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Anastasia Duchêne | Terminé
Anastasia Duchêne
Maison de la Terre et du Sang
Histoire
“Oh non non non, s’il te plaît rien de grave, pas encore, pas maintenant.” Je saute du lit, m’emmêle les pieds dans les draps et couverture, manque de tomber par terre, entraîne les coussins avec moi, me relève, contemple rapidement le désastre avant de me retourner vers l’escalier. Je rangerai tout ça après, pour l’heure il y a une urgence à traiter. Le bruit vient du grenier. Un sifflement aigu continu que je connais bien et une série de petites explosions, assez légères pour ne pas être inquiétantes mais trop nombreuses pour ne pas s’en soucier. Rapide passage par la cuisine, il me faut un tissu et de quoi récupérer le liquide qui pourrait couler… Vu le bruit que ça a fait, ce n’est pas une possibilité, il y a forcément une fuite. Tout en grimpant les marches je m’attache le tissu en cache-nez et regroupe mes cheveux en une queue de cheval improvisé, j’aimerais éviter qu’ils se baladent n’importe où et trempent là où ils ne doivent pas… Ce ne serait pas la première fois, probablement pas la dernière, mais ce n’est pas une raison pour réitérer cette erreur.
Si je me fie à la brume bleutée qui commence à suinter sous la porte, ça vient juste de se produire et ce n’est pas si grave. Mais j’ai bien fait de me préparer, je préfère éviter de respirer des vapeurs d’alcool au réveil. Surtout quand il est aussi précipité… Je voulais juste passer une nuit tranquille… Peut-être que si je le voulais vraiment je n’aurais pas lancé tout ça avant d’aller dormir… Ce n’est pas la question, je pousse la porte et avance vers la première des deux grandes cuves présentent au centre de la pièce. Une grosse cuve ronde avec un tuyaux qui laisse échapper la fameuse fumée et est raccordée à une deuxième cuve cylindrique un peu plus haute. Quelques gouttes bleutées tombent à intervalle régulier par terre. Preuve que je connais mon matériel, j’ai bien fait de monter un seau… Va dessous toi pendant que je m’occupe du reste. “Bon… C’est quoi ton problème ? Qu’est-ce qui ne te plaît pas aujourd’hui ? Je vais vraiment devoir t’éteindre et tout recommencer ? On ne peut pas trouver une autre solution ?” Rapide regard vers la jauge présente sur la première cuve. La petite aiguille de coam pointe dangereusement vers la zone rouge et indique un désastre imminent. Peut-être pas un désastre mais en tout cas rien de bon. “Bien… J’ai compris. Mais tu m'embêtes sache le.” Je pointe les deux cuves du doigt avec un air réprobateur. Comme si ça allait changer grand chose… En tout cas ça me soulage. Et ça m’amuse. Elles ne peuvent pas parler mais ce sont mes partenaires de travail, il est normal d’échanger avec elles… Je crois. En tout cas, il n'y a personne pour me voir et c’est de toute façon comme ça que je fais… Et même s’il y avait quelqu’un ça ne changerait rien, si je veux parler à mon alambic je le fais, c’est tout.
En attendant, direction le plan de travail. Il faudrait que je fasse un peu le tris dessus, il est plein de fioles et flacons, presque toutes sont pleines, ou au moins remplies en partie… Il doit bien en rester une ou deux de vide dans tout ça mais… Oui, il faut vraiment que je range tout ça… Plus tard, pour l’heure, il me faut juste le pot de fleur et les gants. On va éviter de se brûler en ouvrant la trappe, ça aussi ça m’est déjà arrivé et une fois était de trop. Le tablier… Il ne devrait pas y avoir de projections… En théorie… Disons qu’il n’y en aura pas. Je n’ai pas plus de temps à perdre de toute façon. Aller, on retourne devant le foyer, on évite la vague de chaleur en l’ouvrant et on éteint tout ça. Concentration sur le pot, je sens les racines s’étendre, les graines germer, les tiges pousser… Doucement je les dirige dans le foyer, les forces à pousser plus vite pour étouffer les flammes plus vite qu’elles ne sont attaquées. Voilà, il reste quelques braises mais le foyer est éteint. Cette méthode n’est pas la meilleure mais j’ai eu trop de soucis à tenter d’éteindre les cuves avec de l’eau dans le passé. Les plantes reprennent leur forme naturelle, presque naturelle, je viens quand même de les forcer à pousser en quelques secondes et bien évidemment elles portent des traces de brûlure mais elles sont globalement en bon état. Pour l’instant le pot va rester ici. Une fois tout remis en ordre je m’occuperai de les soigner puis comme d’habitude j’irais les planter dehors. Ma manière de remercier et rendre à la terre ce qui lui appartient.
La pression retombe… Et moi aussi. Je me suis débarrassé du foulard improvisé en rangeant les fleurs et la queue de cheval s’est naturellement défaite pendant que j’étais occupée à courir d’un coin à l’autre. Long soupir, j’appuie ma tête contre le mur, yeux clos, visage tourné vers le plafond. “Je me vante de toucher au but mais je continue de faire d’aussi grosses erreurs. Bien évidemment que je ne pouvais pas partir dormir en laissant tout ça tourner… J’éviterai de lui en parler quand j’irais lui demander de venir vérifier que rien n’est abîmé en plus de la fuite…” Coup d'œil vers les cuves et le flacon posé à côté de la seconde. “Et dans tout ça le pire est peut-être bien que c’est peut-être utilisable… Je goûterai tout à l’heure mais si je me fis à l’odeur ça pourrait bien être une réussite.”
Je souris de satisfaction. Une réussite. Ça faisait longtemps. D’un petit bond je me relève et glisse devant les deux cuves. Je meurs d’envie de les toucher mais vu la chaleur qui s’en dégage même avec les gants ce serait une très mauvaise idée. “Je t’entends te moquer d’ici. Et je le mérite un peu, j’aurais pu m’épargner beaucoup de choses avec un peu plus de rigueur… Mais il n’y aurait pas eu le plaisir de la découverte.” Mon sourire s'étend alors que mon regard se perd dans le vide. “Et malgré ça tu m’aurais encouragé à continuer, en citant tes proverbes tout fait… Lequel aurait été adapté ici ? Chaque échec est un pas vers la réussite ? Ce ne sont pas des échecs mais des expériences ? Quelque chose dans ce ton là très certainement.” Je quitte les cuves, rejoint l’atelier ou je dépose les gants et joue distraitement avec deux fioles. “Qu’est-ce que tu pouvais m’énerver avec ça. Tu le savais très bien. Tu en jouais. Et ça m’énervais encore plus. Mais aujourd’hui je donnerais beaucoup pour retrouver cette situation. Que tu sois là, à côté de mon atelier à me regarder avec ton air suffisant, ton petit sourire en coin à attendre que le soucis que tu as vu arriver, et moi non bien évidemment, arrive pour ensuite me faire la morale.” Pause, j’ai besoin de souffler, je déglutis péniblement… Une larme veut couler, je la sens… Et fait tout pour la retenir. Il ne faut pas. “Mais tu n’es pas là… Tu m’a laissée seule… Et je n’ai pas eu mon mot à dire… Parce que tu savais que je n’aurais pas été d’accord. Tu n’étais pas d’accord toi-même avec ta décision de toute façon…” Elle coule, glisse le long de ma joue, suit la courbe de ma mâchoire, perle un instant sur mon menton avant de s’en détacher et s’écraser par terre. S’en est trop. Mes jambes me lâchent, c’est un miracle que je parvienne à m’asseoir sur le tabouret et ne pas m’écrouler par terre.
Pendant un instant rien ne se passe, je reste immobile, toute ma concentration est utilisée pour ne pas craquer, ne pas laisser cette digue céder. Comme tous les jours je me bats pour ne pas céder. Moins aujourd’hui qu’à mon arrivée mais la blessure est toujours là. Elle risque de l’être encore longtemps. Les secondes s’écoulent lentement, ma respiration se calme, les larmes ont été retenues, dans l’ensemble. Nouveau soupir, je rouvre les yeux, teste un instant mes jambes avant de me relever. “Mais même si tu n’étais pas d’accord avec ton propre choix, tu as eu le courage d’aller jusqu’au bout. Il m’a fallu du temps pour l’accepter. Accepter que de nous deux c’est pour toi que c’est le plus dur. Alors je ne pleurerai plus. J’essaie en tout cas. Et je vais profiter de cette chance. En t’attendant. Parce que je sais que de ton côté tu ne lâches rien, que tu retournes le monde pour trouver une deuxième clef et me rejoindre.” Je m’essuie les yeux du revers de la main, fait courir mon regard sur l’atelier avant de me retourner, regardant le reste de la pièce. Mon laboratoire, ma salle d’expérience… Tout ce que j’ai pu bâtir depuis mon arrivée ici. “Ce n’est que le début. Huit ans que je suis ici, sept ans que j’ai commencé mes expériences et pourtant, je n’en suis qu’au début. Il reste tellement de choses à découvrir, de tests à faire… Et nous ne savons presque rien sur Ozéna. Peut-être que demain une exploration m'apportera de nouvelles choses avec lesquelles m’amuser. Peut-être que demain en discutant avec une alchimiste je reconsidérerais l’utilisation de certains produits… Tellement de possibilités…” Je souris. Un sourire de satisfaction, un sourire serein… Un sourire comblé. “Ce sacrifice a été dur. Ce sacrifice est dur. Mais merci. Je ne me suis jamais autant amusé qu’aujourd’hui. Et je m'amuse moins que demain.”
Si je me fie à la brume bleutée qui commence à suinter sous la porte, ça vient juste de se produire et ce n’est pas si grave. Mais j’ai bien fait de me préparer, je préfère éviter de respirer des vapeurs d’alcool au réveil. Surtout quand il est aussi précipité… Je voulais juste passer une nuit tranquille… Peut-être que si je le voulais vraiment je n’aurais pas lancé tout ça avant d’aller dormir… Ce n’est pas la question, je pousse la porte et avance vers la première des deux grandes cuves présentent au centre de la pièce. Une grosse cuve ronde avec un tuyaux qui laisse échapper la fameuse fumée et est raccordée à une deuxième cuve cylindrique un peu plus haute. Quelques gouttes bleutées tombent à intervalle régulier par terre. Preuve que je connais mon matériel, j’ai bien fait de monter un seau… Va dessous toi pendant que je m’occupe du reste. “Bon… C’est quoi ton problème ? Qu’est-ce qui ne te plaît pas aujourd’hui ? Je vais vraiment devoir t’éteindre et tout recommencer ? On ne peut pas trouver une autre solution ?” Rapide regard vers la jauge présente sur la première cuve. La petite aiguille de coam pointe dangereusement vers la zone rouge et indique un désastre imminent. Peut-être pas un désastre mais en tout cas rien de bon. “Bien… J’ai compris. Mais tu m'embêtes sache le.” Je pointe les deux cuves du doigt avec un air réprobateur. Comme si ça allait changer grand chose… En tout cas ça me soulage. Et ça m’amuse. Elles ne peuvent pas parler mais ce sont mes partenaires de travail, il est normal d’échanger avec elles… Je crois. En tout cas, il n'y a personne pour me voir et c’est de toute façon comme ça que je fais… Et même s’il y avait quelqu’un ça ne changerait rien, si je veux parler à mon alambic je le fais, c’est tout.
En attendant, direction le plan de travail. Il faudrait que je fasse un peu le tris dessus, il est plein de fioles et flacons, presque toutes sont pleines, ou au moins remplies en partie… Il doit bien en rester une ou deux de vide dans tout ça mais… Oui, il faut vraiment que je range tout ça… Plus tard, pour l’heure, il me faut juste le pot de fleur et les gants. On va éviter de se brûler en ouvrant la trappe, ça aussi ça m’est déjà arrivé et une fois était de trop. Le tablier… Il ne devrait pas y avoir de projections… En théorie… Disons qu’il n’y en aura pas. Je n’ai pas plus de temps à perdre de toute façon. Aller, on retourne devant le foyer, on évite la vague de chaleur en l’ouvrant et on éteint tout ça. Concentration sur le pot, je sens les racines s’étendre, les graines germer, les tiges pousser… Doucement je les dirige dans le foyer, les forces à pousser plus vite pour étouffer les flammes plus vite qu’elles ne sont attaquées. Voilà, il reste quelques braises mais le foyer est éteint. Cette méthode n’est pas la meilleure mais j’ai eu trop de soucis à tenter d’éteindre les cuves avec de l’eau dans le passé. Les plantes reprennent leur forme naturelle, presque naturelle, je viens quand même de les forcer à pousser en quelques secondes et bien évidemment elles portent des traces de brûlure mais elles sont globalement en bon état. Pour l’instant le pot va rester ici. Une fois tout remis en ordre je m’occuperai de les soigner puis comme d’habitude j’irais les planter dehors. Ma manière de remercier et rendre à la terre ce qui lui appartient.
La pression retombe… Et moi aussi. Je me suis débarrassé du foulard improvisé en rangeant les fleurs et la queue de cheval s’est naturellement défaite pendant que j’étais occupée à courir d’un coin à l’autre. Long soupir, j’appuie ma tête contre le mur, yeux clos, visage tourné vers le plafond. “Je me vante de toucher au but mais je continue de faire d’aussi grosses erreurs. Bien évidemment que je ne pouvais pas partir dormir en laissant tout ça tourner… J’éviterai de lui en parler quand j’irais lui demander de venir vérifier que rien n’est abîmé en plus de la fuite…” Coup d'œil vers les cuves et le flacon posé à côté de la seconde. “Et dans tout ça le pire est peut-être bien que c’est peut-être utilisable… Je goûterai tout à l’heure mais si je me fis à l’odeur ça pourrait bien être une réussite.”
Je souris de satisfaction. Une réussite. Ça faisait longtemps. D’un petit bond je me relève et glisse devant les deux cuves. Je meurs d’envie de les toucher mais vu la chaleur qui s’en dégage même avec les gants ce serait une très mauvaise idée. “Je t’entends te moquer d’ici. Et je le mérite un peu, j’aurais pu m’épargner beaucoup de choses avec un peu plus de rigueur… Mais il n’y aurait pas eu le plaisir de la découverte.” Mon sourire s'étend alors que mon regard se perd dans le vide. “Et malgré ça tu m’aurais encouragé à continuer, en citant tes proverbes tout fait… Lequel aurait été adapté ici ? Chaque échec est un pas vers la réussite ? Ce ne sont pas des échecs mais des expériences ? Quelque chose dans ce ton là très certainement.” Je quitte les cuves, rejoint l’atelier ou je dépose les gants et joue distraitement avec deux fioles. “Qu’est-ce que tu pouvais m’énerver avec ça. Tu le savais très bien. Tu en jouais. Et ça m’énervais encore plus. Mais aujourd’hui je donnerais beaucoup pour retrouver cette situation. Que tu sois là, à côté de mon atelier à me regarder avec ton air suffisant, ton petit sourire en coin à attendre que le soucis que tu as vu arriver, et moi non bien évidemment, arrive pour ensuite me faire la morale.” Pause, j’ai besoin de souffler, je déglutis péniblement… Une larme veut couler, je la sens… Et fait tout pour la retenir. Il ne faut pas. “Mais tu n’es pas là… Tu m’a laissée seule… Et je n’ai pas eu mon mot à dire… Parce que tu savais que je n’aurais pas été d’accord. Tu n’étais pas d’accord toi-même avec ta décision de toute façon…” Elle coule, glisse le long de ma joue, suit la courbe de ma mâchoire, perle un instant sur mon menton avant de s’en détacher et s’écraser par terre. S’en est trop. Mes jambes me lâchent, c’est un miracle que je parvienne à m’asseoir sur le tabouret et ne pas m’écrouler par terre.
Pendant un instant rien ne se passe, je reste immobile, toute ma concentration est utilisée pour ne pas craquer, ne pas laisser cette digue céder. Comme tous les jours je me bats pour ne pas céder. Moins aujourd’hui qu’à mon arrivée mais la blessure est toujours là. Elle risque de l’être encore longtemps. Les secondes s’écoulent lentement, ma respiration se calme, les larmes ont été retenues, dans l’ensemble. Nouveau soupir, je rouvre les yeux, teste un instant mes jambes avant de me relever. “Mais même si tu n’étais pas d’accord avec ton propre choix, tu as eu le courage d’aller jusqu’au bout. Il m’a fallu du temps pour l’accepter. Accepter que de nous deux c’est pour toi que c’est le plus dur. Alors je ne pleurerai plus. J’essaie en tout cas. Et je vais profiter de cette chance. En t’attendant. Parce que je sais que de ton côté tu ne lâches rien, que tu retournes le monde pour trouver une deuxième clef et me rejoindre.” Je m’essuie les yeux du revers de la main, fait courir mon regard sur l’atelier avant de me retourner, regardant le reste de la pièce. Mon laboratoire, ma salle d’expérience… Tout ce que j’ai pu bâtir depuis mon arrivée ici. “Ce n’est que le début. Huit ans que je suis ici, sept ans que j’ai commencé mes expériences et pourtant, je n’en suis qu’au début. Il reste tellement de choses à découvrir, de tests à faire… Et nous ne savons presque rien sur Ozéna. Peut-être que demain une exploration m'apportera de nouvelles choses avec lesquelles m’amuser. Peut-être que demain en discutant avec une alchimiste je reconsidérerais l’utilisation de certains produits… Tellement de possibilités…” Je souris. Un sourire de satisfaction, un sourire serein… Un sourire comblé. “Ce sacrifice a été dur. Ce sacrifice est dur. Mais merci. Je ne me suis jamais autant amusé qu’aujourd’hui. Et je m'amuse moins que demain.”
- Palier de pouvoir:
- Palier I des sorciers : Magie verte
- Chronologie générale:
- An 4 164 - Terre - Naissance : naissance d’Anastasia à Bordeaux en France. Elle est la fille de Kamilla Hanak, une chimiste Russe et d’Alexandre Duchêne, un parfumeur Français. Grâce au partage de leurs connaissances, les deux parviennent à exceller dans la création de produits de luxe et commencent à se faire un nom à l’échelle du pays.
An 4 172 - Terre - 8 ans : Léonard Conti, grand producteur viticole prend contact avec les parents d’Anastasia et souhaite lancer une nouvelle gamme de produits avec eux. Dans un souci de praticité, la famille déménage sur les terres du producteur. À cette occasion, Anastasia rencontre Camille, fils unique du vigneron et orphelin de mère. Très vite les deux enfants deviennent inséparables et les deux familles deviennent très proches.
An 4 177 - Terre - 13 ans : des organisations criminelles avec qui elle a travaillé plus jeune retrouvent la trace de Kamilla et commencent à faire pression sur elle et son entourage. Les moyens financiers de la famille et de Léonard permettent de cacher la famille mais tous savent que la menace est réelle et pourrait revenir à n’importe quel moment.
En parallèle, Anastasia apprend les bases de la chimie et de la distillation avec ses parents, curieusement elle éprouve un réel intérêt pour tout ce qui concerne la transformation de matière première en alcool ou autres produits. Devant sa curiosité, Léonard commence à lui apprendre les bases de la création du vin.
An 4 179 - Terre - 15 ans : la situation avec les mafia a empiré. La famille est retrouvée, se cacher n’est désormais plus possible. Au fil des mois, plusieurs personnes dans leur entourage sont blessées. La situation dérape quand Léonard et Alexandre, en voyage d’affaire, sont victimes d’un accident. Les deux hommes terminent dans le coma et leurs chances de survie ou de réveil sont jugées extrêmement faibles. Par peur que la situation n’empire Kamilla accepte les conditions de ses agresseurs et les rejoint. Elle quitte ainsi la France et décide de laisser sa fille derrière elle, pensant ainsi la protéger.
Anastasia et Camille se retrouvent orphelins du jour au lendemain, n’ayant pour eux que la gigantesque fortune et le domaine laissé par leurs parents. Ils s’installent ensemble sur ce dernier et passent les mois suivant à se remettre de la situation.
An 4 181 - Terre - 17 ans : curieuse de se mettre à l'épreuve et dans l’espoir de se changer les idées, Anastasia tente d’utiliser ses connaissances, ce qui lui a été transmis et les différentes notes laissées dans les ateliers pour relancer la production de certains produits de la famille et en créer de nouveau. Si les premiers tests sont des échecs cuisants, elle parvient rapidement à corriger ses erreurs et proposer des solutions de qualité qui, sans rivaliser avec ce que pouvaient proposer ses parents, parviennent à satisfaire la classe moyenne.
An 4 184 - Terre - 20 ans : Camille obtient une clef et décide de la donner à Anastasia. Bien qu’aucun des deux ne souhaite se séparer ou changer de vie, le sujet des clefs et d’Ozéna n’ayant jamais été abordé ouvertement, le traumatisme des méthodes employés par les mafia est trop grand pour le jeune homme, il voit dans cette clef un moyen de protéger celle qu’il aime et qui a partagé sa vie.. Néanmoins, conscient qu’il ne pourra lui faire accepter la situation, il piège Anastasia et dépose son sang sur la clef. La séparation est alors inévitable et même si elle comprend les raisons l’ayant poussé à agir de la sorte l’au revoir est déchirant, plongeant la jeune femme en dépression.❋An 110 - Ozéna - 20 ans : arrivée d’Anastasia en Ozéna. Elle rejoint la maison de la terre et du sang qui lui apprend ce qu’il faut pour s’adapter à ce nouveau monde. Les membres de la maison l’aide à se remettre de sa situation et faire son deuil de sa vie passée. Il lui faut plusieurs mois pour retourner à un rythme de vie décent mais finalement, avec l’aide de sa maison elle parvient à doucement se relever. Les nouvelles opportunités de ce monde s’imposent à elle et le choix de Camille plus qu’être une chaîne devient doucement une source de motivation.
An 111 - Ozéna - 21 ans : début des recherches d’Anastasia sur les plantes présentes, et référencés, en Ozéna. Se rattachant à ses connaissances et anciens centres d'intérêt, Anastasia commence à tenter de créer divers alcools, liqueurs et vins avec la flore présente. La première année est constituée principalement de théories, d’échecs et de mise en place pour parvenir à créer les outils nécessaires à ses projets. Elle s’installe dans une maison du quartier Sud, installant à la cave de quoi produire du vin et à l’étage son atelier et nécessaire de distillation. La séparation est toujours douloureuse, elle ne parvient à l’oublier qu’en se donnant à fond dans ses recherches.
An 116 - Ozéna - 26 ans : les recherches continuent d’avancer et portent leurs fruits, elle parvient à proposer ses premières bouteilles de vin de Paleberge, la qualité n’est pas incroyable, les bouteilles ne sont pas très nombreuses mais tout ça marque son entrée dans le monde des producteurs d’alcool. Elle commence doucement à ajouter à ses expériences l’utilisation de la magie verte afin de voir l’impact que son utilisation peut avoir sur la qualité des plantes utilisées et usant de sa capacité à accélérer la croissance des plantes pour tenter de nouvelles boutures.
An 118 - Ozéna - 28 ans : entre ses résultats et le fait d'avoir rejoint la guilde des marchands l'année précédente, son nom commence à être connu dans la cité et ses produits se vendent bien. Néanmoins, Anastasia refuse de se reposer sur ses réussites et continue ses recherches curieuse de découvrir les limites de ce que la flore d’Ozéna a à offrir. Son atelier de distillation tourne ainsi presque en continue, produisant plus souvent des produits impropres à la consommation que l’inverse pendant que dans sa cave différents vins de Paleberge vieillissent dans des fûts faits en différents bois.
Bien qu’il lui arrive encore de penser à sa vie passée et au sacrifice de son ancien ami, Anastasia est presque entièrement parvenue à faire son deuil et profite pleinement de sa nouvelle vie.
- Inventaire:
- Sa maison et ce qu’elle contient, son nécessaire de distillation et sa cave à vin.
C'est à peu prêt tout.
Physique
C’est… Elle est… Comment est-ce que je pourrais parler d’elle… Déjà soyons honnête, vous ne pouvez pas la rater. Si un jour vous la rencontrez, même de loin, au détour d’une ruelle, dans une rue bondée ou que sais-je, vous la remarquerez. Est-t-elle d’une beauté sans pareille ? Pas réellement. Elle répond indéniablement aux standards de beauté, ce qui est encore plus flagrant quand elle prend la peine d’accorder plus qu’un regard dans le miroir et cinq minutes à son apparence mais soyons honnête vous la verrez rarement toute pomponnée… D’ailleurs… Est-ce que je l’ai déjà vue apprêtée… C’est une bonne question, je crois bien que non. Ce qui en dit long. Enfin, je digresse. Encore. Donc oui, vous ne pouvez pas la rater. Grande, élancée, des cheveux d’ors flottants librement derrière elle, elle dénote, attire le regard, fait se retourner les gens dans la rue. Mais je vous l’ai dit. Des grandes blondes il y en a d’autres. Avec de plus grandes jambes, plus plantureuses ou avec des yeux qui donnent envie de se noyer dedans. Anastasia n’a rien de ça. Elle est fine, ne possède pas réellement de formes faisant rêver les hommes (elle est même sacrément plate avouons le. Ce n’est pas un secret et elle est de toute façon la première à le dire et s’en amuser) et ses yeux ors viennent autant appuyer l’éclat de ses cheveux que déranger ceux qui croisent son regard ou auraient le malheur de s’attarder un peu trop dessus. Néanmoins, s’il faut bien noter quelque chose, un point positif, ce serait sa taille. Une petite demie-tête de plus que la moyenne, la faisant toiser le monde du haut de son mètre soixante-dix. Environ. Une taille qui, selon elle, est juste assez grande pour être un avantage, et pas assez pour déranger les gens qui lui adressent la parole.
Vous ne vous retournerez pas non plus pour sa tenue. Je vous l’ai dit, elle ne prend pas soin d’elle. Dans la rue, pas de belles robes moulantes, de corset outrageant ou… à peut prêt n’importe quoi que vous pourriez vous attendre à voir sur une dame souhaitant bien paraître. Un grand châle noir tressé ou une cape de la même couleur qui vient recouvrir une tunique sombre et dissimuler un pantalon beige immaculé ayant miraculeusement échappé aux éclaboussures et résultats de ses expériences au fil des ans. Pas non plus de bijoux ou de parures hormis quelques plantes tressées entre elles accrochées à sa fidèle sacoche. Une apparence atypique dont elle s’amuse parfois à jouer en portant un chapeau… Excentrique. Un chapeau de sorcière, exactement ceux que vous pouvez imaginer quand vous lisez des légendes ou des histoires les concernant. Je n’ai jamais compris la raison de cet écart. Elle ne s’encombre de rien, d’aucun artifice, ce qui était déjà le cas avant d’arriver en Ozéna en réalité, elle va à l’essentiel et pourtant il lui faut ce petit plus. En un sens, il faut croire que tout le monde apprécie se sentir unique d’une manière ou d’une autre.
Mais elle n’a pas besoin de ça pour l’être (oui, je vous entends, nous sommes tous uniques, c’est vrai mais laissez moi finir.) Je vous ai donné les raisons qui ne vous feront pas vous retourner, quoique effectivement, le chapeau pourrait bien être une raison suffisante en réalité, mais la vraie raison, au-dessus de tout le reste, c’est ce qui se dégage d’elle. Ce petit sourire narquois qui ne la quitte pas, cette joie qui semble accompagner chacun de ses pas, l’étincelle de malice dans ses yeux qui indique que tout est prétexte au jeu et à la découverte. Parlez-lui, avancez sur un sujet ou tout reste encore à faire et vous verrez ses yeux pétiller, sa voix habituellement un peu traînante et fatiguée monter dans les aiguës et son débit de parole s’accélérer.
C’est pour toutes ces raisons que Anastasia, en dépit de ce qu’elle aimerait, ne passe pas inaperçue. Car elle est rayonnante, rafraîchissante. Et, à sa manière, insaisissable.
Vous ne vous retournerez pas non plus pour sa tenue. Je vous l’ai dit, elle ne prend pas soin d’elle. Dans la rue, pas de belles robes moulantes, de corset outrageant ou… à peut prêt n’importe quoi que vous pourriez vous attendre à voir sur une dame souhaitant bien paraître. Un grand châle noir tressé ou une cape de la même couleur qui vient recouvrir une tunique sombre et dissimuler un pantalon beige immaculé ayant miraculeusement échappé aux éclaboussures et résultats de ses expériences au fil des ans. Pas non plus de bijoux ou de parures hormis quelques plantes tressées entre elles accrochées à sa fidèle sacoche. Une apparence atypique dont elle s’amuse parfois à jouer en portant un chapeau… Excentrique. Un chapeau de sorcière, exactement ceux que vous pouvez imaginer quand vous lisez des légendes ou des histoires les concernant. Je n’ai jamais compris la raison de cet écart. Elle ne s’encombre de rien, d’aucun artifice, ce qui était déjà le cas avant d’arriver en Ozéna en réalité, elle va à l’essentiel et pourtant il lui faut ce petit plus. En un sens, il faut croire que tout le monde apprécie se sentir unique d’une manière ou d’une autre.
Mais elle n’a pas besoin de ça pour l’être (oui, je vous entends, nous sommes tous uniques, c’est vrai mais laissez moi finir.) Je vous ai donné les raisons qui ne vous feront pas vous retourner, quoique effectivement, le chapeau pourrait bien être une raison suffisante en réalité, mais la vraie raison, au-dessus de tout le reste, c’est ce qui se dégage d’elle. Ce petit sourire narquois qui ne la quitte pas, cette joie qui semble accompagner chacun de ses pas, l’étincelle de malice dans ses yeux qui indique que tout est prétexte au jeu et à la découverte. Parlez-lui, avancez sur un sujet ou tout reste encore à faire et vous verrez ses yeux pétiller, sa voix habituellement un peu traînante et fatiguée monter dans les aiguës et son débit de parole s’accélérer.
C’est pour toutes ces raisons que Anastasia, en dépit de ce qu’elle aimerait, ne passe pas inaperçue. Car elle est rayonnante, rafraîchissante. Et, à sa manière, insaisissable.
Caractère
Il n’y a pas beaucoup de différence entre la Anastasia de la terre et celle d’Ozéna. Mais est-ce réellement surprenant ? Le voyage n’est pas connu pour faire fondamentalement changer les gens non ? Et bien c’est aussi son cas. À son arrivée elle était la même que sur terre, une jeune femme curieuse, feignante, pouvant parfois faire preuve d’une intelligence remarquable et l’instant d’après manquer une évidence et devoir demander des explications sur des sujets pourtant basiques. Des sujets parfois connus par tout le reste de la population, des sujets tellement évident que personne n’a jamais jugé nécessaire de devoir l’expliquer à d’autres. C’était ça la Anastasia de la terre. Et c’est en grande partie la Anastasia que le peuple d’Ozéna connaît. Une femme pleine de dualités et d’envies qui oeuvrent entre elle et gagnent à tour de rôle.
Parfois sa curiosité prendra le dessus et elle sera capable de retourner la ville plusieurs jours durant pour trouver des réponses à sa question du moment. Et si cette question n’a pas de réponse, alors elle fera ce qu’il faut pour lui en trouver une. Ou du moins trouver des pistes capables de la satisfaire. D’autres fois la paresse sera plus forte, la faisant errer d’une pièce de sa maison à l’autre sans la moindre envie, la laissant s’emprisonner dans ses draps de longues heures durant. En réalité même dans ses meilleurs jours dormir est l’un de ses plus grands plaisir, le soleil est souvent déjà haut dans le ciel quand elle se réveille. Avant de se rendormir. Pour émerger de nouveau après de longues minutes. Ou heures.
Au yeux des gens cette manie de céder à ses pulsions, sa capacité à passer à côté de l’essentiel lors de moments cruciaux à cause d’une inattention ou d’un simple manque d’intérêt pour la discussion ou le sujet concerné l’a souvent faite passer pour au mieux une personne un peu rustre, au pire quelqu’un incapable de se tenir. J’ai même déjà entendu des gens parler d’elle en la qualifiant d’une enfant dans un corps d’adulte. Ce qui pourrait, dans une certaine mesure, être assez proche de la réalité. La vérité est qu’elle n’accorde son attention qu’à ce qui l’intéresse, le reste passant au second plan… Bon oui comme une enfant. Mais une grande enfant. Une enfant intelligente. Qui a conscience de cet aspect de sa personnalité et a décidé consciemment de ne rien changer. Une enfant parfaitement insupportable.
Cependant, il faut bien avouer qu’Ozéna a quand même eu son mot à dire sur son évolution. Un monde nouveau, un univers à découvrir et inventer (ou ré-inventer), contrairement à la terre ou elle pouvait se laisser à de longs moment de vacuité, bloquée dans un monde où tout a été découvert, l’arrivée sur de nouvelles terres à ouvert de nouvelles portes, de nouvelles opportunités. Il est donc bien plus rare de la voir se laisser aller à la paresse, beaucoup plus facile de trouver un sujet capable de l’intéresser et si ses journées commencent toujours bien plus tard qu’elles ne le devraient, elles s’étendent maintenant jusque tard dans la nuit, utilisée pour ses expériences ou parfois simplement flâner en ville… Disons uniquement ses expériences, pour elle flâner en ville n’étant souvent qu’un synonyme de “aller chercher des matière première pour faire des tests.”
Parfois sa curiosité prendra le dessus et elle sera capable de retourner la ville plusieurs jours durant pour trouver des réponses à sa question du moment. Et si cette question n’a pas de réponse, alors elle fera ce qu’il faut pour lui en trouver une. Ou du moins trouver des pistes capables de la satisfaire. D’autres fois la paresse sera plus forte, la faisant errer d’une pièce de sa maison à l’autre sans la moindre envie, la laissant s’emprisonner dans ses draps de longues heures durant. En réalité même dans ses meilleurs jours dormir est l’un de ses plus grands plaisir, le soleil est souvent déjà haut dans le ciel quand elle se réveille. Avant de se rendormir. Pour émerger de nouveau après de longues minutes. Ou heures.
Au yeux des gens cette manie de céder à ses pulsions, sa capacité à passer à côté de l’essentiel lors de moments cruciaux à cause d’une inattention ou d’un simple manque d’intérêt pour la discussion ou le sujet concerné l’a souvent faite passer pour au mieux une personne un peu rustre, au pire quelqu’un incapable de se tenir. J’ai même déjà entendu des gens parler d’elle en la qualifiant d’une enfant dans un corps d’adulte. Ce qui pourrait, dans une certaine mesure, être assez proche de la réalité. La vérité est qu’elle n’accorde son attention qu’à ce qui l’intéresse, le reste passant au second plan… Bon oui comme une enfant. Mais une grande enfant. Une enfant intelligente. Qui a conscience de cet aspect de sa personnalité et a décidé consciemment de ne rien changer. Une enfant parfaitement insupportable.
Cependant, il faut bien avouer qu’Ozéna a quand même eu son mot à dire sur son évolution. Un monde nouveau, un univers à découvrir et inventer (ou ré-inventer), contrairement à la terre ou elle pouvait se laisser à de longs moment de vacuité, bloquée dans un monde où tout a été découvert, l’arrivée sur de nouvelles terres à ouvert de nouvelles portes, de nouvelles opportunités. Il est donc bien plus rare de la voir se laisser aller à la paresse, beaucoup plus facile de trouver un sujet capable de l’intéresser et si ses journées commencent toujours bien plus tard qu’elles ne le devraient, elles s’étendent maintenant jusque tard dans la nuit, utilisée pour ses expériences ou parfois simplement flâner en ville… Disons uniquement ses expériences, pour elle flâner en ville n’étant souvent qu’un synonyme de “aller chercher des matière première pour faire des tests.”
À propos de toi
Informations
Nom & Prénom
Anastasia DuchêneAge
[age="4164"]Race
SorcièreMaison
Maison de la terre et du sangMétier
Distillatrice et productrice de vinFeat
OC - Witch par MorryArakyel Triska
Maison des Maintes Eaux
Bienvenue sur ce merveilleux forum Anastasia!
D'une part, très jolie choix de prénom qui vend un doux rêve mais aussi et surtout très jolie fiche! Un doux plaisir à lire et surtout hâte de voir ce qu'elle donnera!
D'une part, très jolie choix de prénom qui vend un doux rêve mais aussi et surtout très jolie fiche! Un doux plaisir à lire et surtout hâte de voir ce qu'elle donnera!
Séléna Brinclair
Maison des Maintes Eaux
Bienvenue ma chère Anastasia, tu étais attendue avec impatience
Je te l'ai déjà dit en privé, mais j'ai vraiment adoré ta fiche. Toujours aussi hâte de RP avec toi même après toutes ces années
Je te l'ai déjà dit en privé, mais j'ai vraiment adoré ta fiche. Toujours aussi hâte de RP avec toi même après toutes ces années
Khioné Skogstad
Maison des Maintes Eaux
La bienvenue à toi !
Tout pareil qu'au dessus, j'ai vraiment beaucoup aimé ta fiche, je l'attendais et je suis pas déçu
Et je serais ravie d'être l'alchimiste chiante qui te dit de ne pas utiliser tel ou tel produit !
Tout pareil qu'au dessus, j'ai vraiment beaucoup aimé ta fiche, je l'attendais et je suis pas déçu
Et je serais ravie d'être l'alchimiste chiante qui te dit de ne pas utiliser tel ou tel produit !
Invité
Invité
Bienvenue
La Selenarmy, j'approuve ce nom de groupe, c'est très représentatif
Chouette choix de métier d'ailleurs
La Selenarmy, j'approuve ce nom de groupe, c'est très représentatif
Chouette choix de métier d'ailleurs
Ozéna
Staff
Validé !
Bienvenue sur Ozéna !
Bienvenue à cette chère viticultrice, ce choix de métier est très intéressant ! Il y a de quoi s'impliquer dans la vie d'Azamyr pour faire prospérer la cité, sans parler des partenariats commerciaux à tisser avec le reste de la Guilde des Marchands
Te voilà presque fin prête à débuter ton aventure. Il te faudra d'abord aller recenser ton avatar, ainsi que ton métier, ton pays d'origine et ta race avant de pouvoir te lancer dans le monde.
N'oublie pas de poster ton journal de bord également, cela te permettra de suivre tes jeux, mais également d'avoir un résumé de tes relations. Tu pourras également poster ton inventaire afin d'avoir un visuel sur tes achats de la boutique et ainsi faciliter la prise en compte de ces derniers lors de tes jeux, par les MJs.
Bonne chance et surtout amuse-toi bien !
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