance de ses parents, elle a constamment creusé la tombe des malheurs de sa famille en camouflant ses agressions à l’école, les remontrances du corps enseignant et en affichant un sourire de façace sur les photos souvenirs. Si on ne dit rien, il ne se passe rien.
Jusqu’à ce que la tombe soit assez profonde pour y accueillir tous ces mensonges et le coupable avec.
Fille unique après le décès de son frère aîné, Kai est mort lors d’une des émeutes sociales suite à la perdition crescendo de l’humanité. On se bat pour du pain, on meurt dans un bain de sang. Elle s’est endormie à dix-huit ans au côté d’une chambre bruyante de musiques indés, s’est réveillée quelques jours plus tard sous le son étouffant du silence.
L’enterrement fut beau et retourner sur sa tombe n’a jamais été une étape dure à surmonter, la mort ne l’effraie pas. Tristement, Zora n’attendait que sa terminaison à elle aussi.
Mais Dieu ne veut pas laisser partir les gens mauvais, elle en est persuadée, Dieu martyrise les vivants et le jugement dernier se fait depuis la terre. A Leipzig, elle a assisté aux révolutions sociales, aux prières redoublées de ses géniteurs et aux messes interminables tous les dimanches. A force il fallait bien y croire, si on est bons on sera délivré du mal. De facto, avant de manger, de dormir, de partir à l’école ; elle priait, elle priait, elle priait.
L’humaine qu’elle est a vécu ses années de vie à affronter le jour, répondre aux exigences d’autrui et creuser encore et encore de ses mains ce trou familial. Dix ans, vingt ans, la trentaine bientôt franchie et pas l’ombre d’une fin. Ses amis étaient rares par choix et par habitude de rentrer directement après l’école et le travail, de se focaliser sur les activités familiales plutôt qu’une sortie amicale au cinéma.
L’histoire des clés et de cet au-delà l’ont longtemps laissée perplexe, la folie a enfin touché les gens a -t-elle pensé. Cette absurdité a rendu les individus hors de contrôle et une vraie chasse a débuté sous ses yeux désespérés. Zora veut quitter cette planète, mais pas pour en intégrer une autre.
Jusqu’à ce que sa famille eut marre de tout et tourna le dos à la société. Le contact fut rompu avec le monde extérieur, Zora abandonna son poste de fleuriste et enchaîna les heures de lecture et de recueillement. Prise dans ce cercle vicieux, laissée pour compte à la merci de l’aliénation de cette mère parlant au fantôme de son frère et de ce père au regard vide.
La jeune femme combattait cet endoctrinement sans pleinement réussir à déterrer la graine implantée dans sa chair et son esprit. Une haine viscérale naquit et entreprit de façonner le masque porté au crépuscule du nouveau monde. Celui qui assure que tout va bien, que les versets de la Bible sont compris et appris et non lus en diagonale entre deux égarements pensifs, l’oeil attiré vers l’extérieur. Rien que le paraître.
Il fut temps de tout bousculer.
A l’aide d’une clé perdue, ramassée et cachée au fond d’une poche, une fille devenant ce qu’elle détestait : habitante de cet ailleurs. Si l’enfer est partout, autant choisir dans lequel périr. Adieu ses parents, leur existence pourrie de l'intérieur, cette gangrène amputant sa soif d'assister à un énième lendemain.
Une goutte de sang et Krüger se réincarna en orpheline, opaline à la peau au toucher visqueux, le cœur qui bat là où il ne devrait pas. L’an 117, en septembre ; une nymphe des Maintes Eaux.
Un commencement à l'instar d'un tsunami impossible à contenir, tel un bébé à qui l’on doit inculquer le savoir de marcher, boire, manger et dormir. Elle n'a point saisi l’étendue de sa transformation jusqu’à ce qu’elle respira sous l’eau, frôla ses branchies et vit par ailleurs ses cheveux noirs disparaître au profit de cette teinte unique. Le choc, Zora crut à une punition, Dieu n’était donc pas sot !
Avant de remarquer que tout le monde était étrange. L’illusion perdura bien, le bouleversement émotionnel également.
Or loin des siens, ce poids en moins, enfin elle put éclore.
Son mentor la poussa à créer des repères pour s’épanouir sur Ozéna. Elle trouva une stabilité mentale dans ce dont elle était familière ; son ancien travail de fleuriste et la religion. Simple fidèle, n’ayant aucune vocation de se hisser très haut car sa foi demeure superficielle.
Des matins dédiés à Enos en la mémoire de son frère, Ekaris en cet espoir de trouver un intérêt dans cette seconde chance, Tydea en cette volonté de ne jamais plus être prisonnière de qui que ce soit et Lysrus pour que ses offrandes l’intiment de protéger son secret.
Complice de l’ignorance de ses parents, elle a constamment creusé la tombe des malheurs de sa famille en camouflant ses agressions à l’école, les remontrances du corps enseignant et en affichant un sourire de façace sur les photos souvenirs. Si on ne dit rien, il ne se passe rien.
Jusqu’à ce que la tombe soit assez profonde pour y accueillir tous ces mensonges et le coupable avec.
Fille unique après le décès de son frère aîné, Kai est mort lors d’une des émeutes sociales suite à la perdition crescendo de l’humanité. On se bat pour du pain, on meurt dans un bain de sang. Elle s’est endormie à dix-huit ans au côté d’une chambre bruyante de musiques indés, s’est réveillée quelques jours plus tard sous le son étouffant du silence.
L’enterrement fut beau et retourner sur sa tombe n’a jamais été une étape dure à surmonter, la mort ne l’effraie pas. Tristement, Zora n’attendait que sa terminaison à elle aussi.
Mais Dieu ne veut pas laisser partir les gens mauvais, elle en est persuadée, Dieu martyrise les vivants et le jugement dernier se fait depuis la terre. A Leipzig, elle a assisté aux révolutions sociales, aux prières redoublées de ses géniteurs et aux messes interminables tous les dimanches. A force il fallait bien y croire, si on est bons on sera délivré du mal. De facto, avant de manger, de dormir, de partir à l’école ; elle priait, elle priait, elle priait.
L’humaine qu’elle est a vécu ses années de vie à affronter le jour, répondre aux exigences d’autrui et creuser encore et encore de ses mains ce trou familial. Dix ans, vingt ans, la trentaine bientôt franchie et pas l’ombre d’une fin. Ses amis étaient rares par choix et par habitude de rentrer directement après l’école et le travail, de se focaliser sur les activités familiales plutôt qu’une sortie amicale au cinéma.
L’histoire des clés et de cet au-delà l’ont longtemps laissée perplexe, la folie a enfin touché les gens a -t-elle pensé. Cette absurdité a rendu les individus hors de contrôle et une vraie chasse a débuté sous ses yeux désespérés. Zora veut quitter cette planète, mais pas pour en intégrer une autre.
Jusqu’à ce que sa famille eut marre de tout et tourna le dos à la société. Le contact fut rompu avec le monde extérieur, Zora abandonna son poste de fleuriste et enchaîna les heures de lecture et de recueillement. Prise dans ce cercle vicieux, laissée pour compte à la merci de l’aliénation de cette mère parlant au fantôme de son frère et de ce père au regard vide.
La jeune femme combattait cet endoctrinement sans pleinement réussir à déterrer la graine implantée dans sa chair et son esprit. Une haine viscérale naquit et entreprit de façonner le masque porté au crépuscule du nouveau monde. Celui qui assure que tout va bien, que les versets de la Bible sont compris et appris et non lus en diagonale entre deux égarements pensifs, l’oeil attiré vers l’extérieur. Rien que le paraître.
Il fut temps de tout bousculer.
A l’aide d’une clé perdue, ramassée et cachée au fond d’une poche, une fille devenant ce qu’elle détestait : habitante de cet ailleurs. Si l’enfer est partout, autant choisir dans lequel périr. Adieu ses parents, leur existence pourrie de l'intérieur, cette gangrène amputant sa soif d'assister à un énième lendemain.
Une goutte de sang et Krüger se réincarna en orpheline, opaline à la peau au toucher visqueux, le cœur qui bat là où il ne devrait pas. L’an 117, en septembre ; une nymphe des Maintes Eaux.
Un commencement à l'instar d'un tsunami impossible à contenir, tel un bébé à qui l’on doit inculquer le savoir de marcher, boire, manger et dormir. Elle n'a point saisi l’étendue de sa transformation jusqu’à ce qu’elle respira sous l’eau, frôla ses branchies et vit par ailleurs ses cheveux noirs disparaître au profit de cette teinte unique. Le choc, Zora crut à une punition, Dieu n’était donc pas sot !
Avant de remarquer que tout le monde était étrange. L’illusion perdura bien, le bouleversement émotionnel également.
Or loin des siens, ce poids en moins, enfin elle put éclore.
Son mentor la poussa à créer des repères pour s’épanouir sur Ozéna. Elle trouva une stabilité mentale dans ce dont elle était familière ; son ancien travail de fleuriste et la religion. Simple fidèle, n’ayant aucune vocation de se hisser très haut car sa foi demeure superficielle.
Des matins dédiés à Enos en la mémoire de son frère, Ekaris en cet espoir de trouver un intérêt dans cette seconde chance, Tydea en cette volonté de ne jamais plus être prisonnière de qui que ce soit et Lysrus pour que ses offrandes l’intiment de protéger son secret.
- Palier de pouvoir:
- Palier 1 - elle ne s'en est jamais véritablement servi, s'acclimatant encore à la population d'Azamyr. L'envie de déclencher de l'amour même illusoire ne traverse pas son esprit.
- Chronologie générale:
- 7 janvier 4159 - sa naissance dans une famille pieuse.
4169 - elle fréquente l’école depuis quelques années et est victime d’harcèlement, mais se tait.
4177; 18 ans - elle perd son frère Kai lors d’une émeute.
4187 - sa famille s’éloigne de la société et s’emprisonne dans la religion, elle tente de s’en défaire.
4188 ; septembre - elle trouve une clé et décide de tenter l’expérience. Elle rejoint Ozéna et doit reconstruire sa vie à l’aide de son mentor.
4188 ; octobre - elle rejoint la Prieuré des Dieux en tant que fidèle et reprend son métier de fleuriste dans un shop sans prétention.
- Inventaire:
- > une dague donnée par son mentor
> des textes sacrés
> un sac contenant un petit en-cas
> des cailloux trouvés sur le chemin
> un carnet avec un stylo
> une brosse à cheveux
> des graines
Physique
L’un des mystères de Zora est son âge, ses traits jeunes serviraient ses intérêts, mais elle n’en joue pas du tout. A force de subir des moqueries sur certains détails de son apparence - notamment ses yeux en amande - , elle a fini par en faire abstraction pour se concentrer sur ce qui importe le plus. Ses cheveux ! Et alors on s’arrête et on se demande si on a bien compris. Ses cheveux vous dites ? Ses cheveux. Elle les vénère et en prend soin comme personne d'autre ne peut en prendre soin, les peignant des heures durant, les touchant et les manipulant de sorte à ce qu’on devine rapidement que pour la blesser et la meurtrir il suffirait d’en couper une petite mèche.
D’une couleur déroutante, bleu-gris-verdâtre en cascade dans le dos et caressant ses écailles aux lombaires, ils rehaussent sa beauté.
Expressive lorsqu’il s’agit de mettre mal à l’aise ou de s’amuser de l’autre, Zora n’est que très peu vue les larmes aux yeux ou la colère sur le visage. Comme si tout ceci lui passait au-dessus de sa tête, en vérité elle est très secrète de ce genre d’émotions. Elle aime se coiffer de fleurs cultivées quand celles-ci ne se vendent pas assez et se pare des trésors débusqués lors de ses promenades nocturnes.
La nymphe se balade quasiment que le soir, tirant sur sa liberté avant qu’on ne s’inquiète dans sa maison de son absence de longue durée, elle aime la nuit et on voit en elle la lune.
Les couleurs vives de son maquillage tranchent avec sa pâleur maladive. La jeune femme n’est pas la plus apprêtée de toutes, néanmoins elle sait y mettre l’effort.
Sa petite taille - un mètre cinquante-neuf - et ce corps tout frêle qui se ferait emporter par des vents forts n’ont pas peur des plus grands.
Même dans la tempête, Zora maintient sa démarche tranquille, il n’y a pas le feu au lac puisque le feu cesse au contact de l’eau ! Sa voix claire n’est pas des plus reconnaissables, sa discrétion fait sursauter les autres ; on ne l’a pas vue venir, elle pourrait prévenir de son apparition.
D’une couleur déroutante, bleu-gris-verdâtre en cascade dans le dos et caressant ses écailles aux lombaires, ils rehaussent sa beauté.
Expressive lorsqu’il s’agit de mettre mal à l’aise ou de s’amuser de l’autre, Zora n’est que très peu vue les larmes aux yeux ou la colère sur le visage. Comme si tout ceci lui passait au-dessus de sa tête, en vérité elle est très secrète de ce genre d’émotions. Elle aime se coiffer de fleurs cultivées quand celles-ci ne se vendent pas assez et se pare des trésors débusqués lors de ses promenades nocturnes.
La nymphe se balade quasiment que le soir, tirant sur sa liberté avant qu’on ne s’inquiète dans sa maison de son absence de longue durée, elle aime la nuit et on voit en elle la lune.
Les couleurs vives de son maquillage tranchent avec sa pâleur maladive. La jeune femme n’est pas la plus apprêtée de toutes, néanmoins elle sait y mettre l’effort.
Sa petite taille - un mètre cinquante-neuf - et ce corps tout frêle qui se ferait emporter par des vents forts n’ont pas peur des plus grands.
Même dans la tempête, Zora maintient sa démarche tranquille, il n’y a pas le feu au lac puisque le feu cesse au contact de l’eau ! Sa voix claire n’est pas des plus reconnaissables, sa discrétion fait sursauter les autres ; on ne l’a pas vue venir, elle pourrait prévenir de son apparition.
Caractère
Même si les Dieux aiment tous leurs fidèles, ils ne devraient pas aimer Zora.
Même si tous leurs fidèles sont des âmes charitables, exemplaires et l’incarnation de la bonté sur Terre, Zora n’en est pas une.
Et pourtant, la voilà ici présente, dans l’antre de ces Dieux qui n’ont pas la parole directe, ne pouvant que la juger depuis les vitraux par lesquels traverse la lumière et baigne l’assemblée de cet éclat céleste.
Le silence divin sert ses affaires et dans l’ombre d’une innocence préfabriquée se niche la malignité. Chut, personne ne le sait et personne ne peut la soupçonner. Un livre sacré contre son coeur comme bouclier, les mains jointes et les yeux fermés, agenouillée en guise de soumission sous le regard saint. On lui donnerait le bon dieu sans confession. Attends donc Zora, tôt ou tard on te retirera le blanc de tes habits, on t’arrachera l’auréole au-dessus de cette expression forcée et cette chute sera le début de ta fin.
Zora divise son amour de vivre pour nourrir sa solitude, sa mélancolie d’une vie passée complètement ratée et l’espièglerie d’une enfant qui n’a jamais véritablement grandi.
Elle passe ses journées entre eau et terre, observe et discute au coucher du soleil des personnes et situations rencontrées avec son propre reflet ou ses fleurs. On la trouve totalement perchée, l’intelligence questionnée et on a de quoi la sous-estimer. Une femme souvent volontairement seule, souriant sans raison apparente, entre messes basses et interrogations parasites. Elle interrompt untel dans sa course pour l'attirer à elle et lui soutirer des informations histoire de lui faire perdre un peu de son précieux temps. On la quitte interloquée, le son d’un rire vibrant sous la surface alors qu’elle rejoint les profondeurs pour se ressourcer ou en écho dans les forêts d’Azamyr, l’endroit parfait pour se renfermer.
Zora ne brille pas de perspicacité, elle fait avec les moyens du bord et avec ce qu’elle est née. L’égocentrisme, l’absence de culpabilité et de gêne rythment ses actions.
Il y a dans son comportement une recherche dissimulée d’attention, celle qu’on ne lui a jamais vraiment donnée et si on lui répond elle est noyée de joie et si on l’ignore elle est rongée par la rancune.
Est-elle compliquée à cerner ? Pas forcément et elle ne cherche à se cacher de ses véritables vices que pour continuer à fréquenter la sphère religieuse. Les yeux et les oreilles sont partout, pour autant elle persévère dans cette idée qu’on la croit facilement pieuse. Dieu est grand, Dieu aime tous ses enfants et en naissant, renaissant de la Terre à Ozéna, les Dieux ne l’ont toujours pas rejetée.
Au-delà de son lien avec le culte polythéiste, sa relation avec les membres de sa maison est sujet à quelques ambivalences. On la voit très à l’écart et en même temps impliquée dès qu’il faut se montrer et défendre un de ses congénères. Elle ne comprend pas tout le monde avec aisance, s'empêtre dans sa maladresse à communiquer avec autrui et des évidences lui passent sous le nez tels que l’ironie ou le second degré. Nonobstant, quand on se motive à l’approcher par curiosité ou intérêt quelconque, on récolte des conseils et découvre un enthousiasme presque attendrissant. Quand elle apprécie une personne, Zora lui offre une fleur, une perle, un des objets de sa collection, mais plus que tout ; elle use de sa franchise pour tout lui avouer. Il en va de même si elle ne l'aime pas.
Même si tous leurs fidèles sont des âmes charitables, exemplaires et l’incarnation de la bonté sur Terre, Zora n’en est pas une.
Et pourtant, la voilà ici présente, dans l’antre de ces Dieux qui n’ont pas la parole directe, ne pouvant que la juger depuis les vitraux par lesquels traverse la lumière et baigne l’assemblée de cet éclat céleste.
Le silence divin sert ses affaires et dans l’ombre d’une innocence préfabriquée se niche la malignité. Chut, personne ne le sait et personne ne peut la soupçonner. Un livre sacré contre son coeur comme bouclier, les mains jointes et les yeux fermés, agenouillée en guise de soumission sous le regard saint. On lui donnerait le bon dieu sans confession. Attends donc Zora, tôt ou tard on te retirera le blanc de tes habits, on t’arrachera l’auréole au-dessus de cette expression forcée et cette chute sera le début de ta fin.
Zora divise son amour de vivre pour nourrir sa solitude, sa mélancolie d’une vie passée complètement ratée et l’espièglerie d’une enfant qui n’a jamais véritablement grandi.
Elle passe ses journées entre eau et terre, observe et discute au coucher du soleil des personnes et situations rencontrées avec son propre reflet ou ses fleurs. On la trouve totalement perchée, l’intelligence questionnée et on a de quoi la sous-estimer. Une femme souvent volontairement seule, souriant sans raison apparente, entre messes basses et interrogations parasites. Elle interrompt untel dans sa course pour l'attirer à elle et lui soutirer des informations histoire de lui faire perdre un peu de son précieux temps. On la quitte interloquée, le son d’un rire vibrant sous la surface alors qu’elle rejoint les profondeurs pour se ressourcer ou en écho dans les forêts d’Azamyr, l’endroit parfait pour se renfermer.
Zora ne brille pas de perspicacité, elle fait avec les moyens du bord et avec ce qu’elle est née. L’égocentrisme, l’absence de culpabilité et de gêne rythment ses actions.
Il y a dans son comportement une recherche dissimulée d’attention, celle qu’on ne lui a jamais vraiment donnée et si on lui répond elle est noyée de joie et si on l’ignore elle est rongée par la rancune.
Est-elle compliquée à cerner ? Pas forcément et elle ne cherche à se cacher de ses véritables vices que pour continuer à fréquenter la sphère religieuse. Les yeux et les oreilles sont partout, pour autant elle persévère dans cette idée qu’on la croit facilement pieuse. Dieu est grand, Dieu aime tous ses enfants et en naissant, renaissant de la Terre à Ozéna, les Dieux ne l’ont toujours pas rejetée.
Au-delà de son lien avec le culte polythéiste, sa relation avec les membres de sa maison est sujet à quelques ambivalences. On la voit très à l’écart et en même temps impliquée dès qu’il faut se montrer et défendre un de ses congénères. Elle ne comprend pas tout le monde avec aisance, s'empêtre dans sa maladresse à communiquer avec autrui et des évidences lui passent sous le nez tels que l’ironie ou le second degré. Nonobstant, quand on se motive à l’approcher par curiosité ou intérêt quelconque, on récolte des conseils et découvre un enthousiasme presque attendrissant. Quand elle apprécie une personne, Zora lui offre une fleur, une perle, un des objets de sa collection, mais plus que tout ; elle use de sa franchise pour tout lui avouer. Il en va de même si elle ne l'aime pas.
À propos de toi
Des bisous et au plaisir de vous retrouver in rp. c:
Informations
Nom & Prénom
Krüger ZoraÂge
[age="4159"]Race
NympheMaison
Maison des Maintes EauxMétier
FleuristeFeat
OC - Miho HiranoInvité
Invité
Bienvenue à toi jolie nymphe
Je me suis permise de réparer ton code !
J'ai hâte d'en lire plus sur son histoire
Je me suis permise de réparer ton code !
J'ai hâte d'en lire plus sur son histoire
Vino Ravart
Maison de la Flamme et de l'Ombre
Bienvenue parmis nous ! J’aime beaucoup l’avatar, très très orignal. Mention spécial pour le caractère atypique qui annonce une histoire intéressante ! Je vais suivre ça de près !
Zora Krüger
Maison des Maintes Eaux
Séléna > Et bonjour ma soeur hehe, je ne pouvais que choisir cette espèce pour l'accorder au feat de Zora
Vino > Merci beaucouuup, j'ai aucune pression pour l'histoire maintenant *si *
Je me relis, je réfléchis encore pour voir si tout est ok et je pense que ma fiche sera terminée ~
Vino > Merci beaucouuup, j'ai aucune pression pour l'histoire maintenant *si *
Je me relis, je réfléchis encore pour voir si tout est ok et je pense que ma fiche sera terminée ~
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Une nymphe, et quelle nymphe ! Je suis charmée par sa prestance et son petit côté atypique, j'ai hâte de voir ce qu'elle réserve à Azamyr (et non pas ce que Azamyr lui réserve, parce qu'après tout elle est protégée d'une déesse, il faut s'en méfier.. )
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde.
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
Icône :
Messages :
955
Job :
Univers
Feat :
Inconnu
Azys :
1491
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|