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Astrid Dahl [terminé]
Astrid Dahl
Maison des Maintes Eaux
Histoire
Elle est née un matin de printemps, Astrid, à Bergen, en Norvège. A peine sortie, elle a poussé un cri strident pour montrer que déjà, elle comprenait que cette Terre paraissait pourrie et qu’y vivre ne serait pas une balade de santé. Même si dans son malheur, finalement, Astrid a eu une certaine chance. Car ses parents étaient fortunés. Contrairement à tous ces gens qu’elle croisait parfois au détour d’une sortie, elle avait ce dont elle avait besoin. Un lit, à manger, de l’air, un lien social, et à cette époque, c’était plus ou moins tout ce qui comptait. Malheureusement. Car Astrid se retrouvait la plupart du temps seule, ou avec une nourrice. Elle dut s’inventer son monde, se débrouiller seule et elle apprit bien vite que ses parents ne seraient présents que quand ça les arrangerait.
Dès petite, elle montra un intérêt certain pour la nature, les animaux. Voir que l’humain avait réussi à prendre autant le pas sur l’évolution du naturel la détruisait toujours plus chaque jour. Et encore, en Norvège, la décadence humaine n’avait pas eu le même impact que dans d’autres pays plus peuplés. Mais ça ne changeait pas grand-chose à ses yeux, c’était trop. Elle projetait d’en faire son métier plus tard, soit dans la recherche, soit dans les soins, mais pour ce cher papa Dahl, l’intérêt de sa fille pour un domaine précis ne semblait avoir que très peu d’importance. La réussite, la carrière et l’influence étaient bien tout ce qui comptait à ses yeux. Il lui disait « Tu n’iras pas faire mumuse dans la nature, Astrid, dans ce monde-là ça ne sert à rien. », alors elle hochait de la tête, la petite. Elle savait que contredire son père ne la mènerait nulle part.
Elle grandit, chercha sa place parmi ce qu’on voulait bien lui accorder, sans vraiment trouver son bonheur. Astrid, elle voulait rêver, découvrir, et rien de tout cela ne lui était permis. Elle se fit difficilement quelques amis mais passa avec brio chacune de ses années scolaires. Car elle était intelligente, la norvégienne. Elle comprenait vite, apprenait avec facilité. Quand ce fut le moment de se choisir une voie, elle n’eut d’autre choix que de suivre celle façonnée par son père et de prendre le chemin des études en droit, à contrecœur. Son père la voyait avocate mais Astrid ne se voyait pas défendre toute sa vie des pourritures telles que son père. Toutefois, pour le moment, elle ne voyait pas d’alternative à ce foutu fil rouge imposé.
Elle serra les dents durant deux longues années, enchaînant les cours tous plus barbants les uns que les autres, apprenant à manier les mots et défendre ses idées. Mais alors que tout autour d’elle semblait crier que c’en était trop, qu’elle voyait l’Homme prendre toujours plus le pas sur la nature, elle décida qu’il était temps d’en finir. Elle affronta son père et assuma sa colère, tenta de lui expliquer de la meilleure des manières tout en comprenant bien vite que ça ne servait à rien.
Elle vécut avec le désarroi de son père quelques mois, le temps de trouver ce qui la faisait réellement vibrer. Elle eut d’ailleurs quelques aventures par-ci, par-là, flirta avec la vie comme si elle la découvrait pour la première fois telle qu’elle aurait dû la connaître. Elle se décida pour la filière vétérinaire et entreprit des études qu’elle réussit avec brio. Enfin, tout semblait s’aligner. Elle trouva un travail dans la foulée dans un grand cabinet vétérinaire et démarra enfin une vie qui lui plaisait.
Elle prit d’ailleurs son indépendance, se libéra des chaînes de son père avec un léger pincement au cœur pour sa mère qui se retrouvait seule avec lui. Elle entendit des histoires à droite à gauche à leur sujet, se résigna à ne pas s’en mêler.
Puis vint le jour où son père trouva une clé. Enfin, il faisait partie de ceux qui avaient envoyé du personnel pour en trouver à sa place. C’est que l’argent achetait tout dans ce bas monde. Astrid découvrit alors encore un autre visage de son paternel. Il se ventait d’avoir trouvé cette clé, se délectait de pouvoir la vendre à un infortuné. Car évidemment, il ne l’avait pas cherchée pour lui, il se fichait pas mal de ce qu’il se passait de l’autre côté du portail, il cherchait le profit, encore et toujours, au détriment des autres. Ce monde-là lui plaisait, à lui. Pourri, déchu, prospère, malsain, c’était la décadence qui le faisait vivre.
Mais Astrid méritait bien mieux que tout ça, bien mieux que ce que son père avait bien voulu lui offrir. Elle étouffait toujours plus sur cette Terre qui elle-même peinait à survivre.
C’est sa mère qui finit par lui apporter une porte de sortie. Astrid la trouva devant sa porte un beau matin, un objet à la main, caché dans un tissu. A la grande surprise de sa fille, elle avait osé prendre le dessus sur son père. En cachette, elle avait réussi à voler la clé. Grand boum dans le cœur de la norvégienne. « Tu la mérites cette clé, ma fille… Ton père n’en fera que du profit, toi tu peux changer le monde, ou au moins l’améliorer. » Nouveau grand boum. Ces clés, elle n’y avait pour ainsi dire jamais réfléchi. A ce qu’il y avait de l’autre côté de ce portail, à la raison de sa création et tout à coup, un monde s’offrait à elle avec une infinité de nouvelles possibilités. « Et toi alors ? » qu’elle répondait à sa mère. « L’important c’est toi, Astrid… J’essaie de sauver ce qu’il reste de bon en ce monde et de racheter nos erreurs du passé… » Elle était touchée, la norvégienne, mais également surprise par le discours de sa mère, elle qui n’avait que vécu dans l’ombre de son père. Elle ne l’avait jamais imaginée dans une position pareille, et pourtant. « Faudra pas traîner Astrid. Une fois que ton père aura compris ce que j’ai fait… tu le connais… »
Elle a longuement hésité Astrid, la clé dans la main. Elle ne savait pas ce qui l’attendait de l’autre côté, s’il y avait un avenir, une vie. Elle avait évidemment entendu aux nouvelles tout ce qui voulait bien ressortir de cette aventure, mais, qu’en savait-elle, la norvégienne ? Disaient-ils la vérité ? Et si ce n’était qu’un subterfuge de plus pour complaire aux grands dirigeants de ce monde ?
Elle finit par le faire. Elle activa cette clé et tout se passa assez rapidement. On vint la chercher, elle eut droit à quelques explications puis on la fit passer le portail.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, après ce qui lui avait semblé une vie entière, il lui fallut de longues minutes avant de s’habituer à cette nouvelle lumière qui s’offrait à elle. Elle avait l’impression que tout lui venait plus fortement ; les sons, l’air sur sa peau, qu’elle découvrit d’ailleurs nue, les couleurs, tout était différent. Elle entendit des voix autour d’elle puis quelqu’un vint à sa rencontre, lui tendit de quoi se vêtir et l’aider à se déplacer. C’est à ce moment qu’Astrid comprit également que quelque chose avait changé physiquement en elle. A peine avait-elle attrapé la main de cet inconnu qu’elle entendit des pensées et elle eut un mouvement de recul et lâcha cette main. L’inconnu la rassura, lui expliqua en quelques mots ce qui se passait, lui parla de cette nouvelle race dont elle faisait à présent partie et Astrid eut un peu de mal à encaisser. Trop d’informations. Marcher était devenu compliqué, son corps ne semblant plus répondre de la même manière que sur Terre. En se passant la main sur l’épaule pour remettre en place le tissu confié, elle remarque cette nouvelle peau qui avait remplacé la sensation douce d’autrefois. Des écailles. Elle se sentit alors submergée face à tous ces changements et ces incompréhensions mais les inconnus autour d’elle lui apportèrent d’autres informations supplémentaires, sur un ton rassurant. Et elle commençait à comprendre, la norvégienne. Elle essayait du moins. Elle comprit vite qu’il lui faudrait du temps, c’était certain, mais elle comprenait qu’elle semblait être en sécurité. On lui présenta ensuite sa nouvelle maison, ce qui serait normalement sa nouvelle famille et on lui désigna une personne qui serait son mentor pendant un temps. Elle remarqua que tout semblait organisé et ça lui permit de se rassurer un peu plus.
Il lui fallut plusieurs mois pour s’approprier ce nouveau corps et ces nouvelles capacités, se faire à cette nouvelle vie mais également faire le deuil de son ancienne. Car si elle préférait largement ce nouveau monde, l’ancien avait quand même bercé sa vie jusqu’à maintenant et elle ne reverrait probablement plus ses proches. Elle pensait parfois à sa mère, se demandait ce qui lui était arrivé une fois que son père avait découvert ce qu’elle avait fait, mais la découverte d’Azamyr prenait généralement le dessus tant tout semblait intéressant et épanouissant.
On lui annonça qu’elle était prête à passer à l’étape suivante : se trouver un métier. Elle avait entendu parler de la guilde d’Ozénys et de leurs recherches et c’était vite dit qu’elle pourrait y trouver sa place. Après tout, ils faisaient là-bas ce qu’elle avait cherché toute sa vie à faire sur Terre. C’était pourtant clair… Elle postula pour y rentrer en tant qu’apprentie dans la partie zoologie, ne se sentant pas légitime à devenir directement zoologue, comme ce monde était totalement nouveau et différent de la Terre, que les animaux d’ici n’avaient rien à voir avec ceux de là-bas.
Et c’est ainsi qu’aujourd’hui, Astrid apprend encore à maîtriser son corps et ce nouvel environnement, tout en apprenant un nouveau métier et en faisant de nouvelles connaissances.
Dès petite, elle montra un intérêt certain pour la nature, les animaux. Voir que l’humain avait réussi à prendre autant le pas sur l’évolution du naturel la détruisait toujours plus chaque jour. Et encore, en Norvège, la décadence humaine n’avait pas eu le même impact que dans d’autres pays plus peuplés. Mais ça ne changeait pas grand-chose à ses yeux, c’était trop. Elle projetait d’en faire son métier plus tard, soit dans la recherche, soit dans les soins, mais pour ce cher papa Dahl, l’intérêt de sa fille pour un domaine précis ne semblait avoir que très peu d’importance. La réussite, la carrière et l’influence étaient bien tout ce qui comptait à ses yeux. Il lui disait « Tu n’iras pas faire mumuse dans la nature, Astrid, dans ce monde-là ça ne sert à rien. », alors elle hochait de la tête, la petite. Elle savait que contredire son père ne la mènerait nulle part.
Elle grandit, chercha sa place parmi ce qu’on voulait bien lui accorder, sans vraiment trouver son bonheur. Astrid, elle voulait rêver, découvrir, et rien de tout cela ne lui était permis. Elle se fit difficilement quelques amis mais passa avec brio chacune de ses années scolaires. Car elle était intelligente, la norvégienne. Elle comprenait vite, apprenait avec facilité. Quand ce fut le moment de se choisir une voie, elle n’eut d’autre choix que de suivre celle façonnée par son père et de prendre le chemin des études en droit, à contrecœur. Son père la voyait avocate mais Astrid ne se voyait pas défendre toute sa vie des pourritures telles que son père. Toutefois, pour le moment, elle ne voyait pas d’alternative à ce foutu fil rouge imposé.
Elle serra les dents durant deux longues années, enchaînant les cours tous plus barbants les uns que les autres, apprenant à manier les mots et défendre ses idées. Mais alors que tout autour d’elle semblait crier que c’en était trop, qu’elle voyait l’Homme prendre toujours plus le pas sur la nature, elle décida qu’il était temps d’en finir. Elle affronta son père et assuma sa colère, tenta de lui expliquer de la meilleure des manières tout en comprenant bien vite que ça ne servait à rien.
Elle vécut avec le désarroi de son père quelques mois, le temps de trouver ce qui la faisait réellement vibrer. Elle eut d’ailleurs quelques aventures par-ci, par-là, flirta avec la vie comme si elle la découvrait pour la première fois telle qu’elle aurait dû la connaître. Elle se décida pour la filière vétérinaire et entreprit des études qu’elle réussit avec brio. Enfin, tout semblait s’aligner. Elle trouva un travail dans la foulée dans un grand cabinet vétérinaire et démarra enfin une vie qui lui plaisait.
Elle prit d’ailleurs son indépendance, se libéra des chaînes de son père avec un léger pincement au cœur pour sa mère qui se retrouvait seule avec lui. Elle entendit des histoires à droite à gauche à leur sujet, se résigna à ne pas s’en mêler.
Puis vint le jour où son père trouva une clé. Enfin, il faisait partie de ceux qui avaient envoyé du personnel pour en trouver à sa place. C’est que l’argent achetait tout dans ce bas monde. Astrid découvrit alors encore un autre visage de son paternel. Il se ventait d’avoir trouvé cette clé, se délectait de pouvoir la vendre à un infortuné. Car évidemment, il ne l’avait pas cherchée pour lui, il se fichait pas mal de ce qu’il se passait de l’autre côté du portail, il cherchait le profit, encore et toujours, au détriment des autres. Ce monde-là lui plaisait, à lui. Pourri, déchu, prospère, malsain, c’était la décadence qui le faisait vivre.
Mais Astrid méritait bien mieux que tout ça, bien mieux que ce que son père avait bien voulu lui offrir. Elle étouffait toujours plus sur cette Terre qui elle-même peinait à survivre.
C’est sa mère qui finit par lui apporter une porte de sortie. Astrid la trouva devant sa porte un beau matin, un objet à la main, caché dans un tissu. A la grande surprise de sa fille, elle avait osé prendre le dessus sur son père. En cachette, elle avait réussi à voler la clé. Grand boum dans le cœur de la norvégienne. « Tu la mérites cette clé, ma fille… Ton père n’en fera que du profit, toi tu peux changer le monde, ou au moins l’améliorer. » Nouveau grand boum. Ces clés, elle n’y avait pour ainsi dire jamais réfléchi. A ce qu’il y avait de l’autre côté de ce portail, à la raison de sa création et tout à coup, un monde s’offrait à elle avec une infinité de nouvelles possibilités.
Elle a longuement hésité Astrid, la clé dans la main. Elle ne savait pas ce qui l’attendait de l’autre côté, s’il y avait un avenir, une vie. Elle avait évidemment entendu aux nouvelles tout ce qui voulait bien ressortir de cette aventure, mais, qu’en savait-elle, la norvégienne ? Disaient-ils la vérité ? Et si ce n’était qu’un subterfuge de plus pour complaire aux grands dirigeants de ce monde ?
Elle finit par le faire. Elle activa cette clé et tout se passa assez rapidement. On vint la chercher, elle eut droit à quelques explications puis on la fit passer le portail.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, après ce qui lui avait semblé une vie entière, il lui fallut de longues minutes avant de s’habituer à cette nouvelle lumière qui s’offrait à elle. Elle avait l’impression que tout lui venait plus fortement ; les sons, l’air sur sa peau, qu’elle découvrit d’ailleurs nue, les couleurs, tout était différent. Elle entendit des voix autour d’elle puis quelqu’un vint à sa rencontre, lui tendit de quoi se vêtir et l’aider à se déplacer. C’est à ce moment qu’Astrid comprit également que quelque chose avait changé physiquement en elle. A peine avait-elle attrapé la main de cet inconnu qu’elle entendit des pensées et elle eut un mouvement de recul et lâcha cette main. L’inconnu la rassura, lui expliqua en quelques mots ce qui se passait, lui parla de cette nouvelle race dont elle faisait à présent partie et Astrid eut un peu de mal à encaisser. Trop d’informations. Marcher était devenu compliqué, son corps ne semblant plus répondre de la même manière que sur Terre. En se passant la main sur l’épaule pour remettre en place le tissu confié, elle remarque cette nouvelle peau qui avait remplacé la sensation douce d’autrefois. Des écailles. Elle se sentit alors submergée face à tous ces changements et ces incompréhensions mais les inconnus autour d’elle lui apportèrent d’autres informations supplémentaires, sur un ton rassurant. Et elle commençait à comprendre, la norvégienne. Elle essayait du moins. Elle comprit vite qu’il lui faudrait du temps, c’était certain, mais elle comprenait qu’elle semblait être en sécurité. On lui présenta ensuite sa nouvelle maison, ce qui serait normalement sa nouvelle famille et on lui désigna une personne qui serait son mentor pendant un temps. Elle remarqua que tout semblait organisé et ça lui permit de se rassurer un peu plus.
Il lui fallut plusieurs mois pour s’approprier ce nouveau corps et ces nouvelles capacités, se faire à cette nouvelle vie mais également faire le deuil de son ancienne. Car si elle préférait largement ce nouveau monde, l’ancien avait quand même bercé sa vie jusqu’à maintenant et elle ne reverrait probablement plus ses proches. Elle pensait parfois à sa mère, se demandait ce qui lui était arrivé une fois que son père avait découvert ce qu’elle avait fait, mais la découverte d’Azamyr prenait généralement le dessus tant tout semblait intéressant et épanouissant.
On lui annonça qu’elle était prête à passer à l’étape suivante : se trouver un métier. Elle avait entendu parler de la guilde d’Ozénys et de leurs recherches et c’était vite dit qu’elle pourrait y trouver sa place. Après tout, ils faisaient là-bas ce qu’elle avait cherché toute sa vie à faire sur Terre. C’était pourtant clair… Elle postula pour y rentrer en tant qu’apprentie dans la partie zoologie, ne se sentant pas légitime à devenir directement zoologue, comme ce monde était totalement nouveau et différent de la Terre, que les animaux d’ici n’avaient rien à voir avec ceux de là-bas.
Et c’est ainsi qu’aujourd’hui, Astrid apprend encore à maîtriser son corps et ce nouvel environnement, tout en apprenant un nouveau métier et en faisant de nouvelles connaissances.
- Palier de pouvoir:
- Palier I : Ils sont dotés d’une force et d’une vitesse considérables. Ils peuvent lire dans les pensées de ceux avec qui ils ont un contact direct de peau à peau. Ils ne peuvent pas percevoir les pensées d’autrui à distance. Ils possèdent également une grande agilité, leur permettant de se déplacer rapidement et avec grâce.
- Chronologie générale:
- 18 avril 4160 – Naissance à Bergen, Norvège
4178 à 4180 – Etudes en droit selon le désir de son père
4181 - 4188 – Etudes de vétérinaire et obtention de son diplôme
1er juillet 4189 – Découverte d’une clé par son père
6 juillet 4189 – Vol de la clé par sa mère pour la lui donner
7 juillet 118 – Arrivée à Azamyr
Juillet 118 à novembre 118 – Phase d’adaptation
6 novembre 118 – Début de son apprentissage dans la guilde Ozénys
Saison froide 118 – Temps présent
- Inventaire:
- Astrid n’étant pas arrivée depuis longtemps, elle ne possède pas grand-chose sur elle.
- Dague usée sur le tranchant
- Brosse à cheveux
- Bandage
- Boussole
- Carte de la ville et les alentours recensées
Physique
Lorsqu’on aperçoit Astrid de loin, la première chose qui nous saute aux yeux est sa longue tignasse blanche et son corps élancé. Les cheveux blancs retombant jusqu’en bas de son dos, Astrid se cache volontiers derrière sa tignasse. Souvent en bataille, parfois elle lui sert de parade, parfois de séduction. Il est plutôt rare de la voir les attacher en-dehors de son travail ou alors simplement en une queue de cheval maladroitement effectuée. Mesurant 1m70, elle fait aujourd’hui partie des grandes femmes d’Azamyr, ce qui n’était pas le cas en Norvège. Sa démarche franche nous fait penser à une femme sûre d’elle, faisant pourtant contraste avec son caractère réservé.
En s’approchant, on peut alors apercevoir ses yeux bleus, son visage légèrement arrondi et ses lèvres pulpeuses. C’est en descendant le regard le long de son cou que l’on remarquera alors ce qui la différence le plus d’un humain lambda. C’est là qu’on verra ces écailles colorées qui, si nous étions encore sur Terre, nous feraient penser à un caméléon. Celles-ci s’étendent sur tout le côté gauche, du haut de son cou au bout de son pied, de manière plus ou moins parsemée à certains endroits. Selon son humeur, elles peuvent également arborer différentes couleurs ; plus vives pour des émotions positives, plus ternes pour des émotions négatives.
Maladroite, encore plus depuis qu’elle doit maîtriser un nouveau corps, son côté droit arbore plusieurs cicatrices plus ou moins profondes qu’elle s’empresse parfois de cacher derrière du tissu.
Niveau style vestimentaire d’ailleurs, Astrid aime bien prendre soin d’elle. Féminine, elle appréciait autrefois montrer ses formes mais aujourd’hui, elle se cache plus facilement, encore peu à l’aise avec son nouveau corps.
En s’approchant, on peut alors apercevoir ses yeux bleus, son visage légèrement arrondi et ses lèvres pulpeuses. C’est en descendant le regard le long de son cou que l’on remarquera alors ce qui la différence le plus d’un humain lambda. C’est là qu’on verra ces écailles colorées qui, si nous étions encore sur Terre, nous feraient penser à un caméléon. Celles-ci s’étendent sur tout le côté gauche, du haut de son cou au bout de son pied, de manière plus ou moins parsemée à certains endroits. Selon son humeur, elles peuvent également arborer différentes couleurs ; plus vives pour des émotions positives, plus ternes pour des émotions négatives.
Maladroite, encore plus depuis qu’elle doit maîtriser un nouveau corps, son côté droit arbore plusieurs cicatrices plus ou moins profondes qu’elle s’empresse parfois de cacher derrière du tissu.
Niveau style vestimentaire d’ailleurs, Astrid aime bien prendre soin d’elle. Féminine, elle appréciait autrefois montrer ses formes mais aujourd’hui, elle se cache plus facilement, encore peu à l’aise avec son nouveau corps.
Caractère
T’as toujours été quelqu’un d’à part, Astrid. A voir le positif dans un monde déchu autant que le négatif dans le rire d’un enfant. T’as jamais su trouver le juste milieu ni même ta place. A tâtonner pleine d’espoirs, à te retenir pour éviter les déboires. T’as toujours tout vécu à mille à l’heure tout en freinant des quatre fers.
T’es un monde de contradictions à l’image du chaos qui a rythmé ta vie.
Tu t’es battue toute ta vie pour arriver à l’apprécier, cette vie-là. T’es une battante, ça c’est sûr. Tu tombes mais tu te relèves chaque fois. Tu saignes mais tu te soignes. T’es courageuse même si par moment ça t’arrives de baisser les bras.
Sur Terre, on te disait souriante, rigolote, toujours le mot pour rire, malgré cette petite chose dans tes yeux qui hurlait la détresse. Parce que t’aimais pas montrer que ça n’allait pas, que tu t’estimais pas légitime à te plaindre alors que t’avais tout, contrairement aux miséreux que tu voyais autour de toi. T’avais tout, ça oui, et pourtant tu te sentais vide.
Mais en arrivant sur Azamyr, les compteurs ont été remis à zéro. T’as perdu tous tes repères, t’as eu droit à un nouveau départ.
T’as encore du mal aujourd’hui à te faire à ce nouveau corps, encore plus à ton pouvoir. Savoir ce que les gens pensent autour de toi, c’était pas vraiment ce dont t’avais besoin. Surtout pour tout ressentir en décuplé. T’as mal quasiment tous les jours et tu te demandes parfois si c’est une punition pour la vie que tu as eue sur Terre. Tu ris moins, tu souris moins, parfois t’exploses, parfois tu dis rien.
T’es perdue en fait, Astrid.
T’es un monde de contradictions à l’image du chaos qui a rythmé ta vie.
Tu t’es battue toute ta vie pour arriver à l’apprécier, cette vie-là. T’es une battante, ça c’est sûr. Tu tombes mais tu te relèves chaque fois. Tu saignes mais tu te soignes. T’es courageuse même si par moment ça t’arrives de baisser les bras.
Sur Terre, on te disait souriante, rigolote, toujours le mot pour rire, malgré cette petite chose dans tes yeux qui hurlait la détresse. Parce que t’aimais pas montrer que ça n’allait pas, que tu t’estimais pas légitime à te plaindre alors que t’avais tout, contrairement aux miséreux que tu voyais autour de toi. T’avais tout, ça oui, et pourtant tu te sentais vide.
Mais en arrivant sur Azamyr, les compteurs ont été remis à zéro. T’as perdu tous tes repères, t’as eu droit à un nouveau départ.
T’as encore du mal aujourd’hui à te faire à ce nouveau corps, encore plus à ton pouvoir. Savoir ce que les gens pensent autour de toi, c’était pas vraiment ce dont t’avais besoin. Surtout pour tout ressentir en décuplé. T’as mal quasiment tous les jours et tu te demandes parfois si c’est une punition pour la vie que tu as eue sur Terre. Tu ris moins, tu souris moins, parfois t’exploses, parfois tu dis rien.
T’es perdue en fait, Astrid.
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
Astrid DahlÂge
[age="4160"]Race
Sang-mêléeMaison
Maison des Maintes EauxMétier
Apprentie dans la guilde Ozénys, partie zoologieFeat
Aelin Galathynius – Throne of glassViktor Phaos
Directeur du Refuge d'Antan
Une apprentie zoologue à Ozénys
Nous sommes faits pour nous entendre ma chère future collègue !
J'ai hâte de pouvoir lire ta fiche.
Nous sommes faits pour nous entendre ma chère future collègue !
J'ai hâte de pouvoir lire ta fiche.
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Les animaux vont être bien chouchoutés avec Astrid, j'en suis persuadée. J'ai beaucoup aimé ma lecture, ta plume est fluide et agréable, je te souhaite officiellement la bienvenue parmi nous petite carotte !
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race, avant de pouvoir te lancer dans le monde. Il est également très important de remplir ton profil, ce qui te permettra de réclamer quelques azys dans le Comptoir, ça se prend toujours
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Pour faire une demande de RP ou de liens, n'hésite pas à te rendre juste ici ou sur le discord !
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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