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Donatella (terminée)
Donatella
Maison de la Flamme et de l'Ombre
Histoire
An 4174 - Milan, Italie
Toute de noir vêtue, du haut de ses 5 petites années, la fillette se tenait parmi les adultes. Ils la couvraient de regards apitoyés, larmoyants et se murmuraient entre eux en échangeant des regards inquiets. Certaines femmes lui caressaient même les cheveux en disant quelques phrases à moitié rassurantes. Donna ne comprenait pas. Pourquoi tous ces gens s’agitaient-ils autour d’elle spécifiquement ? Et pourquoi tout ce noir ? L’annonce de ce matin se répétait en boucle dans sa tête mais elle n’arrivait pas à interpréter les mots, à les accepter.
Ton père est mort.
Mort ? Pourtant, il allait très bien hier soir. Il lui avait inventé une histoire farfelue comme à son habitude. Il l’avait bordé et avait embrassé son front. Comme d’habitude. Comme chaque soir. Et elle s’était endormie dans sa couette épaisse. Tout simplement. Et ce matin...Comment ? Son cerveau enfantin cherchait, fouillait, creusait. Mais il ne trouvait rien. Il délirait. Donna perdait pied dans cette salle vide de figures familières. Elle avait l’impression que le monde tournait. Le sol ondulait. Les murs se resserraient. Les personnes se déformaient. Leurs paroles l’assourdissaient. Elle couvrit ses oreilles. Elle avait envie de leur crier d’arrêter mais sa voix ne sortait pas. Elle ferma les yeux, fort. De toute ses forces. Comme si elle pouvait effacer ce jour, et les rouvrir au lendemain. Le vrai lendemain. Celui qui aurait dû se produire, avec son papa. Elle fermait et rouvrait les yeux. En boucle. En vain. Les gens en noir ne partaient pas. L’air commençait à lui manquer lorsque le silence s’imposa dans la pièce.
Elle inspira quelques fois avant de découvrir prudemment ses oreilles. Un son lui parvint et elle les recouvrit vivement. Avant de réaliser : ce n’était pas une voix. C’était... du piano. Ses mains s’éloignèrent de sa tête. Ses yeux se rouvrirent, cherchant la source de la mélodie. Elle dut se glisser entre quelques jambes pour approcher de la petite estrade.
Comment ne l’avait-elle remarqué au début ? Un magnifique piano à queue d’époque trônait dans la pièce autrement vide. De son noir lustré et usé, il portait sur lui des siècles de vie. Sans le connaître, Donna le reconnut. Son père mentionnait souvent un vieux piano dans ses récits, et il était exactement comme celui-là. Le musicien en revanche, elle ne le connaissait pas. Ses cheveux bruns soigneusement peignés se défaisaient petit à petit au fil du morceau. La fillette était jeune mais la passion et la douleur qui traversaient les notes la touchait profondément. Il ne jouait pas un simple requiem. Il souffrait de la perte de son père, peut-être même plus qu’elle qui ne la réalisait pas encore.
Quelques jours plus tard, enfermée dans un silence maladif, Donna rencontra à nouveau ce mystérieux pianiste. Abandonnée par sa mère depuis la naissance, les services légaux n’avaient pu la contacter. Un nouveau tuteur légal lui était attribué, celui recommandé par son père : Xander Cooper, son amant.
“Donna, si tu es prête, allons-y.”
Son père n’avait encore eu le courage de le présenter à sa fille, et voila qu’elle suivait cet inconnu avec la docilité d’un agneau.
Le mutisme dura encore plusieurs jours. Elle mangeait, elle dormait. Elle ne jouait pas. Elle fixait la fenêtre, l’esprit vide. Les gouttes qui coulaient le long de la vitre pouvaient l’obnubiler des heures durant. Ou simplement les passants dans la rue. Ou le soleil qui se couchait au loin dans la brume de pollution qui entourait Milan et ses banlieues.
Son tuteur, patient, tenta différentes façons de communiquer avec elle. Il lui offrit des jouets. Il lui posa des questions simples, d’autres plus dures. Il parla juste, seul. Il lui lut des contes pour enfants. Il essaya d’inventer des histoires un peu brouillonnes. En vain. Donna restait muette. Ses grands yeux bleus fixaient l’air absent ce qu’on lui offrait. Elle était vivante mais sans vie.
Le premier pas qu’ils effectuèrent l’un vers l’autre fut autour du piano. La musique dans laquelle il vibrait d’émotions atteignait la fillette. Et le requiem de son père lui arracha finalement les larmes qu’elle retenait depuis la tragédie. A la fin du morceau, elle tombait au sol en sanglots. Il l’enlaça. Et ensemble, ils pleurèrent. Jusqu’à ce que le sommeil n’emporte Donna.
An 4189 - Milan, Italie
“Papa !! Tu n’es toujours par prêt ? On va être en retard pour la performance !!”
A l’aube de ses vingt ans, la fillette s’était transformée en jolie jeune femme. Gâtée par son père d’adoption, elle resplendissait dans ce monde obscur. Gâtée par la nature, elle possédait une voix enchanteresse. Le duo d’artistes monta tôt sur scène. D’abord par amusement, Xander avait organisé un petit concert. Il jouait et elle chantait ce qu’ils avaient répété. Petit à petit, il devenait évident qu’elle était douée et les représentations prirent de l’ampleur. Ce petit bout de femme capable d’émettre à une puissance étourdissante se faisait appeler affectueusement Donatella. Cantatrice soprano accompagnée d’un pianiste virtuose... il n’en fallait pas plus pour attirer les riches en recherche de distractions. Avec de petites mises en scène, des costumes fabriqués sur leur temps libre, ils s’épanouissaient dans ce monde de rêve. Chaque spectacle faisait oublier cette terre au bord du gouffre. Ils était heureux, ensemble.
Pourtant, depuis quelques mois, Donna trouvait son père agité. Il n’écoutait souvent que d’une oreille distraite. Les bouteilles se vidaient plus vite. Le piano s’ouvrait moins souvent. Il ne jouait plus seul comme à son accoutumée. Elle devait le tirer pour qu’ils aillent s’entraîner, lui qui habituellement l’attendait déjà les mains sur le clavier. Ses cheveux viraient vers le gris et les rides se creusaient autour de ses yeux. La vieillesse n’enlevait pourtant rien à son charisme, ou à la lueur vive dans son regard. Quelque chose d’autre n’allait pas, et la jeune femme n’était pas au courant.
Elle espérait que sa fête d’anniversaire lui change les idées. Elle allait avoir vingt ans. Un bel âge. Un âge rond comme une note sur une partition ! Ils en riaient souvent. Et les années s’étaient écoulées à vive allure.
Vêtue d’une jolie robe aux reflets bleutés, scintillante comme un ciel étoilé, Donatella fixait ses cheveux en un chignon travaillé. Il enfilait sa queue de pie lentement, l’air ailleurs encore.
“Papa !”
Il se tourna vers elle et sourit.
“Tu es rayonnante ma Donna. Allons les éblouir.”
Il lui adressa un clin d’oeil affectueux avant de lui embrasser la joue. Il monta sur scène en premier, comme toujours, pour annoncer le spectacle, annoncer la grande - bien que petite - Donatella. Sa voix résonnait dans la pièce, capturant l’attention du public. Pour l’occasion, ils avaient organisé l’évènement à la Scala, le rêve de la chanteuse. La piano avait été transféré sous l’oeil inquiet de Xander de leur demeure en banlieue jusqu’au célébrissime théâtre milanais.
La représentation fut un franc succès. Leur symbiose sur scène n’était plus à démontrer, et la cantatrice rayonnait. Elle envoûtait son public, les emmenait dans un lieu lointain où les drames et les joies se chantaient. Les histoires finissaient toujours bien. Car personne n’avait besoin de tragédie dans cette ère de fin.
Un torrent d’applaudissements répondit à la représentation. On lui lança quelques fleurs, comme à l’époque. Elle en avait les larmes aux yeux d’émotion et d’un geste empreint de grâce, elle les salua et les remercia.
Son rêve venait de se réaliser.
Elle flottait sur un nuage et bondit dans les bras de son père lorsque le rideau tomba. Les mots lui manquaient. Une larme glissa sur sa joue tant l’émotion la saisissait. Elle le remerciait tout en balbutiant des mots sur leur performance. Il rit, tendrement. Il la serra contre lui avec tout l’amour paternel qu’il avait pour elle.
“Ce n’est pas fini ma fille. J’ai un autre présent pour toi.”
Il prit sa main et la tira dans les coulisses. Ses doigts tremblaient légèrement. Elle était trop euphorique pour le réaliser. Il s’empara d’une enveloppe dans son autre veste et lui tendit. Son regard brillait mais la fierté était remplacée par une sorte de tristesse. Déstabilisée, Donna saisit l’enveloppe sans comprendre. Elle l’ouvrit et manqua de la lâcher aussitôt en comprenant ce qu’il lui offrait.
“Tu as rempli ton rêve ici. Il est temps d’aller en vivre ailleurs... là où tu pourras vraiment vivre.”
Son regard oscillait entre la lettre et son père. Elle était émue, chamboulée, perdue.
Il rit doucement face à cette réaction.
“Ils t’attendent à la sortie des coulisses. Tout est prêt.”
Donna se jeta dans ses bras à nouveau. Elle le serrait fort. Ce cadeau était inestimable Mais il manquait une partie. Le visage dans son cou, elle murmura presque timidement.
“Et toi...?”
Il la serra plus fort.
“Je te rejoindrai. Maintenant...”
Il la poussa en arrière et lui essuya les larmes.
“Ma Donatella, va enchanter ce nouvel univers !”
Et après une dernière étreinte, s’accrochant à cette promesse, Donna poussa la porte des coulisses. Deux hommes de stature imposantes l’attendaient. Sur leur torse était brodé le logo de la corporation. Elle les suivit donc, dans sa robe étincelante. En diva, elle quittait la Scala.
Sur le seuil, Donna se tourna une dernière fois vers l’entrée splendide du vieux bâtiment..
Des notes s’échappaient de la salle du spectacle. Tendant l’oreille pour reconnaitre la mélodie, son corps se figea. Etourdie, sa gorge se noua et sa vue s’embrouilla.
Le requiem des funérailles de son père résonnait dans la Scala de Milan.
An 118 - Azamyr, Ozéna
Cela faisait sept jours qu’elle avait traversé le portail. Les prêtres l’avaient accueilli, l’avaient guidé. Avec patience et douceur, Donna ne pouvait se plaindre de manquer de quoique ce soit. Pourtant son esprit était absent et sa voix évanouie. La traversée avait été éprouvante, et l’arrivée violente. Son âme était ballottée entre deux mondes et elle sentait qu’elle se perdait. Son envie de vivre avait disparu avec sa robe étoilée, abandonnée dans ce monde horrible avec son seul soutien. Les larmes coulaient sans cesse le long de ses joues. Parfois la panique la saisissait. Les murs se resserraient. Les morts criaient. Elle jetait tout ce qu’il y avait dans sa chambre. Elle essayait de hurler... en vain. Seul l’air sortait de sa gorge. Sa voix se taisait. Elle dormait à peine, craignant les cauchemars. Elle vivait sans vie. Une fois de plus.
Que ne donnerait-elle pas pour entendre son piano juste une fois... Juste une fois.
Une nuit, en réponse à sa prière, le requiem sonna au loin. Elle l’entendait. Elle se leva, pieds nus. Elle courrait dans les couloirs. Elle suivait la mélodie mais jamais ne s’en approchait. Elle chuta, s’ouvrant les genoux mais sans un regard pour ses plaies, elle reprit sa course effrénée. Oscillait-elle encore entre réalité et limbes ? Se perdait-elle dans les mondes qui l’avaient accueilli ? Elle n’en sut rien. Encore à ce jour, elle ne comprenait pas comment elle avait entendu la musique. Le manque de sommeil ? La folie ? Ou un geste de la déesse ?
Sa course se termina dans les bras d’une prêtresse. Face à sa détresse, elle la serra contre elle et se mit à entonner une berceuse. Un reflexe de mère, un reflexe salvateur. Donna s’effondra contre elle. Ses sanglots n’arrêtaient plus. Elle s’en étouffait presque, noyée dans ses larmes. Puis elle s’endormit d’épuisement.
La prêtresse demeura à ses côtés jusqu’à son réveil. Donna émergea péniblement de sa première vraie nuit depuis son arrivée. Ses yeux lui brûlaient d’avoir tant pleuré. Ses genoux la lançaient aussi malgré les soins. Elle se redressa lentement, la gorge sèche. Un verre d’eau lui fut tendue à peine effleura-t-elle son cou. Elle engloutie quelques gorgées avant de le garder dans ses mains. En silence, elle fixait l’eau. Puis prenant une inspiration, elle murmura.
“Donatella. Je m’appelle Donatella.”
Ses iris bleutés se levèrent timidement vers la prêtresse. Cette dernière lui sourit.
“Bienvenue à Azamyr, Donatella.”
Son initiation pouvait enfin débutée.
- Palier de pouvoir:
Palier 1
- Chronologie générale:
An 4169 - Naissance de Donna à Milan, en Italie. Sa mère, ayant jugé avoir déjà fait plus que nécessaire en donnant la vie, est partie vivre la sienne sans jamais donner de nouvelles. Son père est très heureux de prendre soin de sa fille.
An 4174 - Décès du père de Donna. Âgée de 5 ans, Donna ne comprend pas et refuse de parler. Les services sociaux ne peuvent pas contacter sa mère et la remettent au tuteur légal suivant : l’amant de son père, Xander Cooper. Elle devient Donna Cooper. La musique crée un lien fort entre eux.
An 4177 - Âgée de 8 ans, Donna s’entraine au chant avec son nouveau père pianiste. Pour l’encourager, il organise un premier concert chez eux, dans leur salle de musique. C’est un succès et ils recommenceront de temps en temps.
An 4183 à 4189 - Donna est connue sous le nom de Donatella et les concerts sont devenus leur moyen de survivre. Elle coud ses propres tenues et chante pour un public restreint, le plus souvent rêveurs et riches.
An 4189 - A l’anniversaire de ses 20 ans, elle réalise son rêve : chanter au théâtre de la Scala de Milan. Davantage conscient de ce monde qui se meurt, Xander décide d’utiliser toutes leurs économies et de vendre tous ses biens. Il offre ainsi une place à Donna dans le nouveau monde.
An 118 - Donna arrive à Azamyr choquée par le sacrifice de son père adoptif. Il lui faut du temps pour encaisser avant de s’ouvrir à cette nouvelle vie.
- Inventaire:
Un petit couteau
Physique
1m62 - 50kg - peau blanche - cheveux noirs - yeux bleus
Donna est un petit bout de femme au corps gracile. Le dos toujours bien droit et les mains qui s’agitent lorsqu’elle parle, elle dégage de la douceur et presque une aura de naïveté. Lorsqu’elle marche, il lui arrive souvent de faire un petit pas de danse ou de trottiner sans raison apparente. Ses grands yeux ont tendance à trahir ses émotions. Ses joues rosissent rapidement. Elle a le rire facile. Son visage aux joues rondes est encadré par sa chevelure sombre. Sa peau n’en parait que plus blanche en contraste. Il est fréquent de la voir en robe. Si elle a la pudeur de cacher ses genoux, elle exprime son grain de folie par des couleurs ou des paillettes. Jamais moulant, de toute façon elle a peu de formes à mettre en avant. Elle préfère largement avoir des froufrous à faire voler en tournant sur elle-même. Elle adore les chapeaux aussi, pour se rendre mystérieuse sans-doute.
Donna est un petit bout de femme au corps gracile. Le dos toujours bien droit et les mains qui s’agitent lorsqu’elle parle, elle dégage de la douceur et presque une aura de naïveté. Lorsqu’elle marche, il lui arrive souvent de faire un petit pas de danse ou de trottiner sans raison apparente. Ses grands yeux ont tendance à trahir ses émotions. Ses joues rosissent rapidement. Elle a le rire facile. Son visage aux joues rondes est encadré par sa chevelure sombre. Sa peau n’en parait que plus blanche en contraste. Il est fréquent de la voir en robe. Si elle a la pudeur de cacher ses genoux, elle exprime son grain de folie par des couleurs ou des paillettes. Jamais moulant, de toute façon elle a peu de formes à mettre en avant. Elle préfère largement avoir des froufrous à faire voler en tournant sur elle-même. Elle adore les chapeaux aussi, pour se rendre mystérieuse sans-doute.
Caractère
Donna existe en deux versions, la diva et la rêveuse. Bien qu’indivisibles, elles ont des différences notoires. La diva - Donatella - lui permet de cacher la rêveuse, de la protéger. C’est pour cette raison que c’est le seul nom qu’elle a donné à Azamyr pour le moment. Elle a besoin de courage et d’audace, et cela, seule Donatella en est capable. Car Donatella est charismatique. Elle dégage une présence qui la rend difficile à rater dans une pièce. Ses gestes sont teintés d’élégance. Elle parle sans hésitation, d’une voix forte. Un sourire flotte éternellement sur ses lèvres, joueur, mystérieux. Ses yeux bleus brillent de passion et soutiennent les regards. Elle s’affirme, s’assume. Elle ose dire ce qu’elle pense ou faire ce qu’elle veut. Souvent il s’agit de chanter, ou de jouer. Elle peut se montrer un poil capricieuse parfois, surtout avec son passé d’enfant gâtée.
Au fond, la rêveuse est bien plus timide. Elle participe moins aux conversations. Elle est souvent un peu perdue dans ses pensées. Elle aime être seule et chantonner à mi-voix. Elle prépare les costumes, avec patience et précision. Donna est un être sensible et ses émotions sont difficiles à contrôler sans le masque. Il lui arrive d’être en proie à des crises d’angoisses puissantes ou des cauchemars la laissant incapable de rester dans le lit. La perte de ses pères l’a marqué profondément, et la solitude de l’arrivée à Azamyr est une véritable épreuve. Elle a besoin d’être soutenue, d’être aimée. Et en retour, elle sera d’une loyauté sans faille.
Le lien indéniable entre les deux, c’est la musique. Si Donna a bien une passion profondément ancrée, c’est le chant. Son instrument préféré est le piano, elle se débrouille, mais chanter lui offre une liberté immense. Elle se sent voler et voyager dans d’autres mondes. Elle peut exprimer ses émois par ce biais. Et son meilleur remède en cas de crise est une berceuse ou un air de piano.
Ce qui lui plait tant aussi, c’est de pouvoir emporter les autres dans ses voyages musicaux. De les transporter par sa voix, de leur faire oublier leurs problèmes et la folie de leur monde. Son rôle de nécromancienne, c’est ainsi qu’elle le voit aussi : elle pourra aider ces âmes sur le départ, soulager leurs peines et les accompagner vers le repos.
Au fond, la rêveuse est bien plus timide. Elle participe moins aux conversations. Elle est souvent un peu perdue dans ses pensées. Elle aime être seule et chantonner à mi-voix. Elle prépare les costumes, avec patience et précision. Donna est un être sensible et ses émotions sont difficiles à contrôler sans le masque. Il lui arrive d’être en proie à des crises d’angoisses puissantes ou des cauchemars la laissant incapable de rester dans le lit. La perte de ses pères l’a marqué profondément, et la solitude de l’arrivée à Azamyr est une véritable épreuve. Elle a besoin d’être soutenue, d’être aimée. Et en retour, elle sera d’une loyauté sans faille.
Le lien indéniable entre les deux, c’est la musique. Si Donna a bien une passion profondément ancrée, c’est le chant. Son instrument préféré est le piano, elle se débrouille, mais chanter lui offre une liberté immense. Elle se sent voler et voyager dans d’autres mondes. Elle peut exprimer ses émois par ce biais. Et son meilleur remède en cas de crise est une berceuse ou un air de piano.
Ce qui lui plait tant aussi, c’est de pouvoir emporter les autres dans ses voyages musicaux. De les transporter par sa voix, de leur faire oublier leurs problèmes et la folie de leur monde. Son rôle de nécromancienne, c’est ainsi qu’elle le voit aussi : elle pourra aider ces âmes sur le départ, soulager leurs peines et les accompagner vers le repos.
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
Donna Cooper, alias DonatellaÂge
[age="4169"]Race
NécromancienneMaison
Maison de la Flamme et de l’OmbreMétier
CantatriceFeat
OC - GuweizZora Krüger
Fleuriste & Chasseuse d'étoiles
Hello et bienvenue parmi nous !
L'esthétisme de ton personnage (le nom, l'avatar et son métier) est tout doux, j'adore !
Bonne écriture c:
L'esthétisme de ton personnage (le nom, l'avatar et son métier) est tout doux, j'adore !
Bonne écriture c:
Chandler Riskain
Maison de la Terre et du Sang
Salut par ici !
Ta fiche est un délice de poésie. J'ai trouvé ça vraiment très beau <3
Un très joli personnage que j'ai hâte de voir vivre parmi nous. Promis, on trouvera de quoi lui faire un marimba ou tout autre clavecin pour avoir le plaisir de l'entendre jouer !
Ta fiche est un délice de poésie. J'ai trouvé ça vraiment très beau <3
Un très joli personnage que j'ai hâte de voir vivre parmi nous. Promis, on trouvera de quoi lui faire un marimba ou tout autre clavecin pour avoir le plaisir de l'entendre jouer !
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Je te l'ai déjà dit sur Discord mais j'ai beaucoup apprécié ma lecture de ta fiche, que j'ai trouvé toute douce ! J'ai hâte d'entendre ta superbe cantatrice dans les rues d'Azamyr
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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