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Zira, juste Zira ça suffira...
Zira
Maison de la Flamme et de l'Ombre
Histoire
Zira est née dans une famille portugaise dans la magnifique ville de Lisbonne ou du moins ce qu'il en restait le 26 Juin 4161. Elle n'est pas née seule. Ses parents ont eu la grande chance, ou le grand malheur à voir, d'avoir des jumelles : Léonor et Alzira. Leur mère est à la tête d'une entreprise de taille moyenne, leur père du fait d'un problème cardiaque reste à la maison pour les élever, un vrai papa poule. Tout n'est pas totalement rose, et ils vivent dans la moyenne. Ni riche ni pauvre. Ce qui reste un avantage considérable face à trop de personnes vivant sur terre.
Les deux petites grandissent, Léonor se passionne pour la natation, Zira pour la gymnastique artistique. Et elles sont plutôt douées. Enfin, elles n'ont pas vraiment le choix. Autant papa est adorable et fait en sorte de les chouchouter et de les choyer, que maman reste stricte au possible et intransigeante, voire exigeante. Elle veut tirer ses filles vers le haut, plus haut qu'eux et pour ce faire, il fallait encore et toujours travailler. Obtenir des bonnes notes à l'école, exceller dans le sport qu'elles avaient choisi, maîtriser quelque chose d'utile, avoir un comportement exemplaire… La liste est longue, trop longue pour deux gamines qui ne rêvent que de s’amuser. Et finalement, heureusement que leur mère était souvent occupée ailleurs, ainsi leur père pouvait leur permettre de n’être que des enfants de temps en temps.
Son enfance oscillait donc entre deux facettes d’une même pièce appelée éducation. Pas facile de répondre aux attentes d’une mère aussi exigeante. Mais quand on n’a pas le choix, on le fait et voilà tout. C’est ce qu’elle fit. Être docile, se donner à fond pour faire plaisir et gagner de l’affection, toujours sourire, s’oublier un peu trop. Son seul plaisir était d’étudier pendant des heures des livres sur les plantes disparues. Tout ça la fascinait. Ça et les animaux aussi. Elle aurait tellement aimé naître à une autre époque. Mais elle était là maintenant, et elle n’avait pas vraiment le choix que de vivre cette vie.
Encore petite, elle obéissait à chaque fois. Réalisant que de toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix dans cette histoire. Son programme de vie était bien établi et cela chaque jour. Malgré ça, les disputes à la maison devenaient de plus en plus nombreuses. L’une d’elle avait éclaté alors que Zira s’était blessée à un entraînement le matin même. Fracture ouverte du poignet droit. Au faux mouvement et elle pu dire adieu à son avenir chez les champions de gymnastique, elle avait tout juste 10 ans. Peut être que ça avait été la dispute de trop… Mais ils n’eurent jamais le temps de se séparer que déjà le père des jumelles décédait un an plus tard. Son cœur avait lâché, tenu trop longtemps sans de véritables soins. Ce fut dur pour les deux fillettes. Elles venaient de perdre à la fois leur père mais aussi leur confident, leur soupape.
Les exigences furent bien plus nombreuses ensuite, les injonctions à réussir encore plus. Et Zira commença doucement mais sûrement à défier cette mère un peu trop invasive. En secret elle la surnommait la Berce du Caucase, une plante invasive et toxique. Presque heureusement, sa mère la délaissa au moins sur la question du sport. Mais pas sur le reste. Léo et Zira terminèrent les premières étapes de leurs études dans les mieux placées de l’école ou elles se trouvaient. Zira quand même un peu en dessous de Léonor, pour le plus grand désespoir de sa mère. Cette dernière préféra d’ailleurs se concentrer sur Léonor plutôt que sur Zira. Elle attendait toujours de bons résultats de sa part mais beaucoup moins. Ça arrangeait la brunette, qui ne rêvait que d’avoir un peu plus de liberté.
La grande sélection ? Elle observa tout ça de loin, n’espérant rien. Rêvant peut-être, mais rien de plus. Et puis la vie continue. Et il y a tellement de choses à faire encore sur terre. De nombreuses conneries par exemple ? L’alcool notamment, les sorties là où elle n’aurait jamais dû aller aussi… Elle vivait la fin de son adolescence à fond. C’était sa manière de lutter contre cette vie morose.
A ses 18 ans, direction la fac de médecine. Pas le choix, maman faisait tout pour la pousser dans cette voie. Mais ce n’était tellement pas ce qu’elle désirait. Alors à plusieurs reprises, elle sécha les cours. Préférant chercher un coin de verdure afin d’observer les plantes ou encore se terrer dans une bibliothèque pour lire encore et encore. Tout ce qu’elle désirait c’était comprendre et découvrir un peu plus cette nature qui n’existait quasiment plus.
Les disputes recommencèrent plus violentes et menaçantes. Excédée, sa mère lui posa un ultimatum et elles réussirent à atteindre une sorte d’accord : Zira allait pouvoir faire les études de son choix. Par contre elle n’avait absolument pas le droit à l’erreur sinon elle devrait quitter la maison et se débrouiller seule. Enfin, elle avait réellement l’opportunité de faire ce qu’elle voulait vraiment. Elle se lança donc dans des études autour des plantes à ses 19 ans. Elle quémanda même des cours de dessins pour pouvoir illustrer ses cours. Bref, elle vivait par et pour cette passion qu’elle avait découvert dans des livres d’images bien plus jeune. Et ça roulait plutôt bien, elle aimait ça et étudiait encore et encore.
Les années passèrent, Zira se concentra majoritairement sur ses études, le reste était mis de côté. La seule personne qu’elle voyait quand même régulièrement était Léo avec qui elle étudiait parfois. Elle aimait leur moment à deux, même si elles étudiaient deux choses différentes. L’amour tout ça ? Bof, sans grand intérêt. Elle se fit bien des amis lors de ses études, et sans doute qu’elle eut un coup de cœur pour une ou deux personnes. Mais ça s’arrêta là. Cinq années plus tard, elle fut diplômée. Pas moyen de s’arrêter là, ceci dit, avec l’accord de sa mère, elle démarra dans la foulée un doctorat. Maman était ravie après tout, Zira faisait enfin quelque chose de sa vie, pas utile certes mais quand même. Au moins Léo sauvait les meubles de son côté, futur médecin de génie. Au moins ça laissait la possibilité à Zira de faire ce qu’elle désirait vraiment.
C’est durant l’année de ses 24 ans qu’elle la rencontra. Elie, doctorante et botaniste. Ce fut immédiatement le coup de foudre. Elle était intelligente, pédagogue, avait un savoir incroyable. Zira buvait littéralement ses paroles. En quelques mois à peine, elle alla vivre chez elle. Elles se mirent même à travailler ensemble. C’était parfait. Elle aimait et bossait avec quelqu’un qui partageait la même passion qu’elle. Que demander de plus ? Ca aurait pu être merveilleux si une fois à la maison elle n’avait pas subi de la violence physique et verbale de la part de sa compagne. En même pas un an, Elie s’était métamorphosé. Zira encaissa, par amour, par désespoir aussi peut-être. Que faire d’autre de toute façon ? Plusieurs années passèrent ainsi ou la jeune femme lentement mais surement se laissa couler. Plus aussi vive ou joyeuse qu’avant, beaucoup moins épanouie, pas du tout heureuse… Elle s’isola et Elie y veilla. Même Léo ne savait pas. Elles s’étaient lentement mais sûrement éloignées…
Le coup de trop fut donné le jour même de ses 26 ans. Le coup qui lui donna envie de plier bagage pour ne jamais plus revenir. Quitte à supplier son horrible mère pour retourner chez elle. Zira, la lèvre tuméfiée, de nombreux bleus sur le corps et maintenant une entaille profonde sur l’avant bras, rassembla quelques affaires pour fuir. C’est là qu’elle tomba dessus. Une clé ? Elle était belle. Et sincèrement, à aucun moment elle ne se rappela ce que cela pouvait être. Elle avait juste tenté de sortir ses affaires d’un tiroir et était tombée dessus. Comment le sang était arrivé dessus ? Sans doute qu’elle avait voulu faire pression sur sa plaie ? A vrai dire, elle ne garda pas beaucoup de souvenirs de ce jour-là. C’était la panique, elle voulait fuir, partir, survivre. Cette clé fut sa porte de salut.
Malheureusement ce ne fut pas la joie qui l’étreignit quand la patrouille de la Corporation arriva jusqu’à elle. Elle tenta même de fuir, incapable de réfléchir ou de se souvenir de qui ils pouvaient être. Et même quand elle fut soignée et installée dans cette pièce stérile… Là encore elle paniquait, totalement effrayée. Ce fut différent quand les explications et informations lui furent données. Face à elle un dilemme, et en même temps une solution. Une possibilité de renouveau, un espoir qu’elle pouvait enfin toucher du bout des doigts. Ce ne fut quand même pas la grande joie, ça impliquait tellement de choses. Encore figée dans cette peur qui lui tenait les entrailles, elle quitta la Terre avec bien trop de regrets et beaucoup trop d’espoir…
Là encore, de son arrivée elle ne garda pas grand chose comme souvenir si ce n’est l’émerveillement qui la gagna aussitôt qu’elle vit la nature préservée des lieux. Elle mit du temps à se faire à toutes ces nouvelles choses, nouveaux êtres. Quand on lui parla de ce qu’elle était devenue… Elle eut un rire. Une spectre. Quelle bonne blague. Elle avait quitté la terre pour ne pas mourir mais ça avait échoué. Ça lui allait. C’était amusant. Et cela lui permettait aussi d’accéder à la meilleure des capacités, disparaître quand elle n’en pouvait plus. Parce qu'Elie, malgré son éloignement, la hantait toujours. Elle semblait être venue avec elle au moins psychiquement. Cherchant à passer à autre chose, elle raccourcit son prénom. Au revoir Alzira Ramos, bonjour Zira.
La botanique étant toujours une passion farouche, elle intégra la guilde d’Ozénys en tant qu’apprenti pendant une année entière. Dévorant tous les ouvrages qu’elle trouvait, allant faire des croquis des plantes, des arbres, des fruits… Lentement mais sûrement, elle se reconstruisit. Des séquelles demeurent malgré tout, tout comme d’anciennes marques devenues cicatrices. A force de travailler dur, elle eut le plaisir d’obtenir le titre de botaniste. En parallèle, elle découvre toujours l’herboristerie, nouvelle passion sans doute ?
Les deux petites grandissent, Léonor se passionne pour la natation, Zira pour la gymnastique artistique. Et elles sont plutôt douées. Enfin, elles n'ont pas vraiment le choix. Autant papa est adorable et fait en sorte de les chouchouter et de les choyer, que maman reste stricte au possible et intransigeante, voire exigeante. Elle veut tirer ses filles vers le haut, plus haut qu'eux et pour ce faire, il fallait encore et toujours travailler. Obtenir des bonnes notes à l'école, exceller dans le sport qu'elles avaient choisi, maîtriser quelque chose d'utile, avoir un comportement exemplaire… La liste est longue, trop longue pour deux gamines qui ne rêvent que de s’amuser. Et finalement, heureusement que leur mère était souvent occupée ailleurs, ainsi leur père pouvait leur permettre de n’être que des enfants de temps en temps.
Son enfance oscillait donc entre deux facettes d’une même pièce appelée éducation. Pas facile de répondre aux attentes d’une mère aussi exigeante. Mais quand on n’a pas le choix, on le fait et voilà tout. C’est ce qu’elle fit. Être docile, se donner à fond pour faire plaisir et gagner de l’affection, toujours sourire, s’oublier un peu trop. Son seul plaisir était d’étudier pendant des heures des livres sur les plantes disparues. Tout ça la fascinait. Ça et les animaux aussi. Elle aurait tellement aimé naître à une autre époque. Mais elle était là maintenant, et elle n’avait pas vraiment le choix que de vivre cette vie.
Encore petite, elle obéissait à chaque fois. Réalisant que de toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix dans cette histoire. Son programme de vie était bien établi et cela chaque jour. Malgré ça, les disputes à la maison devenaient de plus en plus nombreuses. L’une d’elle avait éclaté alors que Zira s’était blessée à un entraînement le matin même. Fracture ouverte du poignet droit. Au faux mouvement et elle pu dire adieu à son avenir chez les champions de gymnastique, elle avait tout juste 10 ans. Peut être que ça avait été la dispute de trop… Mais ils n’eurent jamais le temps de se séparer que déjà le père des jumelles décédait un an plus tard. Son cœur avait lâché, tenu trop longtemps sans de véritables soins. Ce fut dur pour les deux fillettes. Elles venaient de perdre à la fois leur père mais aussi leur confident, leur soupape.
Les exigences furent bien plus nombreuses ensuite, les injonctions à réussir encore plus. Et Zira commença doucement mais sûrement à défier cette mère un peu trop invasive. En secret elle la surnommait la Berce du Caucase, une plante invasive et toxique. Presque heureusement, sa mère la délaissa au moins sur la question du sport. Mais pas sur le reste. Léo et Zira terminèrent les premières étapes de leurs études dans les mieux placées de l’école ou elles se trouvaient. Zira quand même un peu en dessous de Léonor, pour le plus grand désespoir de sa mère. Cette dernière préféra d’ailleurs se concentrer sur Léonor plutôt que sur Zira. Elle attendait toujours de bons résultats de sa part mais beaucoup moins. Ça arrangeait la brunette, qui ne rêvait que d’avoir un peu plus de liberté.
La grande sélection ? Elle observa tout ça de loin, n’espérant rien. Rêvant peut-être, mais rien de plus. Et puis la vie continue. Et il y a tellement de choses à faire encore sur terre. De nombreuses conneries par exemple ? L’alcool notamment, les sorties là où elle n’aurait jamais dû aller aussi… Elle vivait la fin de son adolescence à fond. C’était sa manière de lutter contre cette vie morose.
A ses 18 ans, direction la fac de médecine. Pas le choix, maman faisait tout pour la pousser dans cette voie. Mais ce n’était tellement pas ce qu’elle désirait. Alors à plusieurs reprises, elle sécha les cours. Préférant chercher un coin de verdure afin d’observer les plantes ou encore se terrer dans une bibliothèque pour lire encore et encore. Tout ce qu’elle désirait c’était comprendre et découvrir un peu plus cette nature qui n’existait quasiment plus.
Les disputes recommencèrent plus violentes et menaçantes. Excédée, sa mère lui posa un ultimatum et elles réussirent à atteindre une sorte d’accord : Zira allait pouvoir faire les études de son choix. Par contre elle n’avait absolument pas le droit à l’erreur sinon elle devrait quitter la maison et se débrouiller seule. Enfin, elle avait réellement l’opportunité de faire ce qu’elle voulait vraiment. Elle se lança donc dans des études autour des plantes à ses 19 ans. Elle quémanda même des cours de dessins pour pouvoir illustrer ses cours. Bref, elle vivait par et pour cette passion qu’elle avait découvert dans des livres d’images bien plus jeune. Et ça roulait plutôt bien, elle aimait ça et étudiait encore et encore.
Les années passèrent, Zira se concentra majoritairement sur ses études, le reste était mis de côté. La seule personne qu’elle voyait quand même régulièrement était Léo avec qui elle étudiait parfois. Elle aimait leur moment à deux, même si elles étudiaient deux choses différentes. L’amour tout ça ? Bof, sans grand intérêt. Elle se fit bien des amis lors de ses études, et sans doute qu’elle eut un coup de cœur pour une ou deux personnes. Mais ça s’arrêta là. Cinq années plus tard, elle fut diplômée. Pas moyen de s’arrêter là, ceci dit, avec l’accord de sa mère, elle démarra dans la foulée un doctorat. Maman était ravie après tout, Zira faisait enfin quelque chose de sa vie, pas utile certes mais quand même. Au moins Léo sauvait les meubles de son côté, futur médecin de génie. Au moins ça laissait la possibilité à Zira de faire ce qu’elle désirait vraiment.
C’est durant l’année de ses 24 ans qu’elle la rencontra. Elie, doctorante et botaniste. Ce fut immédiatement le coup de foudre. Elle était intelligente, pédagogue, avait un savoir incroyable. Zira buvait littéralement ses paroles. En quelques mois à peine, elle alla vivre chez elle. Elles se mirent même à travailler ensemble. C’était parfait. Elle aimait et bossait avec quelqu’un qui partageait la même passion qu’elle. Que demander de plus ? Ca aurait pu être merveilleux si une fois à la maison elle n’avait pas subi de la violence physique et verbale de la part de sa compagne. En même pas un an, Elie s’était métamorphosé. Zira encaissa, par amour, par désespoir aussi peut-être. Que faire d’autre de toute façon ? Plusieurs années passèrent ainsi ou la jeune femme lentement mais surement se laissa couler. Plus aussi vive ou joyeuse qu’avant, beaucoup moins épanouie, pas du tout heureuse… Elle s’isola et Elie y veilla. Même Léo ne savait pas. Elles s’étaient lentement mais sûrement éloignées…
Le coup de trop fut donné le jour même de ses 26 ans. Le coup qui lui donna envie de plier bagage pour ne jamais plus revenir. Quitte à supplier son horrible mère pour retourner chez elle. Zira, la lèvre tuméfiée, de nombreux bleus sur le corps et maintenant une entaille profonde sur l’avant bras, rassembla quelques affaires pour fuir. C’est là qu’elle tomba dessus. Une clé ? Elle était belle. Et sincèrement, à aucun moment elle ne se rappela ce que cela pouvait être. Elle avait juste tenté de sortir ses affaires d’un tiroir et était tombée dessus. Comment le sang était arrivé dessus ? Sans doute qu’elle avait voulu faire pression sur sa plaie ? A vrai dire, elle ne garda pas beaucoup de souvenirs de ce jour-là. C’était la panique, elle voulait fuir, partir, survivre. Cette clé fut sa porte de salut.
Malheureusement ce ne fut pas la joie qui l’étreignit quand la patrouille de la Corporation arriva jusqu’à elle. Elle tenta même de fuir, incapable de réfléchir ou de se souvenir de qui ils pouvaient être. Et même quand elle fut soignée et installée dans cette pièce stérile… Là encore elle paniquait, totalement effrayée. Ce fut différent quand les explications et informations lui furent données. Face à elle un dilemme, et en même temps une solution. Une possibilité de renouveau, un espoir qu’elle pouvait enfin toucher du bout des doigts. Ce ne fut quand même pas la grande joie, ça impliquait tellement de choses. Encore figée dans cette peur qui lui tenait les entrailles, elle quitta la Terre avec bien trop de regrets et beaucoup trop d’espoir…
Là encore, de son arrivée elle ne garda pas grand chose comme souvenir si ce n’est l’émerveillement qui la gagna aussitôt qu’elle vit la nature préservée des lieux. Elle mit du temps à se faire à toutes ces nouvelles choses, nouveaux êtres. Quand on lui parla de ce qu’elle était devenue… Elle eut un rire. Une spectre. Quelle bonne blague. Elle avait quitté la terre pour ne pas mourir mais ça avait échoué. Ça lui allait. C’était amusant. Et cela lui permettait aussi d’accéder à la meilleure des capacités, disparaître quand elle n’en pouvait plus. Parce qu'Elie, malgré son éloignement, la hantait toujours. Elle semblait être venue avec elle au moins psychiquement. Cherchant à passer à autre chose, elle raccourcit son prénom. Au revoir Alzira Ramos, bonjour Zira.
La botanique étant toujours une passion farouche, elle intégra la guilde d’Ozénys en tant qu’apprenti pendant une année entière. Dévorant tous les ouvrages qu’elle trouvait, allant faire des croquis des plantes, des arbres, des fruits… Lentement mais sûrement, elle se reconstruisit. Des séquelles demeurent malgré tout, tout comme d’anciennes marques devenues cicatrices. A force de travailler dur, elle eut le plaisir d’obtenir le titre de botaniste. En parallèle, elle découvre toujours l’herboristerie, nouvelle passion sans doute ?
- Palier de pouvoir:
- Palier 1
- Chronologie générale:
An 4161 : Naissance d'Alzira et Léonor au Portugal.
An 4171 : Blessure ouverte au poignet droit lors d'un entrainement de gymnastique.
An 4172 : Mort de son père.
An 4178 : Démarrage de la grande sélection, Zira a tout juste 17 ans.
An 4179 : Première année en fac de médecine
An 4180 : Début de ses études en Botanique.
An 4185 : Rencontre d'Elie, sa compagne.
An 4187 - An 116 : Arrivée sur Ozéna le jour de ses 26 ans.
An 4189 - An 118 : Obtient le titre de Botaniste. Etudie toujours l'herboristerie.
- Inventaire:
- - Une petite dague qu'elle conserve dans un étui accroché au niveau de sa cuisse droite.
- Des bijoux, surtout collier et boucles d'oreille. Souvent dans des tons sombres
Physique
1m76 - Entre 55 et 60kg - Yeux verts - Cheveux verts
Zira est une jeune femme plutôt gracile. Taille fine, assez grande. La peau pâle. Des cheveux devenus vert après son passage, qui s'illuminent la nuit. La couleur de ses yeux a toujours été verte mais clairement ils sont sans doute un peu plus vif qu'avant.
Au premier abord, elle semble être plutôt hautaine et imbue d'elle. Jamais l'adage "les apparences sont trompeuses" n'aura été aussi vrai que là. Elle aime s'habiller en noir, parce que maintenant que ses cheveux sont verts, elle ne peut pas trop mettre ce qu'elle souhaite... Mais qu'importe ! C'est une petite excentricité qui l'amuse bien la nuit. Le meilleur costume d'Halloween de sa vie.
Elle possède une grande balafre sur son avant bras gauche, souvenir d'Elie. Ainsi que quelques cicatrices plutôt fines sur son poignet droit, souvenir de sa chute à la gymnastique.
Zira est une jeune femme plutôt gracile. Taille fine, assez grande. La peau pâle. Des cheveux devenus vert après son passage, qui s'illuminent la nuit. La couleur de ses yeux a toujours été verte mais clairement ils sont sans doute un peu plus vif qu'avant.
Au premier abord, elle semble être plutôt hautaine et imbue d'elle. Jamais l'adage "les apparences sont trompeuses" n'aura été aussi vrai que là. Elle aime s'habiller en noir, parce que maintenant que ses cheveux sont verts, elle ne peut pas trop mettre ce qu'elle souhaite... Mais qu'importe ! C'est une petite excentricité qui l'amuse bien la nuit. Le meilleur costume d'Halloween de sa vie.
Elle possède une grande balafre sur son avant bras gauche, souvenir d'Elie. Ainsi que quelques cicatrices plutôt fines sur son poignet droit, souvenir de sa chute à la gymnastique.
Caractère
Déterminée - Indépendante - Vulnérable - Hésitante - Sarcastique - Courageuse - Drôle - Réfléchie - Rebelle - Intrépide - Empathique - Méfiante - Curieuse - Altruiste - Instinctive - Jalouse - Extravertie
Alzira, ou plutôt Zira, est une jeune femme pleine de vie. Ou plutôt, elle est une spectre pleine de vie. Assez drôle dis comme ça. Pétillante, toujours dans les plans pour s'amuser. Mais elle sait garder les pieds sur terre et connait ses forces comme ses faiblesses. Elle ne se lancera jamais dans une aventure au risque de ne pas en revenir. Elle a toujours besoin de peser le pour et le contre avant de se lancer. Ceci dit une fois qu'elle a pris le temps d'y réfléchir, elle se lance sans hésiter. C'est une jeune femme qui aime faire plaisir aux autres. Elle aime pouvoir faire des folies et joue souvent avec son pouvoir depuis qu'elle est arrivé dans ce nouveau monde.
Sa première et seule relation amoureuse s'est soldée par un cuisant échec avec une multitude de répercutions sur sa vie de tous les jours, encore maintenant. Elle est donc bien plus méfiante qu'avant. Elle tente aussi de camoufler tout ça par des rires et des sourires. Mais quand cela ne va pas, elle s'enferme dans un mutisme sans fond et se rend invisible pour avoir la paix. Il faudra donc du temps et de la patience aux personnes souhaitant l'approcher...
Oh et elle ne s'estime pas vraiment lesbienne, peu importe le sexe de la personne dont elle tombe amoureuse. Mais soyons clair, ce n'est pas du tout à l'ordre du jour pour le moment... Cela l'effraie bien trop.
Alzira, ou plutôt Zira, est une jeune femme pleine de vie. Ou plutôt, elle est une spectre pleine de vie. Assez drôle dis comme ça. Pétillante, toujours dans les plans pour s'amuser. Mais elle sait garder les pieds sur terre et connait ses forces comme ses faiblesses. Elle ne se lancera jamais dans une aventure au risque de ne pas en revenir. Elle a toujours besoin de peser le pour et le contre avant de se lancer. Ceci dit une fois qu'elle a pris le temps d'y réfléchir, elle se lance sans hésiter. C'est une jeune femme qui aime faire plaisir aux autres. Elle aime pouvoir faire des folies et joue souvent avec son pouvoir depuis qu'elle est arrivé dans ce nouveau monde.
Sa première et seule relation amoureuse s'est soldée par un cuisant échec avec une multitude de répercutions sur sa vie de tous les jours, encore maintenant. Elle est donc bien plus méfiante qu'avant. Elle tente aussi de camoufler tout ça par des rires et des sourires. Mais quand cela ne va pas, elle s'enferme dans un mutisme sans fond et se rend invisible pour avoir la paix. Il faudra donc du temps et de la patience aux personnes souhaitant l'approcher...
Oh et elle ne s'estime pas vraiment lesbienne, peu importe le sexe de la personne dont elle tombe amoureuse. Mais soyons clair, ce n'est pas du tout à l'ordre du jour pour le moment... Cela l'effraie bien trop.
À propos de toi
Je suis là grâce à Donatella~ que je suis comme son ombre !
Informations
Nom & Prénom
Zira (anciennement Alzira Ramos)Âge
[age="4161"]Race
SpectreMaison
Maison de la Flamme et de l'OmbreMétier
Botaniste (herboriste à mes heures)Feat
Isolde Mooncrest par EridilViktor Phaos
Directeur du Refuge d'Antan
Bienvenuuuuuuuue !
J'ai hâte de voir ce que ta fiche va donner ! ( ET MERCI DONA POUR LE SPOIL DE LA RACE )
J'ai hâte de voir ce que ta fiche va donner ! ( ET MERCI DONA POUR LE SPOIL DE LA RACE )
Zira
Maison de la Flamme et de l'Ombre
@Frédéric LaFleur Avec grand plaisiiiiir !! =3 Faudra que l'on s'organise ça
@Viktor Phaos Héhéhé j'espère que ça plaira ! Je l'aime bien ma petite Zira
Merci pour l'accueil !! C'est trop biiiiien
@Viktor Phaos Héhéhé j'espère que ça plaira ! Je l'aime bien ma petite Zira
Merci pour l'accueil !! C'est trop biiiiien
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Ma foi cela fait toujours très plaisir de voir des membres d'Ozénys arriver, alors une botaniste en plus ! J'espère que Zira profitera de cette nouvelle vie pour guérir des traumatismes de l'ancienne, ta fiche a été un plaisir de lecture !
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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